lobelia;3930081 a dit :
Franchement je déprime, j'y arriverais jamais :'( je sais que c'est la chose à ne pas dire mais j'en ai marre, je comprend pas pourquoi j'arrive pas à me prendre en main, je suis trop jalouse des filles de mon entourages qui ne font rien et qui sont minces et bien foutues et aussi de celles qui font des efforts et y arrive, pourquoi moi je suis dans aucun de ses cas ?
Y'a environs un mois j'étais plus motivée que jamais et je me disais que tant que j'aurais pas ce que je veux je lacherai pas le morceau, je faisais du sport tout les jours et j'avais déjà des fesses bien betonnées; mon chéri était en congès 2 semaines et la jai tout relaché, fini le sport bonjours la bouffe grasse, mes fesses sont encore plus molles qu'avant, même mes seins !
J'ai manger macdo à midi avec ma mère et je m'en veux, là j'arrête pas ce pleurer toute seule parce que je suis irrécupérable, la nourriture sera toujours un problème pour moi parce que j'aime manger avec plaisir et si je me prive bah je suis agressive et de mauvaise humeur...
C'était la minute dépressive du jours, toutes mes excuses j'en avais besoins...
Et ben faut pas déprimer comme ça... déjà aie un peu plus d'estime pour toi poulette, t'es une mad'z donc forcément t'es une super fille ^^
Et puis jalouser les autres ne mène à rien, peut être qu'elles ont un joli corps mais pleins d'emmerdes ailleurs donc bon...je sais bien que dans ces moments-là on est irrationnelle mais quand même...ça viendra, petit à petit, bout par bout ou sinon ben l'autre chemin c'est de s'accepter, d'être doux avec son corps, de ne pas se détester, c'est déjà peut être le premier pas vers un corps harmonieux car si tu ne t'estime pas, tu n'es pas en bon rapport avec ton corps et il te le rend bien je pense.
Et ne te déprime pas parce que t'as fait UN mC do c'est rien quoi, moi aussi ça m'arrive d'en faire et c'est pas ça qui me fait grossir donc faut arrêter d'être aussi intransigeante avec toi même parce que tu vois du coup tu te fous trop la pression et t'es malheureuse.
Bref, des gros bisous en espérant t'avoir réconforté un tant soi peu et
ymotana;3929903 a dit :
J'ai honte, je n'arrive plus à rien.
Mes crises d'asthme s'accumulent, je passe mon temps à dormir et à bouffer gras. Je me dégoûte.
J'ai envie de retourner à la piscine, seulement ma copine ne peut pas m'accompagner et y aller seule me fait un peu flipper. Dans ma ville d'origine ça allait, mais là, la station est pas top, et quand j'y vais le soir je me prends constamment des réflexions seulement, c'est la seule piscine des environs qui a de bons horaires.
C'est horrible, j'ai l'impression d'avoir perdu tous mes efforts.
Chaque semaine j'essaye de repartir du bon pied, mais ça marche jamais.
Roooo mais c'est la soirée tristesse là les bonasses! Comment peux-tu être aussi méchante envers toi-même Ymotana ?!?!
"Je me dégoûte", non mais là ressaisis-toi poulette! Ton corps essaies de t'exprimer quelque chose, et ça sort par l'asthme, essaie de comprendre pourquoi et de prendre soin de toi, pas de te haîr comme ça. Tiens, justement j'ai trouvé un très bon livre en téléchargement gratuit qui explique selon les douleurs et maladies que tu développes, ce que ça dit de ton psychique et de ton histoire, c'est très intéressant... C'est un best seller depuis des dizaines d'années, ça s'appelle
"Dis-moi où tu as mal je te dirais pourquoi" de Michel Odul.
Sur l'asthme il dit :
"Les problèmes du système respiratoire nous parlent de
notre difficulté à nous protéger face au monde extérieur,
à trouver des réactions adaptées face aux agressions éventuelles, réelles ou imaginaires, de celui-ci. Ils peuvent
signifier aussi que nous n'arrivons pas ou ne voulons
refrenner certaines plaies de notre vie et nous parlent ainsi
de nos éventuelles tristesses, rancunes ou rancœurs, de
notre difficulté ou refus d'oublier, de pardonner, voire de
notre désir de régler des comptes ou, pire encore, de vengeance.
Les angoisses maternelles excessives, les atmosphères
familiales lourdes se traduisent souvent chez les enfants
par des fragilités pulmonaires qui, si elles sont «soignées"
trop efficacement ou paraissent insuffisantes à l'enfant,
peuvent se transformer en allergies respiratoires ou cutanées. L'enfant se« défend" alors en réagissant parfois violemment. Asthme, eczémas, angines purulentes sont
autant de «cris" pour exprimer que ce qui se passe
autour de lui ne le satisfait pas, qu'il vit la situation
comme une agression et qu'il a besoin de protection
(amour et présence), mais pas d'être étouffé.
La dernière signification qui peut être associée à des
problèmes pulmonaires est celle de la tristesse, de la
mélancolie, du chagrin, de la solitude. L'énergie du poumon a la charge de ces sentiments qui, lorsqu'ils sont excessifs, l'épulsent. L'excès ou le fait de cultiver la tristesse pour entretenir le souvenir de quelque chose ou de
quelqu'un peuvent se manifester par une fragilité des
poumons. il est intéressant de se rappeler que la grande
époque du romantisme larmoyant (Chateaubriand,
Goethe, ).-). Rousseau, Chopin, etc.) fut aussi la «grande
époque» de la tuberculose."
Peut être que cela te parlera :-)
L'ensemble du livre est d'ailleurs très intéressant, je vous le conseille à toutes :-)
Sur ce, l'amour au prochain village m'attend en replay ^^