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Le Point
La police a resserré son étau autour de deux suspects franco-algériens issus de Pantin, et revenus de Syrie cet été, selon les informations du Point.fr. Les deux hommes ont 32 et 34 ans. L'un des deux suspects a été jugé en 2008 dans le cadre du démantèlement de la filière irakienne dite du "19ème arrondissement" de Paris. Il avait alors déclaré "avant, j'étais un délinquant. Mais après (mon entrée dans la religion, NDLR), j'avais la pêche, je ne calculais même pas que je pouvais mourir". Il avait été interpellé en 2005, alors qu'il s'apprêtait à partir pour Damas. Le troisième suspect recherché serait un SDF né en 1996. Entre 2003 et 2005, cette organisation aurait incité une dizaine de jeunes Français à partir combattre en Irak.
je suis désolé, je n'ai pas réussi à retenir son nom, je ne le connaissais pas avant et j'avais du mal à discerner clairement son nom lorsqu'il était cité.
mais c'était sur rtl vers 19h. tu dois pouvoir réécouter le podcast si tu le souhaite vraiment, mais je te le déconseille.
l'homme était profondément attristé par la mort de ces amis, cela pouvait s'entendre, mais il a quand même était assez loin dans ces réponses et a dit des propos qui n'auraient jamais dû être dit aprés un tel événement et surtout pas venant de la bouche de quelqu'un qui a apparemment perdu des proches.
Je crois avoir compris que c'était Ivan Rioufol, du Figaro.
Tu sais s'il y aura un autre rassemblement à Montpellier dans les jours à venir? Je ne pouvais pas me déplacer ce soir et c'est un devoir pour moi de leur rendre cet hommage en publique et de dire aux auteurs de cette barbarie: nous n'avons pas peur!C'était ouf à MOntpellier aussi...
Ce serait pas étonnant que ce soit lui... Voilà ce qu'il a publié aujourd'hui dans le Figaro :Je crois avoir compris que c'était Ivan Rioufol, du Figaro.
Ce serait pas étonnant que ce soit lui... Voilà ce qu'il a publié aujourd'hui dans le Figaro :
J'entendais encore, ce mercredi sur Europe 1, Alain Juppé s'enflammer contre ceux qui sonnent l'alarme au prétexte d'un risque d' «amalgame avec l'ensemble des musulmans». François Hollande, lundi, refusait de parler d'«ennemis de l'intérieur». Ces discours émollients participent à l'endormissement des vigilances. Il y a, oui, un retour aux années trente. Mais il se lit, ce retour, non pas chez les peuples d'Europe qui craignent l'islamisme chez eux, mais chez les donneurs de leçons qui se veulent pas voir ce nouveau totalitarisme coranique. (...) La France est en guerre. Demain, en guerre civile peut-être. (...) En 1954, en Algérie, l'Armée de libération nationale ne comptait pas plus de 800 hommes ; ils ont réussi à faire plier la République huit ans plus tard. Les djihaistes français ne sont guère plus nombreux mais ceux-là sont tout autant déterminés à nous humilier, à nous soumettre à l'islam et à faire taire la liberté d'expression.