Ce que j'aimerais lui dire...
- Initiateur de la discussion Abelys
- Date de début
A
Ancien membre
Guest
Ouvre les yeux, il te rend malheureuse et tu es à ses pieds, tu acquiesces à chaque fois qu'il te fais du mal. S'il t'aimait, il ne te ferait pas subir ça. Ouvre tes yeux bordel!! Ne te voile pas la face.
Je lui exploserai bien la tête lui dirai bien les pires horreures , mais je sais que tu ne serais pas d'accord. Ouvres tes yeux...
Tu peux tout me dire tu sais, je serais toujours avec toi, même si je ne suis pas d'accord, je te soutiendrai...
Je lui exploserai bien la tête lui dirai bien les pires horreures , mais je sais que tu ne serais pas d'accord. Ouvres tes yeux...
Tu peux tout me dire tu sais, je serais toujours avec toi, même si je ne suis pas d'accord, je te soutiendrai...
A lui : Ce n'est plus comme avant, et ça ne sera jamais plus comme avant. Je trouve ça triste, c'est du gâchis, c'est vraiment malheureux. Tu vois je te considérais un peu comme A. dans le fond, on avait encore plein de choses à vivre, j'aurais continué à faire mon possible pour te faire marrer, pour t'aider/aimer, et puis en échange j'aurais été contente de pouvoir passer du temps à tes côtés, de pouvoir être proche de toi. Ca aurait été honnête, profond, naturel, sincère, bref épanouissant. Au lieu de ça je me retrouve contrainte à te mentir, à jouer un rôle devant toi, à te haïr. C'est désagréable de t'avoir perdu, notre relation me manque, mais je sais qu'elle est définitivement perdue.
A
Ancien membre
Guest
Je commence vraiment à m'accrocher à toi, me faire des plans sur la comète, m'imaginer des années avec toi, nous projeter dans l'avenir, comme un couple durable alors que ça ne fait que quelques mois avec toi... et ça ne m'étais pas arriver depuis l'autre. J'ai peur, peur que ça foire, de souffrir, mais j'ai quand même envie d'y croire. Me rendre compte que je t'aime, que tu es comme une drogue, me donne envie de pleurer. Larmes de joie. J'aimerai que tu t'en rendes compte. Que ce n'est pas toi qui a de la chance de m'avoir sous prétexte que tu me trouve jolies, que tu t'es toujours pris des râteaux et que je suis ta première copine, mais MOI qui ais la merveilleuse chance de t'avoir, après tout ce que j'ai vécu, toutes les déceptions, les larmes, les ruptures, après l'autre. J'ai l'impression de me reconstruire avec toi, de voir à nouveau la vie en rose, d'être moi. Tu me traites comme une reine contrairement à l'autre qui m'avait détruite. Tu es juste le mec parfait. J'aimerai que tu en ais conscience mais tu n'as pas assez confiance en toi pour le remarquer. En tout cas je le pense. Merdouille, je suis retombée amoureuse... et c'est juste trop bon. Merci d'être là, merci d'être toi, merci de m'aimer 
A
Ancien membre
Guest
2011 a été l'année du silence pour nous deux, marquée par une incompréhension mutuelle, mais à l'instant ou je t'ai revu en novembre, j'ai su que je voulais que tu restes dans ma vie, peu importe de quoi seront faits nos lendemains. Je sais que tu accompliras de grandes et belles choses et je veux t'y accompagner, d'une manière ou d'une autre. Tu es une personne brillante et dont j'aime la compagnie, tu m'as beaucoup appris, je t'ai trop aimé, mais j'ai envie, à tout prix, que 2012 soit l'année ou tu reviendras dans ma vie. Prends soin de toi, écoute toi, je serai toujours là, même de l'autre coté de la planète, même après des mois ou des années de silence, si tu as besoin de moi, je répondrai présente. Je t'aime un peu comme un grand frère que je n'ai jamais eu, merci d'exister.
Tu me manques.
Je ne peux même pas dire à quel point. D'habitude, ça va, j'arrive à faire avec. Mais pas ce soir. Ce soir, je me sens vide. Inexistante. Vide de toi et pleine de regrets, à moins qu'il ne s'agisse de remords. J'essaie de m'occuper l'esprit mais je n'y parviens pas. A chaque fois, ton image revient, s'impose, toujours plus nette.
Tu me manques. C'est tout. Ca tourne comme une agaçante ritournelle dans ma tête. Et le pire, c'est que tu ne sais pas tout ça. Parce qu'encore une fois, j'ai fais celle qui était forte, qui n'en avait rien à faire. Parce que j'ai joué l'indifférente. Parce que si tu l'apprenais, tu jouerais avec moi. Encore une fois. Alors c'est plus raisonnable de ne plus rentrer en contact avec toi.
Sauf que c'est pas si facile. Ce soir, j'ai peur, j'ai froid, tu me manques. Et la seule chose dont je rêve, ce sont tes bras...
Je ne peux même pas dire à quel point. D'habitude, ça va, j'arrive à faire avec. Mais pas ce soir. Ce soir, je me sens vide. Inexistante. Vide de toi et pleine de regrets, à moins qu'il ne s'agisse de remords. J'essaie de m'occuper l'esprit mais je n'y parviens pas. A chaque fois, ton image revient, s'impose, toujours plus nette.
Tu me manques. C'est tout. Ca tourne comme une agaçante ritournelle dans ma tête. Et le pire, c'est que tu ne sais pas tout ça. Parce qu'encore une fois, j'ai fais celle qui était forte, qui n'en avait rien à faire. Parce que j'ai joué l'indifférente. Parce que si tu l'apprenais, tu jouerais avec moi. Encore une fois. Alors c'est plus raisonnable de ne plus rentrer en contact avec toi.
Sauf que c'est pas si facile. Ce soir, j'ai peur, j'ai froid, tu me manques. Et la seule chose dont je rêve, ce sont tes bras...
Je t'ai idolâtré, je t'ai adoré, je t'ai admiré. Tu as été mon exemple pendant de longs de mois. Tu m'as épaulé, tu m'as aidé, tu m'as accepté. Mais depuis un bon moment, je ne te comprends plus. Je n'ai plus envie de faire le 1er pas. Notre amitié n'a plus de sens. J'ai fini par t'éviter aujourd'hui. C'est un signe, c'est juste la fin de notre amitié... je pense.
Discussions similaires
