Je ne sais pas comment tu as pris ce que je t'ai dis hier. En soi tu vas me dire que ça n'as pas d'importance.
Je ne sais pas.
Avec toi, je n'ai jamais trop su. Arrête de me demander d'être la personne que tu crois que je suis. Arrête de parler d'assumer alors que tu ne le fais jamais. Arrête de me reprocher les choses qui clochent chez toi. Je ne me crois pas supérieure,Je n'ai pas un égo surdimensionné, je ne suis pas égoïste, je ne me pense pas différente de tout le monde, Je ne suis pas vindicative, je ne me crois pas "mature", je ne me crois pas victime. Arrête d’extrapoler, d'inventer, déformer la réalité. Tu n'assumes pas, jamais.
J'avais besoin de quelqu'un qui m'aime, quelqu'un qui ne me rabaissent pas, qui ne me fais pas sentir idiote, qui s'intéresse vraiment à moi, en qui je peux avoir confiance.
Arrête de me pousser à bout tout le temps.
Alors, c'est vrai quand tu me la dis j'étais mal, vraiment mal, je ne comprenais pas. J'ai vraiment eu mal au cœur. Parce que malgré tout, je t'aime toujours. Mais parfois les personnes que l'on aime nous font le plus de mal. Alors il faut savoir passer outre. De toute façon, avec tout ce que l'on a vécu, c'était perdu.
Je ne saurais jamais ce que tu pense vraiment, si tu m'aime encore. En soi, c'est mieux comme ça. C'est ça que j'essaie de t'expliquer. Tu pensais que je disais ça hypocritement mais non. C'est vrai que orgueilleusement, j'aurai aimé que tu me dises que tu m'aimais encore, je serais partie en paix, mais en soi, je suis pas sure que j'aurais eu la force de dire non, de tourner les talons. Même si mon orgueil en à pris un sacré coup, c'est mieux comme ça.
La vie t'offre une chance inattendue, ne la laisse pas filée, cette fois-ci. Prends-soin d'elle. Je le pense sincèrement, ne lui fais pas du mal. Oui, tu penses cette remarque hypocrite. Oui, ça me fait mal au cœur, de savoir que tu lui donne l'amour que tu ne m'as jamais donné. Mais en un sens, je suis contente d'avoir été bénéfique pour toi. Je suis contente si, tu es un peu grâce à moi, plus détendu, plus heureux dans ta vie actuelle.
Quant à moi, je vais poursuivre ma vie, Et pour le moment, je ne veux personne. J'ai besoin de me reconstruire, de reprendre la confiance que tu m'as prise.
Je sais que l'on se recroisera, que l'on se reparlera. Mais pas tout de suite. Laissons l'eau couler sous les ponts et les blessures cicatriser. J'ai pensé une centaines de fois à ce qui ce serait passé, si je ne t'avais pas embrassé ce jour là au cinéma ou si j'avais fais telle ou telle autre chose d'une meilleure façon, mais en fin de compte, ça n'aurait rien changé. J'ai déjà rêvé d'avoir la possibilité de t'oublier, de ne jamais avoir pris mon courage à deux mains à cette soirée pour te dire ce que je ressentais. Mais malgré tout, tu fais partie de ma vie, j'assume ce que j'ai pu dire où ressentir, cela m'a fait grandir.
Quoi que tu puisse en penser, je ne t’oublierais jamais. Même si de loin notre histoire, n'as rien d'extraordinaire. Deux jeunes adultes, encore un peu adolescent dans leur tête, qui n'ont pas grand chose avoir entre eux, si ce n'est que leur capacités à vivre les choses de façon beaucoup trop intense, ce sont aimés, déchirés, pendants moins d'un an. Rien de moins, rien de plus. Dans quelques temps cette histoire n'existerait plus. Sauf dans nos êtres, enfin j'espère.
Je sais que j'ai encore fais un roman, mais tu sais que l'écriture est mon exutoire.
Je voudrais juste rajouté une dernière chose. La vie est douce, sourit et profite-en.
Je ne sais pas.
Avec toi, je n'ai jamais trop su. Arrête de me demander d'être la personne que tu crois que je suis. Arrête de parler d'assumer alors que tu ne le fais jamais. Arrête de me reprocher les choses qui clochent chez toi. Je ne me crois pas supérieure,Je n'ai pas un égo surdimensionné, je ne suis pas égoïste, je ne me pense pas différente de tout le monde, Je ne suis pas vindicative, je ne me crois pas "mature", je ne me crois pas victime. Arrête d’extrapoler, d'inventer, déformer la réalité. Tu n'assumes pas, jamais.
J'avais besoin de quelqu'un qui m'aime, quelqu'un qui ne me rabaissent pas, qui ne me fais pas sentir idiote, qui s'intéresse vraiment à moi, en qui je peux avoir confiance.
Arrête de me pousser à bout tout le temps.
Alors, c'est vrai quand tu me la dis j'étais mal, vraiment mal, je ne comprenais pas. J'ai vraiment eu mal au cœur. Parce que malgré tout, je t'aime toujours. Mais parfois les personnes que l'on aime nous font le plus de mal. Alors il faut savoir passer outre. De toute façon, avec tout ce que l'on a vécu, c'était perdu.
Je ne saurais jamais ce que tu pense vraiment, si tu m'aime encore. En soi, c'est mieux comme ça. C'est ça que j'essaie de t'expliquer. Tu pensais que je disais ça hypocritement mais non. C'est vrai que orgueilleusement, j'aurai aimé que tu me dises que tu m'aimais encore, je serais partie en paix, mais en soi, je suis pas sure que j'aurais eu la force de dire non, de tourner les talons. Même si mon orgueil en à pris un sacré coup, c'est mieux comme ça.
La vie t'offre une chance inattendue, ne la laisse pas filée, cette fois-ci. Prends-soin d'elle. Je le pense sincèrement, ne lui fais pas du mal. Oui, tu penses cette remarque hypocrite. Oui, ça me fait mal au cœur, de savoir que tu lui donne l'amour que tu ne m'as jamais donné. Mais en un sens, je suis contente d'avoir été bénéfique pour toi. Je suis contente si, tu es un peu grâce à moi, plus détendu, plus heureux dans ta vie actuelle.
Quant à moi, je vais poursuivre ma vie, Et pour le moment, je ne veux personne. J'ai besoin de me reconstruire, de reprendre la confiance que tu m'as prise.
Je sais que l'on se recroisera, que l'on se reparlera. Mais pas tout de suite. Laissons l'eau couler sous les ponts et les blessures cicatriser. J'ai pensé une centaines de fois à ce qui ce serait passé, si je ne t'avais pas embrassé ce jour là au cinéma ou si j'avais fais telle ou telle autre chose d'une meilleure façon, mais en fin de compte, ça n'aurait rien changé. J'ai déjà rêvé d'avoir la possibilité de t'oublier, de ne jamais avoir pris mon courage à deux mains à cette soirée pour te dire ce que je ressentais. Mais malgré tout, tu fais partie de ma vie, j'assume ce que j'ai pu dire où ressentir, cela m'a fait grandir.
Quoi que tu puisse en penser, je ne t’oublierais jamais. Même si de loin notre histoire, n'as rien d'extraordinaire. Deux jeunes adultes, encore un peu adolescent dans leur tête, qui n'ont pas grand chose avoir entre eux, si ce n'est que leur capacités à vivre les choses de façon beaucoup trop intense, ce sont aimés, déchirés, pendants moins d'un an. Rien de moins, rien de plus. Dans quelques temps cette histoire n'existerait plus. Sauf dans nos êtres, enfin j'espère.
Je sais que j'ai encore fais un roman, mais tu sais que l'écriture est mon exutoire.
Je voudrais juste rajouté une dernière chose. La vie est douce, sourit et profite-en.