Ce que j'aimerais lui dire...

[marion##]

C'est étrange... Tu réalises que ça commence à faire longtemps qu'on joue à ça ?
J'ai conscience qu'on est radicalement différents, qu'on ne partage rien, qu'on a des points de vue qui sont surement à l'opposé. On n'a rien à faire ensemble, et pourtant je ne pense qu'à toi. Je te veux.

 

[Jupiter]

Youhou j'existe!

 

[Johann Gambolputty.]

Je t'aime, je t'aime comme une folle, je t'aime à en crever. Ne l'oublie pas. Ne l'oublie jamais.
Dis-moi que tu as encore des sentiments, dis-moi qu'on peut en faire quelque chose, fais un pas vers moi, s'il te plaît.
Reviens, je t'en supplie. Je suis prête à tout. Je ne veux que toi.

 

[Canapé]

Arrête de dire que t'es désolé et que ça t'embête alors que t'as rien fait pour que ça se passe autrement. Tu fais le con ce soir.

 

[Miss Jungle]

Va falloir que t'arrêtes d'être aussi décevant, je te donne beaucoup et tu ne me renvoies rien. Fais quelque chose et vite, parce que moi, j'en ai marre et j'ai plus envie de faire des efforts...si j'compte un tant soit peu pour toi, t'as intérêt à te bouger le boul, rapidement.

 

[Cookie Love]

Je t'en prie, APPELE MOI !!! Faut qu'on parle là, vraiment. Je ne sais pas quel est ce sentiment pour toi, un peu d'amour et un peu d'amitié mélangés, mais je t'en prie parle moi, appele moi, écris moi... on a besoin de clarifier les choses, ou peut être pas toi mais moi si. Parce que tu dis quelque chose et le lendemain tu changes d'avis... et tu comptes tellement pour moi... j'ai besoin de toi, j'ai besoin de nous... je t'en prie, arrêtes de m'ignorer comme ça...

 

[Solemnia]

Des fois je pense à toi. Je pense aux moments ou nous rigolions, ou nous ne nous prenions pas la tête.
Et puis je me demande si ça vaut le coup de te pardonner, bien que tu me le demandes pas.
Et finalement je me rends compte que tout ce que tu m'as fait subir dépasse plus que les moments de sincérité, si tant est que tu puisses l'être.
Du coup je me dis que moi au moins je peux me regarder dans un miroir sans remords.
Ca me fait mal au coeur de te laisser partir de mes pensées et de ma vie, mais ça vaut le coup.

 

[Johann Gambolputty.]

Je vais devenir quoi sans toi ? Comment je suis sensée avancer alors que pas te parler 5 jours me bouffe ? J'arrête pas de repenser à nous, à tous les bons moments, en me demandant comment on en est arrivés là. Pourquoi t'as rien fait ? Pourquoi ? Au nom de quoi ? J'étais rien qu'une distraction que tu claquais dans les moments de blanc de ta vie ?

Mon esprit me rappelle toujours sur un droit chemin, mais sérieusement, j'ai juste envie de me mettre à tes pieds et de te supplier. Te supplier de nous laisser une chance, même pas en tant que couple mais en tant que gens qui s'apprécient et qui en profitent sans rien d'autre. J'aimerais tellement savoir que tu n'as pas tout oublié.

Je t'aime, putain.
Ce serait tellement plus simple si j'arrivais à te détester. Mais c'est comme si j'avais tout oublié, bientôt, je suis sûre que j'arriverais à tout me claquer sur le dos. Je suis ridicule.

 

[Johann Gambolputty.]

J'aimerais s'il te plaît que tu lises ce mail. Pas entre les lignes, sérieusement. Et que tu me répondes sincèrement. Pas deux lignes. Un truc qui me montre que tu m'as lue, que tu m'as comprise. Je t'en supplie.

 

[bubblegom]

Connard.

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[Ptitbelin]

"Toi, moi, dans les bois ?"

 

[Solemnia]

Je te détestes parce que pendant des années j'ai été la plus vigilante possible et j'ai réussi à ne laisser personne me blesser, me heurter, me faire du mal, j'y ai mis du temps et de l'énergie
Et la seule fois ou j'ai baissé ma garde, c'était avec toi, et ça n'a pas loupé, c'est comme si j'avais reçu des coups de fusil.
Je te détestes parce que tu me fais pleurer et je te détestes encore plus parce que je suis la seule à souffrir.