Ce que j'aimerais lui dire...

[Zélande]

L'amitié me grandit, cette forme d'amour inexplicable, sans fin, que je peux ressentir pour mes amis.

Mais toi, tu es un peu plus que cela... je tombe petit à petit amoureuse de toi, et j'en ai terriblement peur, et je ne veux pas m'arrêter. J'ai l'impression que nous sommes une évidence, tous les deux. Tout de toi fait écho en moi. Je voudrais passer des heures et des heures encore à tes côtés, t'écouter sans rien dire, ou parler sous ta présence rassurante. Tu me rassures, ton odeur me rassure, ta voix me rassure.
Tu es tellement pour moi, et à la fois si peu.

 

[Zaïre]

Je déteste rarement les gens et il faut vraiment me faire sortir de mes gonds pour que ça arrive... mais c'est arrivé. Ces nanas-là, je les déteste, de tout mon coeur. Ca ne durera pas, je passerai outre et j'oublierai, mais là, présentement, elles représentent tout ce que je déteste chez les femmes. Et je les vomis.

Voilà, c'était ma minute de violence gratuite, et ça ne se reproduira plus.

 

[Ancien membre]

Je ne suis plus qu'un chaton triste qui ne miaule plus depuis que tu es parti.

 

[Weaver]

Gone.

 

[mimichocolate]

Reviens... stp reviens... dieu seul sait a quel point je t'aime, je t'ai aimer et comment j'ai mal... et reviens que je te dise se que je ressens je suis en colère, je t'en veux, tu n'avais pas le droit de me blesser comme tu viens de le faire... je vais te détester pendant longtemps mais reviens quand meme bizarrement j'aimerai vraiment que ce soit toi l'homme de ma vie. Je suis complétement folle je crois....

 

[Etoile d-araignée]

Je ne sais plus si c'est toi ou moi qui déconne.
Je ne sais plus quoi penser. Plus quoi faire.

 

[Weaver]

Il est possible que je flirte avec toi ce soir. Ne le prend pas personnellement, je suis comme ça avec tout le monde.

 

[AnonymousUser]

Tu as été horrible avec moi, je méritais pas ça. Je t'en veux énormément et je ne te pardonnerais jamais. Ce que j'ai vécu avec toi, c'était un conte de fée, j'était heureuse, vivante, c'était génial, mais là je ne peux pas te pardonner, tu m'as fait beaucoup trop de mal.

 

[Somewhere]

Va te faire foutre.

 

[Polysemie]

T'es sûr d'être gay?
(parce que vois-tu, tu me plais bien)

 

[Fouipin]

Vous me manquez. Vous étiez tout pour moi. Mon point fixe, mon sas de décompression, mes amis rassurants, des gens de confiance, des amours en susucre, des branleurs super cons, des bons moments assurés.
Un grand sentiment de liberté.

Vous êtes partis à un an d'intervalle, et mazette, personne n'imagine à quel point vous me manquez. Je commence à me dire que je radote avec ça. Mais les gars j'arrive pas à surmonter votre perte. J'pense à vous tout le temps. Je suis que dalle sans vous. J'ai toujours pas réussi à me reconstruire socialement, parce que je compare tout à vous. Et ça me parait si fade et si hypocrite. Je ne suis à ma place nulle part maintenant que vous n'êtes plus là.

Moi j'vais choisir de rester en vie, parce que j'vais pas gâcher ma chance. D'ailleurs Vianney t'aurai dû en faire autant. J'suis un peu en colère contre toi. Tu t'es planté, mec. T'as merdé grave. Comme s'il n'y avait pas eu assez de l'accident. Tu m'as laissée toute seule.
Quant à toi mon loup, j'me sens super impuissante. Je veille à ce que ton chauffard d'assassin n'oublie pas ce qu'il a provoqué. Je sais que ça te fera pas revenir, mais ça me fait du bien.

Je crois que je n'ai plus de rage à évacuer, maintenant. J'ai un grand vide en moi. Vous me manquez.

 

[Weaver]

Pars pas. Pas aussi loin. Pas aussi longtemps.