J'aimerais que tu te détendes un peu, mais ce serait vraiment l'hôpital qui se fout de la charité. Du coup je ferme ma gueule, mais à la vitesse où on va, on va jamais arriver a faire quoique ce soit de nous deux. 
Ce que j'aimerais lui dire...
- Initiateur de la discussion Abelys
- Date de début
Toi, qui que tu sois, la personne superbe que je connaîtrais jamais. Toi, que j'ai laissée filer à 18, 19, 20 ans ou plus sur un coup de tête, sur des a priori. Toi, qui vis ici ou n'importe où dans le Monde, je suis désolée.
Pardon, pour toi, pour nous, pour moi surtout, de ne pas t'avoir laissée cette chance de pouvoir m'aimer à l'époque, de me rendre heureuse, et que je puisse te le retourner au centuple ou indéfiniment. Je te demande pardon pour tous ces instants de bonheurs complices que nous aurions pu partager mais qui resteront à jamais manqués par mes seuls choix, par ma simple faute.
Peux-être étais-tu déjà parfaite et l'es-tu encore plus aujourd'hui? Je ne le savais pas et ne le saurai jamais. Tant pis pour moi. D'autres gens plus ouvertes que je ne l'ai été auront ce plaisir et sauront profiter de tes qualités, de tes défauts, de ton entièreté: de tout ce qui est ta beauté. Je les envie.
Je le regrette sincèrement d'avoir hésité ou refusé tes paroles, un engagement, nos sourires, par immaturité, ou par mode, ou est-ce par superficialité à ces âges-là? J'ai été très bête ou nulle parfois, ou j'ai manqué de recul en agissant ainsi aveuglément. Je me suis déçue.
Qui sait où nous en serions aujourd'hui? Peut-être le couple le plus heureux du monde, épanoui, rempli de passion, loin des tumultes et des questions?! Ou juste un simple couple, normal, donc extra pour moi.
Toi donc, qui aurais pu être la femme de mes rêves, tu resteras dans mes rêves, un fantasme du passé.
Et je t'avoue que ce qui me heurte le plus, c'est finalement de penser que c'est bien parce que je ne te connaîtrai pas que je ne t'oublierai jamais.
Je te souhaite du fond de mon être ce que tu as toujours voulu être et de vivre intensément tout l'amour que j'aurais pu t'offrir.
Adieu à toi, à nous.
Pardon, pour toi, pour nous, pour moi surtout, de ne pas t'avoir laissée cette chance de pouvoir m'aimer à l'époque, de me rendre heureuse, et que je puisse te le retourner au centuple ou indéfiniment. Je te demande pardon pour tous ces instants de bonheurs complices que nous aurions pu partager mais qui resteront à jamais manqués par mes seuls choix, par ma simple faute.
Peux-être étais-tu déjà parfaite et l'es-tu encore plus aujourd'hui? Je ne le savais pas et ne le saurai jamais. Tant pis pour moi. D'autres gens plus ouvertes que je ne l'ai été auront ce plaisir et sauront profiter de tes qualités, de tes défauts, de ton entièreté: de tout ce qui est ta beauté. Je les envie.
Je le regrette sincèrement d'avoir hésité ou refusé tes paroles, un engagement, nos sourires, par immaturité, ou par mode, ou est-ce par superficialité à ces âges-là? J'ai été très bête ou nulle parfois, ou j'ai manqué de recul en agissant ainsi aveuglément. Je me suis déçue.
Qui sait où nous en serions aujourd'hui? Peut-être le couple le plus heureux du monde, épanoui, rempli de passion, loin des tumultes et des questions?! Ou juste un simple couple, normal, donc extra pour moi.
Toi donc, qui aurais pu être la femme de mes rêves, tu resteras dans mes rêves, un fantasme du passé.
Et je t'avoue que ce qui me heurte le plus, c'est finalement de penser que c'est bien parce que je ne te connaîtrai pas que je ne t'oublierai jamais.
Je te souhaite du fond de mon être ce que tu as toujours voulu être et de vivre intensément tout l'amour que j'aurais pu t'offrir.
Adieu à toi, à nous.
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QUI aurait pu imaginer que toi et moi, 8 ans après notre rencontre, 8 ans après que tu aies brisé le coeur à la gamine que j'étais, 5 ans après que tu aies brisé le coeur à la gamine un peu plus mature que j'étais, on finirait par se retrouver? Même se trouver tout court j'ai envie de dire.
Je t'ai détesté comme personne, et puis j'ai été jusqu'à ne me rappeler de ton existence que les dimanches impairs des mois en N, sans sentiment particulier.
T'as changé tout en étant toujours toi même. J'imagine que c'est pareil pour moi.
Je suis tombée sur des types bien, vraiment, qui m'ont brisé le coeur et avec qui ca n'a pas marché. Et toi, le bizarre, le connard, l'Asperger,... je suis tellement heureuse avec toi. J'ai jamais eu de relation aussi saine. Je ne me suis jamais sentie aussi aimée. Je me sens tellement à ma place auprès de toi, libre de tout, libre d'embrasser et de voir les garçons qui me plaisent et de toujours rentrer chez toi le soir, libre de rire avec toi de cette fille magnifique qui t'a draguée lourdement l'autre soir et qui a été tellement choquée quand je lui ai dit "small tip: whisper and breathe in his ear and he'll get crazy, he'll kiss you right away" . J'ai l'impression qu'on est ensemble depuis des milliards d'années.
Jamais je n'ai aimé aussi sereinement. Pas de palpitations à l'idée de laisser ma brosse à dents chez toi, à celle d'avoir tes clefs, de rencontrer tes parents, après 2 mois. C'était juste normal. On ris tellement de ces gens qui parlent de "steps".
Et moi en doute perpétuel, quand j'étais sereine à l'idée de ces choses, avec d'autres, je me disais "c'est pas normal, c'est que je ne l'aime plus, ca ne me fait plus vibrer, c'est fini". Pas un doute ne m'a traversé l'esprit avec toi.
On va faire tellement de choses ensemble, y'a même pas de promesses, c'est juste la logique des choses.
Je t'aime, si tu savais, j'ai tellement envie de prendre soin de toi, j'ai tellement envie de te voir heureux. C'est la première fois que mon bonheur passe par celui de quelqu'un d'autre.
Je t'ai détesté comme personne, et puis j'ai été jusqu'à ne me rappeler de ton existence que les dimanches impairs des mois en N, sans sentiment particulier.
T'as changé tout en étant toujours toi même. J'imagine que c'est pareil pour moi.
Je suis tombée sur des types bien, vraiment, qui m'ont brisé le coeur et avec qui ca n'a pas marché. Et toi, le bizarre, le connard, l'Asperger,... je suis tellement heureuse avec toi. J'ai jamais eu de relation aussi saine. Je ne me suis jamais sentie aussi aimée. Je me sens tellement à ma place auprès de toi, libre de tout, libre d'embrasser et de voir les garçons qui me plaisent et de toujours rentrer chez toi le soir, libre de rire avec toi de cette fille magnifique qui t'a draguée lourdement l'autre soir et qui a été tellement choquée quand je lui ai dit "small tip: whisper and breathe in his ear and he'll get crazy, he'll kiss you right away" . J'ai l'impression qu'on est ensemble depuis des milliards d'années.
Jamais je n'ai aimé aussi sereinement. Pas de palpitations à l'idée de laisser ma brosse à dents chez toi, à celle d'avoir tes clefs, de rencontrer tes parents, après 2 mois. C'était juste normal. On ris tellement de ces gens qui parlent de "steps".
Et moi en doute perpétuel, quand j'étais sereine à l'idée de ces choses, avec d'autres, je me disais "c'est pas normal, c'est que je ne l'aime plus, ca ne me fait plus vibrer, c'est fini". Pas un doute ne m'a traversé l'esprit avec toi.
On va faire tellement de choses ensemble, y'a même pas de promesses, c'est juste la logique des choses.
Je t'aime, si tu savais, j'ai tellement envie de prendre soin de toi, j'ai tellement envie de te voir heureux. C'est la première fois que mon bonheur passe par celui de quelqu'un d'autre.
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Même si je te dis que ca va et que tu peux profiter de ta vie, aller voir tes amis, faire un break de moi et mes angoisses... en fait j'aimerais que tu me berces et que tu sois juste là avec moi, en silence, présent.
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