Topic des Childfree-No Kid : pas de débat relatif au choix d'avoir des enfants ici
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@Zénon Tu as déclenché la guerre 
!
Mais malheureusement on est jamais sur que le père fera son rôle une fois l'enfant né !
Mais la maman a peur de parler à son homme, c'est hahallucinant !
Quand j'ai vu le commentaire qui conseillait de solliciter les autres (les femmes sûrement), j'ai halluciné aussi, ça me ferait chier de garder un enfant car la mère n'en peux plus et que le père n'en fout pas une à la maison, ce serait le conforter dans son comportement problématique!
!Mais malheureusement on est jamais sur que le père fera son rôle une fois l'enfant né !
Mais la maman a peur de parler à son homme, c'est hahallucinant !
Quand j'ai vu le commentaire qui conseillait de solliciter les autres (les femmes sûrement), j'ai halluciné aussi, ça me ferait chier de garder un enfant car la mère n'en peux plus et que le père n'en fout pas une à la maison, ce serait le conforter dans son comportement problématique!
Je croyais qu'on avait dépassé ce stade depuis longtemps. A croire qu'une brassée d'hommes ne peut pas se montrer bons compagnons mais piètres pères. Entre les promesses non tenues, les revirements de cœur et d'esprit ou juste une médiocrité qui finit par se révéler, des hommes qui déçoivent leurs compagnes dans leur rôle de père, il y en a à la pelle et bingo, la majorité du temps c'était pas inscrit sur leurs fronts.
Et franchement, pourquoi ils feraient de tels efforts ? Ils n'en ont pas besoin. Leur médiocrité et leur violence sont aisément minimisés, oubliés, pardonnés. Faut voir comme la barre est au sol concernant nos attentes (sociétales communes) envers les hommes.
Oui, il y a des limites pour la sororité (en tout cas pour ma part) et certaines défendent des comportements aberrants de la part du père de leur enfant (il y a aussi souvent un mécanisme d'emprise/de déni salvateur là-dedans) mais si on pouvait éviter de reprendre des arguments digne des mascus sur Twitter, ce serait mieux. Le "elle avait qu'à mieux se renseigner/choisir" c'est une phrase clichée, balancée pour reporter la faute sur la victime/co-victime, la faire taire et l'enjoindre à porter une partie du blâme.
Dernière édition :
Alors je suis désolée, ma phrase n'était pas claire.
Je suis totalement d'accord avec toi, et ce que je voulais dire c'est se renseigner sur le fait que beaucoup d'hommes ne s'occupent de rien une fois le bébé né, et qu'il faut absolument en parler avant, détailler ensemble toutes les tâches (rien que pour qu'il se rende compte qu'il oublie 90% de ce que ça implique), créer un plan de répartition des tâches prenant en compte la fatigue de la grossesse et de l'accouchement, voire de l'allaitement si c'est ce qu'on souhaite, et idéalement écrire tout ça.
Et le faire avant d'être enceinte, donc se renseigner (les copines, les mères/belles-mères etc, et les forums) sur ce qu'il y aura à faire. Perso (j'ai pas d'enfant), j'aurais jamais imaginé qu'un bébé faut parfois le changer quatre à cinq fois par jour. Et donc prévoir d'avoir suffisamment de fringues pour au moins trois jours le temps que la lessive sèche, faire les lessives, acheter un sèche-linge et prévoir l'augmentation de la facture d'électricité qui va avec, etc.
Et impérativement le faire pour les dépenses associées sinon n'a pas de budget commun. Sinon c'est la mère qui ne va plus chez le coiffeur et qui a des fringues trouées pour que le bébé ait des choses correctes à sa taille.
Je suis consciente du fait que ça reste de la charge mentale à gérer avant même la conception. Et sur la encore ça repose sur le femme, et j'en suis désolée. Mais mon message de départ ne souhaitait surtout pas balancer la culpabilité sur les femmes. Je suis désolée.
En parcourant les commentaires de l'article, j'ai le sentiment qu'on repart sur ce cercle vicieux de : soutenons les femmes > ah mais pour vraiment soutenir les femmes, il faut éduquer les maris, pas appeler les copines > oui, mais en attendant aidons quand même les femmes, c'est ça être féministe > être féministe, c'est surtout ne pas oublier les responsabilités des hommes > etc.
Et tout le monde a bien raison au fond et veut la même chose : des femmes aux conditions de vie et de travail plus justes, du respect, de l'égalité.
Cela n'empêche pas qu'on a tous nos filtres et nos biais, notre jauge de patience (qui varie selon les jours), nos expériences.
Perso, je vois beaucoup aussi des femmes qui sont avec des gros branquignoles depuis le jour 1 et qui font quand même des enfants avec. J'ai du mal à m'émouvoir quand elles sont exténuées de tout gérer seules (car forcément, leur mec ne s'est pas transformé subitement en petit lutin du logis). Et j'ai encore moins envie de mettre la main à la pâte.
Mais je suis consciente que c'est aussi simple pour moi de juger : je n'ai pas envie d'enfants. J'ai donc encore plus de mal à imaginer un enfant avec un nullos (en fait, la vie tout court avec un nullos
).
Mais pour certaines femmes, peut-être que le désir de maternité est tellement fort que cet aspect de future charge mentale est zappé (consciemment ou non) ou passe tout simplement après l'envie et la joie de devenir maman.
Et tout le monde a bien raison au fond et veut la même chose : des femmes aux conditions de vie et de travail plus justes, du respect, de l'égalité.
Cela n'empêche pas qu'on a tous nos filtres et nos biais, notre jauge de patience (qui varie selon les jours), nos expériences.
Perso, je vois beaucoup aussi des femmes qui sont avec des gros branquignoles depuis le jour 1 et qui font quand même des enfants avec. J'ai du mal à m'émouvoir quand elles sont exténuées de tout gérer seules (car forcément, leur mec ne s'est pas transformé subitement en petit lutin du logis). Et j'ai encore moins envie de mettre la main à la pâte.
Mais je suis consciente que c'est aussi simple pour moi de juger : je n'ai pas envie d'enfants. J'ai donc encore plus de mal à imaginer un enfant avec un nullos (en fait, la vie tout court avec un nullos
).Mais pour certaines femmes, peut-être que le désir de maternité est tellement fort que cet aspect de future charge mentale est zappé (consciemment ou non) ou passe tout simplement après l'envie et la joie de devenir maman.
@Coahoma. Dans les grosses lignes je suis d'accord avec toi mais j'aimerais apporter une légère nuance.
J'ai parfois entendu parler de femmes qui font des enfants avec des hommes alors que tous les signes étaient déjà là, parce qu'elles sont dans une sorte de déni où elles s'imaginent qu'ils vont changer. Il y a aussi des couples qui font des enfants pour "cimenter leur couple" ou qui pensent que ça va arranger les choses. Un homme va pas miraculeusement changer avec l'arrivée d'un bébé, il y a même plus de chance qu'il finisse par fuir si de base, ce n'est pas une personne très responsable. On peut certes, pas avoir de certitude avant mais quand on part sur quelqu'un qui potentiellement, a déjà du mal avec la répartition des tâches ménagères etc, ça pue un peu à l'avance
J'ai parfois entendu parler de femmes qui font des enfants avec des hommes alors que tous les signes étaient déjà là, parce qu'elles sont dans une sorte de déni où elles s'imaginent qu'ils vont changer. Il y a aussi des couples qui font des enfants pour "cimenter leur couple" ou qui pensent que ça va arranger les choses. Un homme va pas miraculeusement changer avec l'arrivée d'un bébé, il y a même plus de chance qu'il finisse par fuir si de base, ce n'est pas une personne très responsable. On peut certes, pas avoir de certitude avant mais quand on part sur quelqu'un qui potentiellement, a déjà du mal avec la répartition des tâches ménagères etc, ça pue un peu à l'avance
et certaines font un enfant et se rendent compte que le père ne fait pas son rôle (ce qui peut arriver, car un bon compagnon ne sera pas forcément un bon père), mais en font quand même un second?
et dans les commentaires de l'article, on parle même d'obectif de société (sûrement le fameux village ), bin non en fait, sinon quand est ce qu'on met enfin les hommes face à leurs responsabilités?
ca me fait penser au pote et coach sportif de mon conjoint, qui voulait dormir devant chez nous en camping sauvage ou chez nous, juste la veille d'une compétition pour accompagner mon conjoint alors qu'il vit a a 20 minutes, pour soi disant être à l'heure,
le monsieur venait d'être papa, bébé ne faisait pas ses nuits, a mon avis il a voulu fuir une nuit et laisser madame se débrouiller, et aussi il est parti en vacances seul, encore en laissant madame avec bébé se débrouiller!
mon homme me fait ca, qu'il parte en vacances,ok, mais il ne reviendrai plus!
et dans les commentaires de l'article, on parle même d'obectif de société (sûrement le fameux village ), bin non en fait, sinon quand est ce qu'on met enfin les hommes face à leurs responsabilités?
ca me fait penser au pote et coach sportif de mon conjoint, qui voulait dormir devant chez nous en camping sauvage ou chez nous, juste la veille d'une compétition pour accompagner mon conjoint alors qu'il vit a a 20 minutes, pour soi disant être à l'heure,
le monsieur venait d'être papa, bébé ne faisait pas ses nuits, a mon avis il a voulu fuir une nuit et laisser madame se débrouiller, et aussi il est parti en vacances seul, encore en laissant madame avec bébé se débrouiller!
mon homme me fait ca, qu'il parte en vacances,ok, mais il ne reviendrai plus!
Ce genre de sujets, je trouve ça compliqué parce qu'au final le patriarcat et le capitalisme font qu'on se mord la queue à un moment. On est toutes d'accord pour dire que les h font pas assez mais on emprunte pas toutes le même chemin de réflexion qui pourtant mène au même endroit.
Les h prennent pas leurs responsabilité -> les femmes se soutiennent -> on demande rien aux h -> on prend toute la charge -> on s'impose pas - > les h ne prennnent pas leurs responsabilités.
+ écarts de salaire, écarts de dispo, charge mentale, précarité, maladie etc.
Mais du coup on en sort comment sans shutdow le patriarcat et le capitalisme ?
J'estime que la sororité devrait être sans limites et qu'on devrait embrasser toutes les femmes & minorités de genre, et se soutenir; la société se charge bien assez de nous descendre pour qu'on le fasse entre nous. Trump ne serait pas passé sans le vote des femmes. Preuve qu'on a besoin d'être toutes dans le même camp.
Mais dans les faits ça veut dire quoi ?
Est ce qu'on peut considérer que notre aide à chacune doit être sans limite ? Est ce que ça veut dire qu'on doit sacrifier nos vies et nos choix au profit de l'aide aux autres femmes ? Est ce qu'on n'a plus le droit à une journée off parce que d'autres souffrent/ont besoin d'aide. Je pense que la position sacrificielle est pas tenable sur le long terme.
Ca me semble pas réaliste.
Les h prennent pas leurs responsabilité -> les femmes se soutiennent -> on demande rien aux h -> on prend toute la charge -> on s'impose pas - > les h ne prennnent pas leurs responsabilités.
+ écarts de salaire, écarts de dispo, charge mentale, précarité, maladie etc.
Mais du coup on en sort comment sans shutdow le patriarcat et le capitalisme ?
J'estime que la sororité devrait être sans limites et qu'on devrait embrasser toutes les femmes & minorités de genre, et se soutenir; la société se charge bien assez de nous descendre pour qu'on le fasse entre nous. Trump ne serait pas passé sans le vote des femmes. Preuve qu'on a besoin d'être toutes dans le même camp.
Mais dans les faits ça veut dire quoi ?
Est ce qu'on peut considérer que notre aide à chacune doit être sans limite ? Est ce que ça veut dire qu'on doit sacrifier nos vies et nos choix au profit de l'aide aux autres femmes ? Est ce qu'on n'a plus le droit à une journée off parce que d'autres souffrent/ont besoin d'aide. Je pense que la position sacrificielle est pas tenable sur le long terme.
Ca me semble pas réaliste.
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Le "renseignez-vous avant de faire des enfants" (ou tout simplement "réfléchissez"), il n'est pas faux non plus.
Combien de fois j'ai entendu/lu "j'étais avec un mec qui ne foutait pas grand-chose (voire pire), mais j'ai quand même voulu avoir un enfant avec lui en pensant que ça le rendrait plus mature" ou un truc du même genre ? PLEIN-DE-FOIS. Trop de fois. C'est difficile de séparer l'inné de l'acquis, mais je pense clairement que s'il y avait moins d'injonctions à la maternité, les femmes se précipiteraient beaucoup moins pour faire des gosses avec le premier venu. Sachant qu'après, ce sont elles qui en souffrent : elles se sentent seules, elles sont fatiguées, elles n'ont plus de temps pour elles... OK, elles sont devenues mères, et après ? Ca leur apporte le bonheur et l'épanouissement escompté ?
Il faut éduquer les femmes à mieux choisir leur partenaire, et arrêter d'être aussi indulgents envers les hommes médiocres, qu'on acclame lorsqu'ils changent une couche tous les 6 mois. Ce n'est pas en acceptant la nullité de ces hommes (comme si c'était une fatalité, un truc gravé dans le marbre) et en recourant aux femmes de son entourage comme palliatif qu'on va changer les choses. C'est un cercle vicieux.
Après, évidemment, je sais que les inégalités se creusent à l'arrivée d'un enfant, même dans les couples a priori égalitaires. Ce n'est pas aussi simple que "elle n'avait qu'à mieux choisir". Mais il y a du vrai là-dedans. Le jour où les femmes arrêteront de prendre n'importe quel naze comme partenaire et comme père, le patriarcat aura du souci à se faire. C'est une responsabilité commune, je dirais : aux femmes d'arrêter de mettre la barre au sol en termes de standards, aux hommes de se comporter enfin comme des adultes dignes de ce nom.
Combien de fois j'ai entendu/lu "j'étais avec un mec qui ne foutait pas grand-chose (voire pire), mais j'ai quand même voulu avoir un enfant avec lui en pensant que ça le rendrait plus mature" ou un truc du même genre ? PLEIN-DE-FOIS. Trop de fois. C'est difficile de séparer l'inné de l'acquis, mais je pense clairement que s'il y avait moins d'injonctions à la maternité, les femmes se précipiteraient beaucoup moins pour faire des gosses avec le premier venu. Sachant qu'après, ce sont elles qui en souffrent : elles se sentent seules, elles sont fatiguées, elles n'ont plus de temps pour elles... OK, elles sont devenues mères, et après ? Ca leur apporte le bonheur et l'épanouissement escompté ?
Il faut éduquer les femmes à mieux choisir leur partenaire, et arrêter d'être aussi indulgents envers les hommes médiocres, qu'on acclame lorsqu'ils changent une couche tous les 6 mois. Ce n'est pas en acceptant la nullité de ces hommes (comme si c'était une fatalité, un truc gravé dans le marbre) et en recourant aux femmes de son entourage comme palliatif qu'on va changer les choses. C'est un cercle vicieux.
Après, évidemment, je sais que les inégalités se creusent à l'arrivée d'un enfant, même dans les couples a priori égalitaires. Ce n'est pas aussi simple que "elle n'avait qu'à mieux choisir". Mais il y a du vrai là-dedans. Le jour où les femmes arrêteront de prendre n'importe quel naze comme partenaire et comme père, le patriarcat aura du souci à se faire. C'est une responsabilité commune, je dirais : aux femmes d'arrêter de mettre la barre au sol en termes de standards, aux hommes de se comporter enfin comme des adultes dignes de ce nom.
Hello à vous !
TW : évocations de violences intra familiales
Concernant ces femmes qui font des enfants avec des mecs plutôt (beaucoup) nuls, ça me fait venir une pensée en tête.
Je m'intéresse un peu à la psychologie en amatrice, et dernièrement j'ai appris sur l'attachement secure, attachement anxieux et attachement évitant, la reproduction des schémas parentaux, les effets des violences physiques et verbales et les ambiances malsaines à la maison sur le cerveau encore en formation des petits.
En fait ce qu'on vit à la maison dans l'enfance devient notre référence de base, notre normalité. Une histoire de dépendance à l'adulte, en tant que bébé qui a besoin qu'on s'occupe de lui et ce, peu importe les conditions : pour notre survie notre cerveau s'adapte à la violence etc, la légitime parfois ("j'ai été méchant.e donc j'ai reçu une claque de papa, c'est normal car il m'aime il le fait pour mon bien")
Tout ça laisse une marque sur les individus adultes qui n'auront pas appris à faire le discernement et ainsi être en capacité de refuser une relation malsaine : partenaire jaloux, possessif, contrôlant, pas capable de gérer ses émotions sans crier ou frapper, rôle stéréotypés homme femme (maman prend son 2e travail de la journée à la cuisine pendant que papa fait un petit FIFA pour se détendre du boulot ).
On ne peut pas avoir envie de quelque chose dont on n'a jamais eu connaissance, comment peut on vouloir un gars qui ferait sa part de lessive et le sac de piscine de Titouan, quand dans l'entourage dans lequel on a grandi aucun mec n'a jamais fait ça ou alors juste une fois pour rire ?
Hélas les humains sont des machines à imiter et c'est moins difficile pour le cerveau de reproduire les schémas classiques plutôt que de tout remettre en question et de tracer de nouvelles routes. Surtout qu'à moins d'avoir les moyens psychologiques, financiers, et l'énergie de faire une thérapie, de se renseigner sur les mécanismes de l'attachement, ainsi que BIEN SÛR de prendre connaissance des mécanismes pourris du système patriarcal qui touche tous les domaines de notre société humaine
on est coincé.es dans la matrice
Voilà ma petite hypothèse à ce sujet
TW : évocations de violences intra familiales
Concernant ces femmes qui font des enfants avec des mecs plutôt (beaucoup) nuls, ça me fait venir une pensée en tête.
Je m'intéresse un peu à la psychologie en amatrice, et dernièrement j'ai appris sur l'attachement secure, attachement anxieux et attachement évitant, la reproduction des schémas parentaux, les effets des violences physiques et verbales et les ambiances malsaines à la maison sur le cerveau encore en formation des petits.
En fait ce qu'on vit à la maison dans l'enfance devient notre référence de base, notre normalité. Une histoire de dépendance à l'adulte, en tant que bébé qui a besoin qu'on s'occupe de lui et ce, peu importe les conditions : pour notre survie notre cerveau s'adapte à la violence etc, la légitime parfois ("j'ai été méchant.e donc j'ai reçu une claque de papa, c'est normal car il m'aime il le fait pour mon bien")
Tout ça laisse une marque sur les individus adultes qui n'auront pas appris à faire le discernement et ainsi être en capacité de refuser une relation malsaine : partenaire jaloux, possessif, contrôlant, pas capable de gérer ses émotions sans crier ou frapper, rôle stéréotypés homme femme (maman prend son 2e travail de la journée à la cuisine pendant que papa fait un petit FIFA pour se détendre du boulot ).
On ne peut pas avoir envie de quelque chose dont on n'a jamais eu connaissance, comment peut on vouloir un gars qui ferait sa part de lessive et le sac de piscine de Titouan, quand dans l'entourage dans lequel on a grandi aucun mec n'a jamais fait ça ou alors juste une fois pour rire ?
Hélas les humains sont des machines à imiter et c'est moins difficile pour le cerveau de reproduire les schémas classiques plutôt que de tout remettre en question et de tracer de nouvelles routes. Surtout qu'à moins d'avoir les moyens psychologiques, financiers, et l'énergie de faire une thérapie, de se renseigner sur les mécanismes de l'attachement, ainsi que BIEN SÛR de prendre connaissance des mécanismes pourris du système patriarcal qui touche tous les domaines de notre société humaine
on est coincé.es dans la matrice Voilà ma petite hypothèse à ce sujet
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