Comme je l'ai déjà raconté, on se s'est pas vus depuis la rentrée alors qu'on est dans le même établissement et j'en souffrais, il bosse beaucoup et n'a pas le temps de me voir. Je suis devenue un peu pénible à toujours lui demander quand est ce qu'il allait venir, qu'on allait ne serait ce que boire un verre... Et même s'il a reconnu l'autre jour qu'il était un copain un peu minable en ce moment, après que j'ai essayé de lui expliquer hier comment on pourrait s'arranger pour se voir pendant cette année de prépa sans que cela nuise à son travail, il m'a dit que j'étais très pénible en ce moment et que de toute façon il n'a "pas du tout envie de (me) voir en ce moment".
Plus tard dans la soirée il m'envoie un message un peu jaloux parce que je me suis faite draguée par un mec qui voulait sortir avec moi l'an dernier. Incompréhension, je réponds pas. Puis il m'envoie 10 minutes après "Je t'aime.". Je me dis "cool, quand on parlait tout à l'heure il était sur les nerfs, il bossait, en plus une matière qu'il n'aime pas toussa, mais on est encore ensemble, il m'aime."
Pas de nouvelles aujourd'hui, mais je pensais que ça allait plutôt bien. Je lui demande juste sur fb s'il veut que je lui ramène des fringues qu'il a oublié chez moi, réponse : "Je sais pas."
(j'ai pas osé lui demander pourquoi puisque je lui ai dit que j'allais me taire quelques temps pour arrêter de l'agacer.)
Putain, quand je repense qu'il y a deux semaines il me disait que j'étais l'amour de sa vie
J'espère vraiment que c'est passager, j'espère vraiment qu'il m'aime encore... Je sais que quand on est plongé dans le boulot, on a pas le temps de penser à autre chose, il a pas le temps de se demander si je lui manque ou pas, s'il m'aime ou pas, mais penser à cette situation me serre la gorge quand même...
J'ai pas mal déprimé au début de la semaine, depuis mercredi ça va mieux, et voilà ce qui me tombe dessus. J'essaie de garder le moral quand même, ça va pas trop mal. Mais s'il venait à me quitter, je ne sais même pas si j'arriverais à me relever (enfin si, je le sais, mais ça prendra du temps, j'aurais perdu mon année scolaire et j'aurais le coeur brisé).
(pas citer svp)