Opium.;2265420 a dit :On s'en fiche que la vendeuse ait été mal avisée, ce qui est grave, c'est qu'on se croirait revenu au temps de Louis XIV, où les nobles avaient le droit de vie ou de mort sur la "populasse".
(voie haut perché) : "Cette manante a sali le nom de sa seigneurie, qu'on la pende haut et court!"
Ce que Sarko et toute sa clique de parvenus ont l'air d'oublier c'est qu'ils sont là où ils sont grâce au bon vouloir de cette populace qu'ils méprisent mais dont ils ont peur en même temps. Ca se prétend proche des gens, et ça se balade avec un garde du corps au Printemps, la blague!!
On a le droit au respect qu'on mérite, non mais! Alors au lieu se draper dans sa prétendue supériorité, elle aurait mieux fait de s'écraser Morano, parce que c'est nous ses employeurs, et c'est nous qui le lui payons son garde du corps. Si on avait du la virer à chaque connerie qu'elle a dite ou faite, ça fait un moment qu'elle serait plus en poste!
Je suis pas d'accord. Qu'on aime ou non N. Morano '(ou quelqu'un d'autre), on ne peut pas dire qu'elle aurait dû ne rien faire.
En effet, quand je bossais dans un magasin, dès le départ on m'a dit: "si jamais vous insultez quelqu'un, même s'il vous insulte, provoque... je vous vire. ".
Voilà, point barre. Quand on est vendeuse on ne peut pas faire ça, d'autant plus à une personnalité publique (non pas qu'elle ait droit à plus de respect, seulement les conséquences (afflux de personnes, médiatisation)) sont plus lourdes.
Même si ça avait été une personne lambda, quand on bosse dans le commerce (et même ailleurs) on ne doit pas insulter les gens, même si ce sont des gros cons, on sait qu'on risque sa place dès le départ, même si la sanction peut paraitre excessive c'est comme ça, qu'on bosse au Printemps ou à carrefour, à Nadine Morano ou à Monsieur X.