Ginger.;2335283 a dit :Putain il m'enerve. J'ai l'impression de me démener pour lui,pour son anniversaire,pour lui faire plaisir et lui n'en a rien à foutre. MOI je me bouge le cul pour aller le chercher après son oral,pour savoir si tout s'est bien passé. Lui,rien à foutre.
On devait essayer de se voir aujourd'hui. Aucune nouvelles et quand je lui envoye un message il me répond en me disant que des potes lui ont proposé quelque chose.
Bon bin moi j'ai dormi une heure cette nuit à cause du stress,j'ai mes règles,je me tue à lui organiser des trucs et il en a RIEN A FOUTRE.
Mais fuck maintenant. J'en ai marre d'être la conne de service.
Lux-;2336536 a dit :Je crains qu'il ne m'aime pas.
minose;2336544 a dit :Parfois, ça peut s'inverser. Comme craindre de ne plus l'aimer. C'est mon cas. Je suis pleine de remords rien que d'ose y penser. Je l'aime tellement, et j'ai peur de faire une bêtise un jour, et de croire que je ne l'aime plus. Que je suis stupide.
Metauxlourds;2336550 a dit :Tu sais que ça m'arrive ça aussi? Ya des moments, quand on s'engueule ou que quelque chose va mal, je remets d'un seul coup tout en question, même mon amour pour lui. je me dis que peut-être je ne l'aime pas, que peut-être j'aime l'idée de l'amour, que si ça se trouve je me fourvoie totalement. M'enfin bon, c'est juste mon côté depressivo-analytique qui s'exprime, par ce qu'il suffit que je m'imagine separé de lui pour me rendre compte que c'est totalement impossible.
Quand a craindre qu'il ne m'aime plus, c'est un truc que je ressens aussi de temps à autre, mais je crois que la plupart du temps c'est plus notre propre sentiment d'insecurité qui s'exprime, dans le sens ou c'est par ce que nous, on flippe, et que si tu lui en parle il va tomber des nues par ce que pour lui rien n'a changé...Fin je sais pas, pour moi c'est souvent comme ça.Courage en tout cas.
minose;2336554 a dit :Etrangement, je n'ai pas encore vraiment ressenti le fait qu'il ne m'aime plus. Peut-être que je lui fais trop confiance. Mais je m'accorde parfois à penser qu'il est trop bien pour moi, patati patata.
Je pense aussi avoir ce côté dépressivo-analytique. Comme je le dis souvent, j'ai besoin de ma part de drama dans ma vie. M'inventer des trucs qui vont me faire souffrir mais ne me méneront pas forcément à quelque chose de concret. Juste me créer un antidote de ce qui pourrait advenir. Imaginer la souffrance pour mieux l'appréhender, sans forcément désirer le résultat (Je ne veux pas que mon copain me quitter, mais je ne vis pas dans un monde d'illusion où je suis à l'abri).
Mieux vaut ne pas lui en parler. (Je pense que sa réaction serait en effet "Mais rien n'a changé pour moi", et je lui ferai atrocement mal. Et puis de toute façon, ce ne sont que des stupides pensées. Je viens de lui écrire une lettre enflammée, et j'ai les larmes aux yeux rien qu'au fait de ne pas dormir avec lui ce soir)