J'ai répondu "pourquoi pas?". Ca se fait déjà dans certaines parties du monde et on pourrait très bien s'adapter à ça. Le seul problème c'est que je crois que j'avais lu dans un article que les insectes ont souvent beaucoup de pollution dans leur organismes et que du coup ça peut être mauvais pour la santé de les manger.
Quand les insectes remplaceront la viande...
- Initiateur de la discussion Denis
- Date de début
J'espère un jour avoir la force de devenir végétarienne, donc, la question ne se pose pas. Sinon j'aimerai dire " Pourquoi pas ? " dans le sens où si ça peut aider, ok. Mais ces bestioles sont bourrés de maladies donc je reste sceptique. Et puis il faudrait, je pense, en manger beaucoup pour que cela soit un minimum nourrissant, et sachant qu'elles contribuent (il me semble) au bon vivre de la Planète, ça risquerait d'être mauvais, non?
Van Kasteel;2509235 a dit :
Ah ok, merci pour l'info ^^
Je ne m'y connais vraiment pas donc du coup j'ai dis que des conneries. Voilà.
Sur ce, j'ai quand même une préférence pour les moustiques et autres volatiles que pour les larves et autres vers... Brrh, j'en ai la phobie donc hors de question que je mange ça. (Si, si je vous assure, dès que je vois un escargot, une larve, un vers, je tremble et je suis complètement tétanisée)
J'ai vu la première photo j'ai eu un haut-le-cœur.
J'aimerais bien goûter franchement, mais s'il vous plaît cachez leur apparence sous quelque chose comme pour les enfants et les légumes
. Je voudrais bien essayer une fois au moins au lieu de devenir directement végétarienne mais ça m'inspire PAS DU TOUT confiance. Je sais bien que certains pays en consomment mais ils ont "l'habitude". Pour nous, ce serait un changement radical de passer de la viande aux insectes.
Puis vous voyez bien les prochaines émissions de cuisine à la télé ? "Bonjour, aujourd'hui nous allons apprendre comment préparer un tartare de sauterelle et tomate !" ou encore "Réalisez en 3h une recette à base de vers." God.
J'aimerais bien goûter franchement, mais s'il vous plaît cachez leur apparence sous quelque chose comme pour les enfants et les légumes
. Je voudrais bien essayer une fois au moins au lieu de devenir directement végétarienne mais ça m'inspire PAS DU TOUT confiance. Je sais bien que certains pays en consomment mais ils ont "l'habitude". Pour nous, ce serait un changement radical de passer de la viande aux insectes. Puis vous voyez bien les prochaines émissions de cuisine à la télé ? "Bonjour, aujourd'hui nous allons apprendre comment préparer un tartare de sauterelle et tomate !" ou encore "Réalisez en 3h une recette à base de vers." God.
A
AnonymousUser
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Euh... on peut aussi promouvoir un peu plus l'alimentation à base de gluten ou de soja... Le gluten permet des préparations de succédanées de viande bluffants (seitan). C'est ultra simple et délicieux.
Par contre, cela rentre moins dans les plans de la majorité des lobbys - qui ne vont pas hésiter à s'accaparer le truc et le déformer à outrance comme c'est le cas pour tout, c'est certain...
(conditions contre-nature, illogiques, absurdes...
et notre connaissance de ces animaux est très limitée, surtout en 'élevage'... nous n'avons AUCUNE idée du mode de propagation des maladies dans de telles installations).
Je suis un peu surprise par vos réponses, vraiment...
Par contre, cela rentre moins dans les plans de la majorité des lobbys - qui ne vont pas hésiter à s'accaparer le truc et le déformer à outrance comme c'est le cas pour tout, c'est certain...
(conditions contre-nature, illogiques, absurdes...
et notre connaissance de ces animaux est très limitée, surtout en 'élevage'... nous n'avons AUCUNE idée du mode de propagation des maladies dans de telles installations).
Je suis un peu surprise par vos réponses, vraiment...
A
AnonymousUser
Guest
XII.;2531309 a dit :
Le gluten est très allergène...
Et puis surprise, dans quel sens ? Que des filles se laissent tenter, ou que certaines ici préfèreraient manger des asticots plutôt que de passer au tout végétal ?
Anourocéphale;2531757 a dit :Et l'aspect carapace croustillante me semble plutôt sympa.
Je pense que mon amour pour le Roi Lion et Timon et Pumba n'est pas étrangère à mon ressenti
"Un peu gluant, mais appétissant !"
A
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Guest
Hadhafang;2531800 a dit :
Alors dans ce cas le soja est une autre alternative. Les protéines de soja texturées sont très semblables à la texture de la volaille. Le tempeh peut remplacer des abats. Et les recettes ne manquent pas..! :rotate:
Surprise que certaines filles s'émerveillent de cette proposition 'miracle' comme si il n'y en avait pas DÉJÀ d'autres.
Et que les risques sanitaires ne soient pas plus au centre des interrogations. Il y a quelques années, il était reconnu sanitaire de donner des farines animales à d'autres animaux, et il est toujours sanitaire de laisser du pus dans le lait des vaches. Ce qui est décrété sanitaire n'est pas synonyme d'acceptable.
Aussi, dernier point, ça n'a l'air de choquer personne cette drôle d'idée de, encore une fois, tout déplacer et dominer l'ordre naturel des choses... Les insectes ont un rôle capital dans l'équilibre minéral des sols, entre autres choses, et s'accaparer leur vie, leur reproduction, boulverser des écosystèmes... c'est encore une belle absurdité, qui, selon moi n'a pas lieu d'être.
Il y a aujourd'hui encore et beaucoup trop de gaspillage dans le monde de l'agro-alimentaire et de la grande distribution, occupons nous plutôt de ça au lieu de jouer de nouveau aux grands sorciers...
A
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Guest
Van Kasteel;2539027 a dit :
Il ne s'agit pas de supplanter tout par le soja et ce n'est pas la suggestion que j'ai avancée, car nous voyons aujourd'hui l'ampleur des dégâts avec le colza par exemple.
Pour autant, on sait aussi l'immensité des dégâts causés par l'élevage intensif, qui, comparativement, en terme d'énergie, d'insalubrité, d'impacts sur la santé (maladies cardio-vasculaires, cancers, intolérance au lactose, grippes aviaires, porcines...), d'impact sur l'environnement, sont bien plus graves.
Par contre, repenser notre manière de consommer, oui.
Je crois que si l'on se sent concerné par ces questions, il faut se poser de vraies questions et tordre le cou à des habitudes, par ex : Soutenir le gaspillage de Mac Donald, soutenir Auchan et co. qui permettent la criminalisation du dumpster-diving tout en jetant des tonnes de déchets alimentaires, et bien d'autres...
Je n'avance pas de solution, j'appelle juste à une remise en question, à regarder en face ses habitudes de consommation et leurs impacts véritables, à une prudence, à une meilleure connaissance aussi, de ses propres besoins, de la culture de la terre, etc.
A
AnonymousUser
Guest
Van Kasteel;2539027 a dit :
Euuuh ni toi ni moi n'en savons plus à ce sujet, je t'invite juste à la plus grande prudence. Regarde juste le passé proche de l'alimentation industrielle et ses scandales.
Et là c'est toute la différence, il n'y a rien de comparable entre une consommation locale, et une consommation industrielle.
Par ailleurs, quand tu parles d'élevages qui préserveraient la bio-diversité, je suis assez perplexe, je me demande quelles qualités nutritionnelles pourraient avoir des insectes élevés industriellement dans... dans quoi d'ailleurs ? Ce qui fait leur richesse, ce sont les minéraux qu'ils absorbent (du sol), leur condition d'humidité, d'exposition au Soleil, etc.
Enfin, pour ta dernière question, l'absurdité tient dans un cas comme dans les autres que tu as cités, dans la consommation aveugle qui se soumet à un mode de production effréné et qui justifie tout genre de pratiques.
XII.;2540403 a dit :
On peut élever énormément de choses. Il suffit de jeter un oeil aux élevages d'escargots qui se déroulent dans des conditions encadrées mais qui te permettent une certaine richesse au point de vue alimentaire : (15 g. de protides au 100 grammes, le poulet est à 21 g.)
L'un des insectes phares de cette tendance est le criquet. Celui se nourrit exclusivement de végétaux. La méthode d'élevage du criquet ne serait donc pas étrange que l'élevage du bétail à qui on file du foin et d'autres aliments.
Quant aux scandales, on se dirige depuis les grandes crises de l'hygiène et de l'alimentaire à des conditions et des réglements plus stricts. La paranoïa alimentaire a moins lieu d'être aujourd'hui qu'il y a quinze ans.
