Je repense souvent à ton visage quand tu m'as dit aurevoir. T'avais les yeux qui brillaient un peu, de fatigue, de tristesse, d'un peu tout mélangé. T'étais torse nu, ton jean à peine mis, incroyablement sexy. Tu m'as embrassée d'un coup, en laissant ta main dans la mienne. Et puis ton regard dans l'entrebaillement de la porte, ça m'a scotchée ça.
Je peux pas oublier, je peux pas passer à côté de toi mais je peux pas t'empêcher de partir. Tu me dis que tu veux me revoir, un week-end, un jour, une heure; j'accours. J'en pleure tu sais, je suis pas aussi forte que je le laissais paraitre. Mais le déclic c'est à toi de l'avoir tout seul, moi ça fait longtemps que je l'ai eu. Longtemps.