Je reste 1 ans et demie avec le pire des connard et là je sort avec le mec le plus Genial de la planète (presque 3 mois) et il part faire ces études à Bordeaux ... >< Donc c'est mort .
Mur des Lamentations
- Initiateur de la discussion Yana
- Date de début
Hier j'ai fait une crise d'angoisse(mais j'arrive jamais à savoir si s'en vraiment une parce que j'arrive toujours à me contrôler un minimum et à en être consciente même si j' ai du mal à respirer, que j'ai envie de pleurer).
Je sais pas si je deviens vraiment phobique social je crois que ca a toujours été en moi, mais c'était une peur et jusqu'à maintenant je n'ai jamais eu une phobie qui est pris le dessus sur moi.
Mais être à l'extérieur, m'épuise à un point, quand je marche dans la rue j'éprouve un tel sentiment d'étouffement, le regard des passants m'oppressent.
Sincèrement vivre en ville mépuise vraiment mais pour l'instant j'ai pas encore trouver de solution, tout ce que je sais c'est que je veux pas me forcer à vivre en ermite.
J'espère que ca n'empira pas et que je vais continuer à faire avec.
Mais voilà hier j'ai quand même fondu en larmes en rentrant chez moi juste parce que j'ai marché longtemps en ville (j(habite à Paris) et que c'était trop dure émotionellement pour moi.
J'aurais pas pu juste avoir peur des araignée comme une personne lambda.
Je sais pas si je deviens vraiment phobique social je crois que ca a toujours été en moi, mais c'était une peur et jusqu'à maintenant je n'ai jamais eu une phobie qui est pris le dessus sur moi.
Mais être à l'extérieur, m'épuise à un point, quand je marche dans la rue j'éprouve un tel sentiment d'étouffement, le regard des passants m'oppressent.
Sincèrement vivre en ville mépuise vraiment mais pour l'instant j'ai pas encore trouver de solution, tout ce que je sais c'est que je veux pas me forcer à vivre en ermite.
J'espère que ca n'empira pas et que je vais continuer à faire avec.
Mais voilà hier j'ai quand même fondu en larmes en rentrant chez moi juste parce que j'ai marché longtemps en ville (j(habite à Paris) et que c'était trop dure émotionellement pour moi.
J'aurais pas pu juste avoir peur des araignée comme une personne lambda.
Je me sens invisible. Aussi bien sur madmoiZelle que dans la vraie vie. Mes amis me manque, mes frères aussi un peu. j'ai envie de faire de nouvelles rencontres mais là où je vis, c'est pas le pied.
C'est fou, je haie de plus en plus cette maison. Trop grande, trop mal foutue, trop vide. On doit déménager dans deux mois, mais j'ai peur que les travaux ne soient jamais terminer à temps.
J'ai besoin d'avoir des gens autour de moi là. Et je suis seule. Ras le bol.
C'est fou, je haie de plus en plus cette maison. Trop grande, trop mal foutue, trop vide. On doit déménager dans deux mois, mais j'ai peur que les travaux ne soient jamais terminer à temps.
J'ai besoin d'avoir des gens autour de moi là. Et je suis seule. Ras le bol.
Je ne sais pas si je vais y arriver.
Et je viens d'envoyer un message dont la réponse me fait tellement peur.
Et je viens d'envoyer un message dont la réponse me fait tellement peur.
J'ai dormi (encore) et finalement au réveil ça m'a permis de me lever, et j'ai réussi à ranger tout l'appartement, à faire la vaisselle - le plus insurmontable mentalement - et même à me laver! Je crois que si je n'avais pas cédé au sommeil en milieu d'après-midi, j'aurais été incapable de me lever du lit et de faire quoi que ce soit aujourd'hui. Du coup, comme j'ai pu faire la vaisselle, j'ai pu me faire à manger; oh, rien de bien particulier comme toujours, cuire du pain au four et quatre petites galettes de légume surgelées. Mais c'est déjà pas mal d'avoir réussi tout ça! Je souffrais tellement de ma côte, et j'étais dans un tel état d'épuisement juste avant l'endormissement, c'était affreux, j'étais handicapée, réellement, sans pouvoir marcher, bouger, me porter. Je suis toujours fatiguée, ça n'a pas servi à grand chose de dormir, car ça ne me repose jamais vraiment, mais le peu que cela a servi a été bon à prendre. En revanche mon moral est toujours en dessous de zéro, mais j'en ai tellement l'habitude... Comment pourrais-je de toute façon supporter l'insupportable? Je ne le peux pas.
Tiens, au moment où j'écris, ma côte qui s'était calmée grâce au sommeil recommence à se manifester
Tiens, au moment où j'écris, ma côte qui s'était calmée grâce au sommeil recommence à se manifester
Je suis tellement angoissée à l'idée de ne pas compter que je cherche à me faire une place partout. Et je crois qu'au final, je n'ai de place nulle part.
J'aimerais compter pour quelqu'un, vraiment compter, être celle qu'on veut voir, elle et pas une autre. Mais ça n'arrive jamais, et c'est de ma faute. J'aimerais pouvoir m'investir dans des relations, de quelque nature qu'elles soient, sans prendre mes jambes à mon cou dès que ça devient un peu sérieux. J'aimerais arrêter de fuir tout ce qui pourrait rendre ma vie plus belle.
J'aimerais compter pour quelqu'un, vraiment compter, être celle qu'on veut voir, elle et pas une autre. Mais ça n'arrive jamais, et c'est de ma faute. J'aimerais pouvoir m'investir dans des relations, de quelque nature qu'elles soient, sans prendre mes jambes à mon cou dès que ça devient un peu sérieux. J'aimerais arrêter de fuir tout ce qui pourrait rendre ma vie plus belle.
Je ne me supporte pas quand il y a des réunions de famille. Je suis une foutue incapable, ça me fout mal à l'aise, j'ai l'impression d'être une potiche plantée sur un fauteuil. Peut-être parce que j'en ai trop entendu, peut-être à cause de mon âge. Aaaaah je vais encore me prendre des remarques, ça me rend dingue. "Ouais tu pourrais faire un effort quand même!". Ah bon, un effort? Sans déconner, c'est pas comme si j'avais pas déjà le crâne farci de vos querelles à deux balles.
Bref, j'ai toujours eu la (juste) impression d'être en marge, je n'ai rien vécu avec eux et pourtant j'en sais beaucoup trop. Je suis mal, mal, je me terre dans cette pièce en comptant les quart d'heure. J'ai mal au coeur d'être comme ça. Et lui il va me le reprocher, je le sais. Mais c'est tellement SIMPLE pour lui, il est pas à ma place. C'est moi qui suis au coeur des conflits ces 10 dernières années, j'ai pleinement conscience de la situation. C'est moi qui doit tout analyser, qui doit écouter. Je suis une éponge, j'absorbe tout ce que les parents disent.
J'aimerais bien partir. J'aimerais bien ne pas être là.
Bref, j'ai toujours eu la (juste) impression d'être en marge, je n'ai rien vécu avec eux et pourtant j'en sais beaucoup trop. Je suis mal, mal, je me terre dans cette pièce en comptant les quart d'heure. J'ai mal au coeur d'être comme ça. Et lui il va me le reprocher, je le sais. Mais c'est tellement SIMPLE pour lui, il est pas à ma place. C'est moi qui suis au coeur des conflits ces 10 dernières années, j'ai pleinement conscience de la situation. C'est moi qui doit tout analyser, qui doit écouter. Je suis une éponge, j'absorbe tout ce que les parents disent.
J'aimerais bien partir. J'aimerais bien ne pas être là.
Souky;2442054 a dit :J'ai appris hier soir que ma mère a un cancer. J'arrête pas de pleurer quand j'y pense c'est horrible.
Pour l'instant ce n'est pas grave, mais elle doit quand même faire une chirurgie et peut-être une chimio selon l'étendu du cancer.
C'est horrible, je pense que je m'en remettrai jamais si elle meurt. Je suis beaucoup trop jeune pour la perdre
Ohh, je vous envoie tout plein de courage et de force à toutes les deux
Cela fait presque deux semaines que je suis a ce campus a Toronto. J'adore cette ville, ce n' est pas le probleme mais j'ai l'impression que tout le monde m'evite la. Les deux filles sur qui je comptais plus ou moins sont sorties sans meme me prevenir d'autant plus que je leur avais demande auparavant si elles voulaient sortir. C'est la vraie galere pour se connecter a internet la-bas, ne plus pouvoir parler ni meme me confier sur ce site m'a terriblement manque... Desolee pour cette ecriture de merde, je ne sais pas ou sont les accents.
E
ephemere-2
Guest
Je suis obsédée par mon poids, je déteste mon corps.
Mon meilleur ami se fout de ma gueule en permanence donc je pense que je vais mettre fin a tout ça, a notre amitié.
Je veux oser, m'assumer sans me mettre à rougir...
J'ai 17 ans, je n'ai jamais eu de copain, et ça me rend malade, j'ai un besoin immense d'affection.
Mon meilleur ami se fout de ma gueule en permanence donc je pense que je vais mettre fin a tout ça, a notre amitié.
Je veux oser, m'assumer sans me mettre à rougir...
J'ai 17 ans, je n'ai jamais eu de copain, et ça me rend malade, j'ai un besoin immense d'affection.
