luminelle;4451305 a dit :
Par contre dimanche on s'est pris la tête sur un sujet pas cool
...
Je n'apporte aucune "solution"...
Je suis pareille que toi. L'alcool est un sujet très sensible pour moi. Avec le temps, j'ai essayé d'être moins "exigeante" (j'ai été bloquée pendant quelques années sur le côté addictif, en pensant que çà pouvait être héréditaire allant jusqu'à m’interdire la moindre gorgée) mais...je me rends compte que j'y arrive pas. Moi j'ai des mauvais souvenirs de membres de ma famille alcooliques, très souvent bourrés donc. Toutes les douleurs qui en ont été les conséquences, les larmes, les douleurs.
Et quand mon copain boit trop, je fais le parallèle et çà me brise en mille. Je lui ai aussi dit récemment : "mais tu peux le contrôler non? quand tu sens que tu vas atteindre ta limite, te dire STOP" et il m'a répondu "attends, tu penses qu'il y a des gens qui boivent en se disant 'oh c'est cool, je vais me soûler la gueule? C'est exceptionnel. Tu peux mal gérer l'alcool parce que tu es fatigué, ne me juge pas" (C'est déjà arrivé 2 fois...pour lui, ce n'est QUE deux fois mais pour moi c'est DEUX FOIS
). C'est un sujet assez sensible de mon côté aussi car
1. Je sais que j'ai des choses à régler avec moi-même compte tenu de mes antécédents.
Mais...
2. J'aimerais bien qu'au-delà de mon côté "excessif", qu'il fasse un effort de son côté.
Bref, je n'ai pas de solution. Les 2 fois où il est revenu bourré, il n'était pas avec moi. Récemment, il a suggéré de rentrer dormir chez un pote quand il est dans cet état "qu'il ne peut pas contrôler", j'étais choquée qu'il l'envisage. Je ne veux même plus en discuter, je voudrais juste qu'il comprenne que çà me fait mal.
J'ai même pas de solution car même s'il rentre dormir chez un pote, le souvenir de ma mère "abandonnée" par mon père pendant ses jours de beuverie me reviendra
C'est déjà bien que de ton côté, tu aies réussi à te faire comprendre