@Clematis (et les autres)
Ouhlalala pardon
J'ai employé le terme "rhume" pour deux raisons : pour faire écho au message auquel je répondais (et qui se demandait pourquoi se faire vacciner alors qu'on avait l'impression de ne pas être particulièrement concerné par la grippe), et aussi pour son caractère "bénin". Je m'explique avant de provoquer une deuxième levée de boucliers
Pour faire simple, une maladie bénigne est une maladie qui va guérir, ne pas provoquer de mortalité ou de mordibité importante. Par morbidité j'entends des conséquences à moyen ou long terme (en trèèès gros).
Une grippe, chez une personne en bonne santé, qui ne va pas développer de complications, c'est chiant et désagréable. Ca provoque exactement tout ce que tu as dit, on passe une très mauvaise semaine, on est cloué au lit et on se sent vraiment vraiment pas bien, on est incapables de faire quoi que ce soit. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle les boîtes qui adoooorent la productivité détestent la grippe et veulent que leurs employés se fassent vacciner.
Mais globalement, aussi chiante soit la grippe (toujours chez les personnes en bonne santé qui ne développent pas de complications), elle est bénigne. Elle ne met pas la vie en danger, elle ne condamne pas la moitié d'un poumon, ne paralyse pas comme la polio, ne nous coupe pas le souffle au moindre effort dix mois plus tard.
Et je conçois volontiers que ça puisse être frustrant : on a l'impression d'être au bout de sa vie, on va chez le médecin, il soupire, dit que c'est la grippe, ne propose rien d'autre qu'un traitement symptomatique et voilà. Parce qu'aussi chiant que ça puisse être à échelle individuelle, ça n'est pas grave, et ça guérit relativement vite.
(Je dis bien que tout ceci concerne les personnes en bonne santé qui ne vont pas développer de complications) (et oui, traîner une fatigue pendant six mois comme le covid, je vous rassure, je trouve aussi que c'est une complication)
Pardon pour ce mauvais usage du mot "rhume", je ne voudrais pas faire croire que la grippe est à banaliser et je ne la balaie pas du revers de la main ni quoi que ce soit
Ouhlalala pardon
J'ai employé le terme "rhume" pour deux raisons : pour faire écho au message auquel je répondais (et qui se demandait pourquoi se faire vacciner alors qu'on avait l'impression de ne pas être particulièrement concerné par la grippe), et aussi pour son caractère "bénin". Je m'explique avant de provoquer une deuxième levée de boucliers
Pour faire simple, une maladie bénigne est une maladie qui va guérir, ne pas provoquer de mortalité ou de mordibité importante. Par morbidité j'entends des conséquences à moyen ou long terme (en trèèès gros).
Une grippe, chez une personne en bonne santé, qui ne va pas développer de complications, c'est chiant et désagréable. Ca provoque exactement tout ce que tu as dit, on passe une très mauvaise semaine, on est cloué au lit et on se sent vraiment vraiment pas bien, on est incapables de faire quoi que ce soit. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle les boîtes qui adoooorent la productivité détestent la grippe et veulent que leurs employés se fassent vacciner.
Mais globalement, aussi chiante soit la grippe (toujours chez les personnes en bonne santé qui ne développent pas de complications), elle est bénigne. Elle ne met pas la vie en danger, elle ne condamne pas la moitié d'un poumon, ne paralyse pas comme la polio, ne nous coupe pas le souffle au moindre effort dix mois plus tard.
Et je conçois volontiers que ça puisse être frustrant : on a l'impression d'être au bout de sa vie, on va chez le médecin, il soupire, dit que c'est la grippe, ne propose rien d'autre qu'un traitement symptomatique et voilà. Parce qu'aussi chiant que ça puisse être à échelle individuelle, ça n'est pas grave, et ça guérit relativement vite.
(Je dis bien que tout ceci concerne les personnes en bonne santé qui ne vont pas développer de complications) (et oui, traîner une fatigue pendant six mois comme le covid, je vous rassure, je trouve aussi que c'est une complication)
Pardon pour ce mauvais usage du mot "rhume", je ne voudrais pas faire croire que la grippe est à banaliser et je ne la balaie pas du revers de la main ni quoi que ce soit