Ce que j'aimerais lui dire...
- Initiateur de la discussion Abelys
- Date de début
Mon amour, j'aimerais tellement enfin pouvoir m'installer avec toi, mais je ne pense pas avoir envie de m'installer là où tu viens d’emménager...ça a l'air mignon, mais j'aime pas la campagne, j'aime pas le calme, je serais loin de tout, de ma famille, de mes amis... Je suis heureuse que tu aies trouvé ce travail après des mois de chômage, vraiment, mais j'aurais préféré que tu trouves ailleurs...
Et tu me manques putain. Dès le moment où t'es parti de chez moi, après deux jours dans ma petite chambre d'étudiante, j'ai ressenti un vide énorme, et ce vide est encore là. Et j'en ai marre d'attendre.
Et je t'aime.
Papy, depuis que t'es parti c'est plus pareil, ça fait un an et demi, mais j'y arrive pas. La famille part en couilles sans toi, c'est n'importe quoi. Il y a tellement de choses que j'aurais voulu partager avec toi. T'es parti trop jeune putain, beaucoup trop jeune. T'étais la joie incarnée, tu nous faisais rire tout le temps maman et moi... Tu aurais vu le monde à l'église, pendant la messe, tout le monde t'aimait. Tu nous manques.
Et tu me manques putain. Dès le moment où t'es parti de chez moi, après deux jours dans ma petite chambre d'étudiante, j'ai ressenti un vide énorme, et ce vide est encore là. Et j'en ai marre d'attendre.
Et je t'aime.
Papy, depuis que t'es parti c'est plus pareil, ça fait un an et demi, mais j'y arrive pas. La famille part en couilles sans toi, c'est n'importe quoi. Il y a tellement de choses que j'aurais voulu partager avec toi. T'es parti trop jeune putain, beaucoup trop jeune. T'étais la joie incarnée, tu nous faisais rire tout le temps maman et moi... Tu aurais vu le monde à l'église, pendant la messe, tout le monde t'aimait. Tu nous manques.
Ce que j'aimerai lui dire mais qui me pétrifie... 
Tu as été ma clé. Et c’est pourquoi je passe mon temps à m’excuser auprès de toi. A m’excuser de ne pas pouvoir t’apporter autant que tu m’apportes. Juste parce que malgré moi, malgré toi, oh et merde je suis désolée de dire ça, mais tu fais partie de moi. Je sais parfaitement que tu sais à quel point tu comptes pour moi. Il va de soi que ce mot est encore une fois le genre de démonstration d’affection qui me caractérise.
Tu es un vrai mix entre un modèle, un repère, un meilleur ami et un vrai chieur. Et j’adore ça. Je sais pas vraiment ce que l’on est l’un pour l’autre et je m’en tape, mais tellement. Je sais juste qu’en cet instant t, dans ce référentiel, sur cette Terre, tu fais partie de ma vie et c’est juste du pur bonheur, tout du moins la plupart du temps. Je ne sais pas si c’est le genre d’idiotie que tu t’attendais à lire. Mais c’est le genre d’idiotie que j’adore écrire.
Alors voilà, je suis fière de ce que tu es, de ce que tu as comme idées sur la vie, j’aime ta philosophie de vie, tes petits yeux pétillants quand tu dis un truc salace, ta façon de parler comme une fillette quand tu fais des discours, ta façon de parler avec tes mains quand tu es gêné, cette façon de pencher la tête quand tu m’écoutes vraiment, ce recul que tu peux avoir, j’aime que tu saches observer les gens, décripter leurs signaux, j’aime ta part d’enfant, et ta part d’adulte mûr (oui oui je l’ai déjà vue), j’aime ton côté sensible même si tu détestes le montrer, j’aime le fait que tu puisses être aussi compréhensif qu’intolérent, sensible qu’indifférent, mystèrieux et déshinnibé, je déteste que tu gardes tout pour toi parfois, je déteste quand tu es mal parce qu’à ce moment tu revêts ce sourire crispé qui ne se manifeste que d’un côté de ton visage, avec tes sourcils à moitié froncés, je déteste quand tu es fermé, je déteste quand tu perds ta folie et ton étincelle au profit de ce mec sérieux renfrogné mais...
En définitive, il y a bien plus de choses chez toi que j’apprécie que je déteste, parce que tu es quelqu’un de bien, de merveilleux et d’imparfait, c’est pourquoi je te remercie d’être qui tu es.
Tu as été ma clé. Je t'ai choisi. Je t'aime.
Tu as été ma clé. Et c’est pourquoi je passe mon temps à m’excuser auprès de toi. A m’excuser de ne pas pouvoir t’apporter autant que tu m’apportes. Juste parce que malgré moi, malgré toi, oh et merde je suis désolée de dire ça, mais tu fais partie de moi. Je sais parfaitement que tu sais à quel point tu comptes pour moi. Il va de soi que ce mot est encore une fois le genre de démonstration d’affection qui me caractérise.
Tu es un vrai mix entre un modèle, un repère, un meilleur ami et un vrai chieur. Et j’adore ça. Je sais pas vraiment ce que l’on est l’un pour l’autre et je m’en tape, mais tellement. Je sais juste qu’en cet instant t, dans ce référentiel, sur cette Terre, tu fais partie de ma vie et c’est juste du pur bonheur, tout du moins la plupart du temps. Je ne sais pas si c’est le genre d’idiotie que tu t’attendais à lire. Mais c’est le genre d’idiotie que j’adore écrire.
Alors voilà, je suis fière de ce que tu es, de ce que tu as comme idées sur la vie, j’aime ta philosophie de vie, tes petits yeux pétillants quand tu dis un truc salace, ta façon de parler comme une fillette quand tu fais des discours, ta façon de parler avec tes mains quand tu es gêné, cette façon de pencher la tête quand tu m’écoutes vraiment, ce recul que tu peux avoir, j’aime que tu saches observer les gens, décripter leurs signaux, j’aime ta part d’enfant, et ta part d’adulte mûr (oui oui je l’ai déjà vue), j’aime ton côté sensible même si tu détestes le montrer, j’aime le fait que tu puisses être aussi compréhensif qu’intolérent, sensible qu’indifférent, mystèrieux et déshinnibé, je déteste que tu gardes tout pour toi parfois, je déteste quand tu es mal parce qu’à ce moment tu revêts ce sourire crispé qui ne se manifeste que d’un côté de ton visage, avec tes sourcils à moitié froncés, je déteste quand tu es fermé, je déteste quand tu perds ta folie et ton étincelle au profit de ce mec sérieux renfrogné mais...
En définitive, il y a bien plus de choses chez toi que j’apprécie que je déteste, parce que tu es quelqu’un de bien, de merveilleux et d’imparfait, c’est pourquoi je te remercie d’être qui tu es.
Tu as été ma clé. Je t'ai choisi. Je t'aime.
Je t'aime tellement, c'est viscéral mais je crois que tu vas me faire galerer... Je le sais mais je reste
Je voudrais dire des mots beaux et poétiques, mais les sons qui sortent sont pathétiques. Si j'avais une seule chance de me rattraper, je devrai surement m'excuser.. Alors si un jour tu as besoin de moi, si un jour je te manque, je te promets de ne pas parler, de juste t'écouter. J'ai beaucoup trop besoin d'attention, et je sais que c'est mon problème. L'égoïsme de tout ce que je te dis me reviens en pleine figure chaque fois que je me relis. J'ai fait passer mes besoins avant les tiens, encore une fois. Excuse moi, encore une fois. Si j'avais su me retenir de parler, me retenir de crier, me retenir de pleurer, j'aurais peut-être sû te retenir toi. La vie est mal faite. Et je le suis encore plus. J'aurais voulu que tu m'aimes avec mes défauts, que ça marche avec mes défauts, et non que ça foire à cause d'eux. Je ne prend pas l'entière responsabilité de cet échec, mais je m'en veux tout de même. Après tout 6 ans nous ont séparés et j'ai eu la joie de passer une merveilleuse année avec toi. Alors peut-être à dans 6 ans mon amour.
Aujourd'hui, ça aurait fait 5 ans. C'est bête dit comme ça en fait, je le sais. Surtout que tu n'étais pas spécialement attentif aux dates.
Mais quel gâchis on fait tous les deux. On était peut-être pas fait pour être ensemble, c'est quasiment sur même, mais notre amitié aurait pu durer. Ce n'est pas ton amour, ta tendresse, ton sourire ou ton odeur qui me manquent le plus, mais ton amitié. Je ne suis plus amoureuse de toi, je le sais maintenant et j'en suis sure. Alors est-ce qu'un jour on pourra se reparler, comme on se l'était dit quand on pensait à nos ruptures imaginaires en rigolant ?
Et j'ai porté le pull que tu m'avais offert toute la journée. Juste comme ça. Pour ne pas oublier et j'espère que tu n'oublieras pas non plus et que tu ne me vois plus que comme la fille qui t'a fait énormément souffrir, comme moi je ne te vois plus comme le mec qui m'a détruite.
A bientôt j'espère, autour d'un café.
Mais quel gâchis on fait tous les deux. On était peut-être pas fait pour être ensemble, c'est quasiment sur même, mais notre amitié aurait pu durer. Ce n'est pas ton amour, ta tendresse, ton sourire ou ton odeur qui me manquent le plus, mais ton amitié. Je ne suis plus amoureuse de toi, je le sais maintenant et j'en suis sure. Alors est-ce qu'un jour on pourra se reparler, comme on se l'était dit quand on pensait à nos ruptures imaginaires en rigolant ?
Et j'ai porté le pull que tu m'avais offert toute la journée. Juste comme ça. Pour ne pas oublier et j'espère que tu n'oublieras pas non plus et que tu ne me vois plus que comme la fille qui t'a fait énormément souffrir, comme moi je ne te vois plus comme le mec qui m'a détruite.
A bientôt j'espère, autour d'un café.
Tu n'es pas heureux avec elle. J'aimerais que tu plaques tout pour moi, je pourrais le faire pour toi, je pourrais aller jusqu'au bout du monde pour toi.
On a perdu trop de temps, énormément de temps, et il ne nous en reste plus beaucoup.
Réfléchis bien. Et saches que je ne t'oublierai pas.
On a perdu trop de temps, énormément de temps, et il ne nous en reste plus beaucoup.
Réfléchis bien. Et saches que je ne t'oublierai pas.
Ce que j'aimerais te dire c'est à quel point tu m'as blessé tout à l'heure. Je suis sortie manger avec nos amis en commun ce soir. Toi que je considère comme un ami proche, tu n'as pas idée à quel point je suis blessée. C'est une dispute qui est partie pour rien. Mais les mots que t'as utilisé ont détruit le peu de confiance et de bonheur que j'ai. Tu ne sais pas toi, ce que c'est d'être une personne rejetée. Tu es entouré de tellement de personnes qui t'aiment et t'admirent. La façon dont tu m'as attaqué ça m'a rappelé quand tous "mes camarades" se moquaient ouvertement de moi en primaire et en maternelle. J'ai toujours été mise à part par les autres. J'étais la petite fille qui prêtait ses gants à ceux qui n'en avaient pas, mais qui les retrouvaient abandonnés dans la neige. J'étais la petite fille qui chantait toute seule dans la cours de la récré parce que pas d'amis. J'étais seulement utile pour aider les garçons à attraper les filles. Et j'étais celle qui était assise à cette table en CE1, dont tout le monde aimait se moquer pour tout et n'importe quoi. Je me rappelle avoir pleuré ce jour-là. Toutes ses moqueries, ça a été de trop. Je pensais que le maître me soutiendrait. Mais on ne dispute pas les chouchous. Actuellement je suis celle à qui on reproche de trop rigoler. Je suis celle qui s'est construite l'image de la nana rigolote, bien dans sa peau, épanouie, ambitieuse etc la vérité c'est que j'ai mal au coeur. Ce n'est qu'une façade. Parce que je suis celle qui écoute d'une oreille bienveillante, personne ne perd de temps à m'écouter.
Si tu voulais me blesser, toi que je considérais comme un ami proche et bien c'est réussis. Je sais que tu es mal dans ta peau, mais la prochaine fois je passe mon tour. Parce que même si on se reparle un jour, je vais prendre mes distances. C'est comme si j'avais reçu un coup de couteau.
Si tu voulais me blesser, toi que je considérais comme un ami proche et bien c'est réussis. Je sais que tu es mal dans ta peau, mais la prochaine fois je passe mon tour. Parce que même si on se reparle un jour, je vais prendre mes distances. C'est comme si j'avais reçu un coup de couteau.
Je pense à toi. Sans qu'on me prévienne, sans qu'on s'y attende, paf t'es là, dans mon esprit, et tu souris, et je te hais, et je frissonne, parce que je pensais que je t'avais oublié. Et que je ne t'oublie pas. Presque un an sans te voir, et les jours et les semaines et les mois passent sans que tu ne m'abandonnes. Même quand t'es pas là, tu as laissé en moi trop de rires et de souvenirs. Ce que je t'en veux. Je pense à toi. A tes mains. Je pense à ces mains dont je suis amoureuse, et que je ne trouve sur personne d'autre. Je pense à toi. Tu me manques.
J'aimerais leur dire à quel point ils m'ont déçue. A quel point ils m'ont blessée. J'aimerais leur dire qu'après ce qu'ils ont fait j'ai perdue toute confiance en moi, que je me suis sentie humiliée, plus bas que terre.
Je voudrais qu'ils sachent qu'ils ont brisés mes rêves, des rêves qui m'étaient si chers...
Je voudrais qu'ils se rendent compte de leur méchanceté, de leur malhonnêteté, de leur lâcheté. Je voudrais qu'ils puisse me voir quand j'ai passées mes nuits à pleurer, quand je rêvais de disparaître. Je voudrais qu'ils s'en veuillent, qu'ils regrettent, qu'ils s'excusent...et surtout qu'ils s'expliquent.
J'aimerais leur dire que leur statut social et leur réussite professionnelle ne leur donnais pas le droit de jouer avec mes rêves. Je voudrais leur hurler "MENTEURS !!! HYPOCRITES !!!!!" en plein visage même si ça ne servirais à rien, juste pour me libérer d'un poids. Je voudrais leur faire comprendre qu'ils m'ont fait mal, gratuitement, lâchement. Je voudrais qu'après ça ils se détestent autant que je me suis détestée après ce qu'ils m'ont fait.
Je voudrais qu'ils sachent qu'ils ont brisés mes rêves, des rêves qui m'étaient si chers...
Je voudrais qu'ils se rendent compte de leur méchanceté, de leur malhonnêteté, de leur lâcheté. Je voudrais qu'ils puisse me voir quand j'ai passées mes nuits à pleurer, quand je rêvais de disparaître. Je voudrais qu'ils s'en veuillent, qu'ils regrettent, qu'ils s'excusent...et surtout qu'ils s'expliquent.
J'aimerais leur dire que leur statut social et leur réussite professionnelle ne leur donnais pas le droit de jouer avec mes rêves. Je voudrais leur hurler "MENTEURS !!! HYPOCRITES !!!!!" en plein visage même si ça ne servirais à rien, juste pour me libérer d'un poids. Je voudrais leur faire comprendre qu'ils m'ont fait mal, gratuitement, lâchement. Je voudrais qu'après ça ils se détestent autant que je me suis détestée après ce qu'ils m'ont fait.
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