Ce que j'aimerais lui dire...

[AnonymousUser]

Tu viens de me dire deux mots et je suis en larmes. Je n'arrive pas à savoir si c'est de la joie ou de la tristesse.

Je me rend compte à quel point ça doit être dur pour toi de faire ce petit effort, d'essayer d'entrer en contact, et j'ai l'impression de ne pas réagir avec autant d'ampleur que ce que tu mérites pour ton geste.

En fait, j'aimerai te prendre dans mes bras, qu'on pleure un bon coup ensemble, et que tout reparte comme avant...mais en même temps, cet avant me fait peur, tu me fais peur. Es-tu encore en train de me manipuler, ou es-tu sincère ? Je ne sais plus.

J'ai tellement peur que tu rompes notre relation, je tiens tellement à toi, malgré tout ce qui nous arrive J'ai envie que tu saches que quoiqu'il arrive, quoi que tu fasses, tu resteras toujours ma petite soeur, et j'aurai toujours de l'affection et de l'amour pour toi. On a vécu trop de choses importantes à mes yeux (même si pas aux tiens), pour que je puisse tout effacer...

 

[Weaver]

Je me demande ce que tu fuis. J'aimerais que cela soit moi. Un jour j'arrêterais de penser à toi. Je suis ridicule.

 

[Monsieur B.]

Je t'en supplis, reviens. Je suis rien sans toi, t'étais ce qui faisait battre mon coeur. Je me sens vide sans ta voix dans mes oreilles. Je veux lire tes messages le matin en me réveillant, et le soir en me couchant avoir une image de toi. Je peux pas te sortir de ma vie, pas après une année comme ça, je veux pas, j'en suis incapable. Je t'aime toujours mon amour, aide moi

 

[Saturne]

J'aimerais LEUR dire ;

" Zoé, Alba, Agathe, Béré, Vi, Audrey, putin vous me manquez. Vous étiez mon équilibre dans ce monde de fous. Vous étiez mes amies, et y'en avait toujours une pour m'écouter et m'aider. Toujours présentes dans mes moments sombres. Je regrette plus que tout d'avoir quitté le lycée.
Maintenant, on a chacune notre vie de notre coté. Les temps changent... et les amis ne restent pas forcément. Aujourd'hui, je me sens seule, abandonnée, sans attache. Sans avoir personne à qui me confier quand les jours s'assombrissent. Personne avec qui déconner, avec qui rire franchement, sans porter un masque. Vous étiez beaucoup pour moi, et je suis incapable de retrouver pareille amitié. Vous me manquez. Je voudrais revenir au temps où on traîner à l'internat, ou on passer des après midis au soleil à glander comme des lycéens. J'ai besoin de vous. "

 

[Camichounette]

A une vieille amie qui vient de me lâcher pour une connerie que je ne comprend pas:

Écoute ma louloute j'ai toujours était la pour toi, dès que tu déprimer j'apportais ma crème glacer et me faisait un plaisir de passer des heures a t'écouter et faire la folle pour que tu rie. Mais aujourd'hui tu as décider de me tourner le dos lâchement pour des histoire plutôt bébé parce que j'ai fait un truc qui ne plaisait pas a tes nouveau amis!
Je veux que tu saches que je t'adores comme c'est pas permis mais c'est juste le gouttes qui fait débarder la vase, je crois que cette fois je pourrais pas te pardonner.
Adieu et j'espère que tu sera heureuse

Voila les filles sa fait du bien juste de l'écrire car oui sa me fait de la peine mais bon cette historie ma permis de voir son vrai visage et j'crois que la meilleurs chose et de tirer un trait sur elle, j'ai pas envie de souffrir et qu'on me prennent pour une conne.

 

[MadMoisell-s]

C'est pas que c'est flippant mais voila, tu te tapes tous mes exs et tu copies mes moindres faits et gestes. C'est quoi ton problème ?

 

[Lenwha]

Pourquoi tu lui as envoyé un MP ? Alors que depuis que nous sommes ensemble, tu n'as parlé à aucune fille de ce site. Je me fais du soucis pour rien, ou quelque chose ne va pas ?
Je suis jalouse, oui. De voir que tu lui écris de jolis messages aux quels je n'ai plus le droit sous prétexte que nous sommes ensemble et que tu n'as presque plus rien à me prouver. Je refuse.

 

[Eternity-]

Essaye de comprendre. Ne lis pas à travers mes mots, s'il te plait. Ne te bouche pas les oreilles quand je te parle. Essaye juste de me comprendre, pas forcément de m'approuver ou désaprouver. S'il te plait, fais quelque chose. Je souffre moi, mais ça tu le vois même pas.

 

[Zélande]

J'arrête pas de pleurer depuis une heure et tu sais, entre deux crises, je me dis la même chose : et si seulement j'avais tes bras, si seulement tu étais là, serais-je en train de pleurer ?

 

[MadMoisell-s]

Bon, fini le jeu de séduction ! Si tu m'aimes dis le moi, maintentant ... Ou alors tais-toi a jamais !

 

[Darla]

Je prends conscience que tu t'es foutu de ma gueule, et toi, tu t'en rends compte que je t'aimais.
Pour la premiere fois on se comprends, regarde comme nous sommes fusionnels, c'est beau hein ?

 

[Darla]

Je vivais avec toi, tu étais ma première pensée le matin, tu occupais mes journées, et le soir tu jouais le personnage principal de mes rêves.
C'etait cool d'être amoureuse de toi, de marcher côte à côte et de nous observer dans les vitrines des magasins, on ressemblait au couple parfait. Tu m'forçais à croire que tu m'aimais et j'me forçais à croire que c'était vrai, on étaient en totale harmonie.
Une des choses qui m'ont fait le plus mal lorsque tu es parti c'est ton ignorance totale, rien ne pouvait t'atteindre, de toute façon rien ne t'as jamais atteins de près ou de loin, t'étais tellement impassible. Tellement vide.
J'avais beau changer, hurler que je t'aimais, pleurer en bas de chez toi ou frôler la crise cardiaque à chaque fois que je te croisais, tu restais tellement droit, un vrai robot programmer pour faire souffrir.
C'etait pas le hasard, c'était le programme, c'était l'emploi du temps : " Lundi l'aimer, mardi être son ami, mercredi être son amour, jeudi faire le mort, vendredi l'embrasser, samedi la tromper, et dimanche tout recommencer "
Si j'avais pu, j'aurai pris ton amour en toc et je l'aurais massacrer à coup d'hypocrisie; c'est bien elle ta pire ennemie, non ?
Mais, tout ça est passé, j'ai compris que je n'étais pas celle qui te fallait, et avec du recul je comprends que tu n'es pas, non plus, celui qui me fallait.
Ce n'est plus tes blagues qui me font rire, c'est ton comportement.
Tu dis blanc, tu penses noir, tu dis que je suis trop jeune, et pourtant tu cherche l'amour de ta vie à la sortie des collèges et sur les banquettes des boites de nuits.

Aujourd'hui, je ressens le meilleur des sentiments à ton égard, depuis que je te connais. Après l'amour, la haine, voilà l'indifférence qui arrive doucement, mais sûrement.