Les prénoms, révélateurs des discriminations du bac.
Tous les ans on a droit à l'analyse du sociologue Baptiste Coulmont, et tous les ans on remarque que les inégalités sociales sont loin de se réduire.
(ne pas lire les commentaires, c'est du gros n'importe quoi).
"Le bac est, en réalité, un examen très discriminant. Contrairement à ce que pensent les vieux philosophes conservateurs, « tout le monde » ne l’a pas. Moins de 40 % des personnes nées en 1995 ont obtenu un bac général. Un quart de cette génération n’a pas le bac, principalement les enfants des milieux les plus défavorisés, très rarement les enfants des cadres. Ainsi 90 % des enfants d’enseignants entrés en 6e en 1995 ont obtenu le bac (et 40 % un bac S), ce n’est le cas que de 40 % des enfants d’ouvriers non qualifiés (moins de 5 % sont détenteurs d’un bac S)."
Tous les ans on a droit à l'analyse du sociologue Baptiste Coulmont, et tous les ans on remarque que les inégalités sociales sont loin de se réduire.
(ne pas lire les commentaires, c'est du gros n'importe quoi).
"Le bac est, en réalité, un examen très discriminant. Contrairement à ce que pensent les vieux philosophes conservateurs, « tout le monde » ne l’a pas. Moins de 40 % des personnes nées en 1995 ont obtenu un bac général. Un quart de cette génération n’a pas le bac, principalement les enfants des milieux les plus défavorisés, très rarement les enfants des cadres. Ainsi 90 % des enfants d’enseignants entrés en 6e en 1995 ont obtenu le bac (et 40 % un bac S), ce n’est le cas que de 40 % des enfants d’ouvriers non qualifiés (moins de 5 % sont détenteurs d’un bac S)."