A A. : Reviens moi, sans toi, je ne vis plus.
A L. : T'es entrée dans ma vie alors que je ne m'y attendais pas, j'avais dit tellement de fois que je ne voulais pas me lier avec quiconque dans cette nouvelle école et finalement. T'es mon équilibre et je suis le tien. En ce moment, j'ai VRAIMENT besoin de toi pour avancer. J'aimerai m'endormir près de toi tous les soirs en t'écoutant me dire que tu es touchée que je me démaquille devant toi et me réveiller tous les matins en t'entendant pester après le bruit de la rue. Est venu le temps des confidences, celui de tout ce que tu me rends (plus que tout), celui du premier "je t'aime" et t'es mon rayon de soleil, chaque matin, quand je te vois traverser la cour du 8 rue René Coty.