@Thedreaming @Allitché
Je sais pas si c'est forcément un truc de blanc, on a aussi beaucoup de réalisatrices (il me semble que c'est toujours des femmes) qui racontent ce type d'histoires et qui sont maghrébines elles-mêmes. Peut-être que c'est aussi le seul type de film qu'elles voient validés par les producteurs, c'est possible aussi.
J'ai surtout en tête Aïcha, de Yamina Benguigui madame la ministre. L’héroïne veut absolument travailler de l'autre côté du périph', pour "s’intégrer" et sortir avec un blanc.
Pourtant Benguigui a beaucoup travaillé la question de la place des immigrés en France dans plusieurs docus, et le jour où elle fait un film, qu'est-ce qui se passe, ben elle reproduit le truc.
On peut se demander si c'est du racisme internalisé, si c'est une façon de pouvoir travailler (on ne les laisse pas faire autre chose), ou peut-être que c'est aussi parce ces femmes sont réalisatrices, elles sont "occidentalisées" de la même façon que leurs héroïnes le sont ou voudraient l'être... ?
Je sais pas si c'est forcément un truc de blanc, on a aussi beaucoup de réalisatrices (il me semble que c'est toujours des femmes) qui racontent ce type d'histoires et qui sont maghrébines elles-mêmes. Peut-être que c'est aussi le seul type de film qu'elles voient validés par les producteurs, c'est possible aussi.
J'ai surtout en tête Aïcha, de Yamina Benguigui madame la ministre. L’héroïne veut absolument travailler de l'autre côté du périph', pour "s’intégrer" et sortir avec un blanc.
Pourtant Benguigui a beaucoup travaillé la question de la place des immigrés en France dans plusieurs docus, et le jour où elle fait un film, qu'est-ce qui se passe, ben elle reproduit le truc.
On peut se demander si c'est du racisme internalisé, si c'est une façon de pouvoir travailler (on ne les laisse pas faire autre chose), ou peut-être que c'est aussi parce ces femmes sont réalisatrices, elles sont "occidentalisées" de la même façon que leurs héroïnes le sont ou voudraient l'être... ?