Je suis plus importante que tout ça.
C'est toi le problème.
Peut-être qu'il manquait quelque chose à notre histoire, oui. Peut-être.
Ce ne sont pas les raisons de la rupture qui me font le plus souffrir. Ce sont tes mensonges, ton indifférence, ton manque d'empathie.
Au final, ça n'aurait jamais pu durer entre nous. Car si tu te mures dans le silence à la moindre difficulté, alors dis toi bien que tu n'avanceras dans aucune de tes relations.
La nôtre avait quand même une importance. Tu m'as traitée comme si on avait eu un ou deux rendez-vous. Ca veut dire beaucoup de chose sur la personne que tu es.
Sur la façon dont tu voyais notre relation.
A un moment donné, ça aurait bloqué pour moi. De toute façon, j'étais mal en fin de relation car je sentais que quelque chose clochait et comme tu n'étais pas foutu de communiquer, je doutais de moi. C'est pas sain et je n'ai pas besoin de ça. En plus tu le savais que j'étais mal car tu me l'a dit lors de notre dernière conversation. Quand on sait que quelqu'un va mal on n'agit pas ainsi. Tu n'as fait que m'enfoncer un peu plus.
Une rupture par message en plus. Tu t'es déjà fait larguer dans ta vie ? Je n'ai pas l'impression.
Car là c'est quand même le summum de l'humiliation. Tu présentes un type à tes parents et deux semaines après il te largue par sms. En t'avouant qu'il essayait de se convaincre depuis tout ce temps que ça allait marcher. Connerie. Un ado de 15 ans aurait plus de maturité que toi.
Tu me dégoute, et je suis contente d'être débarassée de toi.
Je vais désormais vivre ma vie pleinement, sans personne toxique autour de moi. Et je vais prendre le temps de guérir, d'être bienveillante avec moi-même, et de m'entourer de personnes (qui étaient là bien avant toi) qui m'aiment profondément et inconditionnellement. Au final, tu n'auras été qu'un minuscule bout de ma vie. Je suis contente que tu n'en fasses plus partie.