Violet-skye : Haaa OK. Bon je t'avouerais que je me sentais un peu privilégiée quand même. Ce qui est chouette même si c'est pas le cas, c'est un sentiment agréable de voir que ton gynéco te parle et te considère avec bienveillance.
(... et pas comme une espèce d'usine à sucres, hein Evil Gynéco de l'autre fois !!)
Je sais pas si c'est le meilleur endroit pour le raconter, mais bon, j'me lance quand même :
Hier chez la sage-femme, il y a un truc qui est ressorti chez moi : il semblerait quand même que je sois un poil traumatisée par les histoires familiales, et que ça me "bloque" un peu dans une terreur que j'essaye de contrôler par rationalisation.
Exemple : ma mère qui me raconte complaisamment que j'ai failli y rester à l'accouchement, et que pour me sortir il a failli une épisio longue comme le bras. Ma belle-mère qui a eu un accident de bagnole pendant sa grossesse, et son fils (le grand-frère de l'Homme donc) qui est maintenant handicapé mental.
Elle m'a conseillée de voir un spécialiste, pas un psy, mais un "kinésio", je sais pas trop ce qui c'est, j'vais me renseigner.
... et à peine sortie de chez la SF, coup de fil d'une copine qui m'annonce qu'une connaissance commune a fait une fausse couche, et qui me dit de pas l'appeler parce que "Toi t'es encore enceinte, tu vas lui faire de la peine".
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*depressed Gandalf*
... du coup j'avoue que je suis bien contente d'être en arrêt jusqu'à la fin de semaine. Et je mange des bredele en faisant des doigts à Evil Gynéco (très adulte, très mature comme comportement).