@Chat-au-Chocolat il resterait malgré tout le nombre important de grossesses non prévues qui amènent à des naissances, conserver (péniblement) l'accès à l'IVG, le problème de l'accès à la contraception entre autres pour les plus jeunes et les plus précaires. La prévention, la responsabilisation et l'éducation n'arrivent pas jusqu'aux "plus basses couches de la société" malheureusement en l'état actuel.
Par ailleurs comme tu le pointes, il y a la problématique de la politique nataliste qui persiste.
Le changement des mœurs est clairement au centre de tout. Les cours d'éducation à la sexualité et à la vie affective... qui ne sont actuellement dispensés qu'à 11% des élèves malgré l'obligation.