A Elle* : L'ombre de ta maladie hante tous mes textes, mais je n'arrive jamais à l'aborder de front car elle a frappé trop près de moi. Car, malgré les apparences, tu es toujours juste à côté de mon c?ur. Je pense à toi. On ira voir la mer, je sais qu'elle t'a manqué.
A Lui : Peut-être que quand tu partiras je serai obligée de voler de mes propres ailes. C'est peut-être une bonne chose. Tu va me manquer, mais je comprends. Toi aussi, comprends qu'un pari de deux ans sur "notre avenir", c'est difficile à nôtre âge.