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Ce que j'aimerais lui dire...
- Initiateur de la discussion Abelys
- Date de début
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J'aimerais pouvoir te parler, comprendre ce qui t'es arrivé. Sûrement la même chose que moi. Mais tu es tellement sous leur coupe que ie ne peux p1s m'approcher de toi sans que ce soit dangereux. Si suelement on pouvait parler et s'entraider au lieu de couvrir ce criminel extraordinaire délétère et dangereux, et son fils. Parfois ça me désole qu'on ne puisse pas s'entraider entre famille ayant subi des traumas atroces de la part des mêmss personnes et avancer. Mais ils t'ont récupérée.
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Cette délicate sensation de.... déception teintée de foutage de gueule.
T'es beau toi quand tu dis "je te tiens au courant", que tu fais naître l'espoir dans ma tête, et que tu restes silencieux depuis genre un mois. Alors que je sais très bien que tu es revenu. Mais m'aurais-tu envoyé un message pour te signaler ? Ah non. C'est plus pratique d'attendre que je t'écrive en premier. Mais tu t'étais engagé la dernière fois à m'écrire en premier...
Je crois que je n'ai plus envie de rien avec toi. Je crois que j'ai compris qu'à part ton nombril, tu ne t'intéressais pas à grand chose. Tu peux te cacher derrière ton pseudo caractère de solitaire, tu vas nous jouer la carte du loup en cavale, l'homme libre et sans attache. Tu peux te cacher derrière le fait que je savais pertinemment que "ça serait compliqué dès le départ". Tu peux te cacher derrière ta fameuse singularité que tu cultives. Tu peux te cacher derrière ton nombril aussi, vu la circonférence. Tu peux te cacher derrière ta pseudo vie d'homme débordé, par son travail et par lui-même, et me reprocher que je ne te comprends pas.
Mais ça n'enlève rien à ma déception.
Je crois que je n'attends plus rien. Peut-être que tu auras un sursaut diplomatique.
Tu n'as aucune idée de tous les efforts que j'ai fait pour te comprendre. Et je ne sais pas si tu en auras une vague idée un jour, puisque ces efforts, tu ne les as jamais fait en retour.
Je crois qu'en vrai, je mérite mieux.
Déso pas déso.
T'es beau toi quand tu dis "je te tiens au courant", que tu fais naître l'espoir dans ma tête, et que tu restes silencieux depuis genre un mois. Alors que je sais très bien que tu es revenu. Mais m'aurais-tu envoyé un message pour te signaler ? Ah non. C'est plus pratique d'attendre que je t'écrive en premier. Mais tu t'étais engagé la dernière fois à m'écrire en premier...
Je crois que je n'ai plus envie de rien avec toi. Je crois que j'ai compris qu'à part ton nombril, tu ne t'intéressais pas à grand chose. Tu peux te cacher derrière ton pseudo caractère de solitaire, tu vas nous jouer la carte du loup en cavale, l'homme libre et sans attache. Tu peux te cacher derrière le fait que je savais pertinemment que "ça serait compliqué dès le départ". Tu peux te cacher derrière ta fameuse singularité que tu cultives. Tu peux te cacher derrière ton nombril aussi, vu la circonférence. Tu peux te cacher derrière ta pseudo vie d'homme débordé, par son travail et par lui-même, et me reprocher que je ne te comprends pas.
Mais ça n'enlève rien à ma déception.
Je crois que je n'attends plus rien. Peut-être que tu auras un sursaut diplomatique.
Tu n'as aucune idée de tous les efforts que j'ai fait pour te comprendre. Et je ne sais pas si tu en auras une vague idée un jour, puisque ces efforts, tu ne les as jamais fait en retour.
Je crois qu'en vrai, je mérite mieux.
Déso pas déso.
En toute bienveillance, j'espère que t'es tombé cul nu dans un bouquet d'orties.
Bisou.
Bisou.
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Tu sais quoi, je me sens comme Clara Luciani en fait.
Elle a écrit son premier album parce que son mec lui avait brisé le coeur. Et maintenant elle dynamite tout pendant que lui pourrit dans son caca.
Tu sais que pour t'oublier j'ai écrit un livre. Pour ne plus penser à toi, j'ai écrit un roman, peut-être le plus dangereux que j'ai jamais écrit, parce qu'il a tout de différent avec les précédents.
Je n'en pouvais plus des nuits blanches, de l'attente, de l'angoisse... Alors j'ai écrit. Sans me retourner.
Je ne sais pas si je dois te remercier d'être l'humain médiocre et spongieux que tu es. Mais grâce à toi, j'ai écrit ma plus belle réalisation, qui m'a débloqué le cerveau pour enfin prendre mon envol et oser écrire ce que je veux écrire.
Pendant longtemps j'ai cru que ce serait toi, celui qu'on appelle "le bon". J'ai voulu prendre mon temps, on m'a dit de ne pas insister, de ne pas te brusquer, de respecter tes silences... J'ai tout fait en fonction de toi, pour essayer de te comprendre, de mettre un pied dans ton monde. Et en remerciement, j'ai l'ignorance, le mépris.
Je ne sais pas comment tu oses. Comment tu as l'audace. Mais crois-moi, t'es pas prêt.
Elle a écrit son premier album parce que son mec lui avait brisé le coeur. Et maintenant elle dynamite tout pendant que lui pourrit dans son caca.
Tu sais que pour t'oublier j'ai écrit un livre. Pour ne plus penser à toi, j'ai écrit un roman, peut-être le plus dangereux que j'ai jamais écrit, parce qu'il a tout de différent avec les précédents.
Je n'en pouvais plus des nuits blanches, de l'attente, de l'angoisse... Alors j'ai écrit. Sans me retourner.
Je ne sais pas si je dois te remercier d'être l'humain médiocre et spongieux que tu es. Mais grâce à toi, j'ai écrit ma plus belle réalisation, qui m'a débloqué le cerveau pour enfin prendre mon envol et oser écrire ce que je veux écrire.
Pendant longtemps j'ai cru que ce serait toi, celui qu'on appelle "le bon". J'ai voulu prendre mon temps, on m'a dit de ne pas insister, de ne pas te brusquer, de respecter tes silences... J'ai tout fait en fonction de toi, pour essayer de te comprendre, de mettre un pied dans ton monde. Et en remerciement, j'ai l'ignorance, le mépris.
Je ne sais pas comment tu oses. Comment tu as l'audace. Mais crois-moi, t'es pas prêt.
Mec j'ai envie de te baiser sévère parce que bordel c'est bon quand on est des hormones monsters mais bordel j'ai aussi envie que tu ferme ta grande gueule c'est pas possible !
En vrai tu es juste teubé, je t'ai DIT que je pars dans 2 jours pour 4 mois, tu sais que je recherche une collocataire, je t'ai dit que j'ai des douleurs utérines qui m'ont fait aller faire un test de controle du stérilet car douleurs anormales, je t'ai dit que j'avais un peu mal au bras car vaccin fièvre typhoïde et que en plusje commencais à tomber malade.... Et toi, je te dis ça le matin par rapport a ta frustation que je n'ai pas accepté ta venue la veille au soir, toi, tu me proposes d'aller voir un concert de la copine d'un de tes potes en ville.
Alors oui c'est sympa de proposer un truc mais je sais pas REFLECHI un peu ! Je vais prendre 45 minutes A +R pour aller voir le concert d'une meuf que je ne connais pas ?
Je sais pas, si j'ai envie de prendre 3 h de mon temps je vais peut-être voir des gens que MOI je connais et aime vu que je ne vais plus les voir pendant 4 mois ?
Puis tu me demandes même pas si ça va mieux malgré mes soucis de santé clairement mentionnés ?
Tu as beau être vraiment cool d'un point de vue cul, en moins de deux mois j'ai découvert des trucs vraiment sympa, mais tu es d'un egoisme crasse.
En vrai tu es juste teubé, je t'ai DIT que je pars dans 2 jours pour 4 mois, tu sais que je recherche une collocataire, je t'ai dit que j'ai des douleurs utérines qui m'ont fait aller faire un test de controle du stérilet car douleurs anormales, je t'ai dit que j'avais un peu mal au bras car vaccin fièvre typhoïde et que en plusje commencais à tomber malade.... Et toi, je te dis ça le matin par rapport a ta frustation que je n'ai pas accepté ta venue la veille au soir, toi, tu me proposes d'aller voir un concert de la copine d'un de tes potes en ville.
Alors oui c'est sympa de proposer un truc mais je sais pas REFLECHI un peu ! Je vais prendre 45 minutes A +R pour aller voir le concert d'une meuf que je ne connais pas ?
Je sais pas, si j'ai envie de prendre 3 h de mon temps je vais peut-être voir des gens que MOI je connais et aime vu que je ne vais plus les voir pendant 4 mois ?
Puis tu me demandes même pas si ça va mieux malgré mes soucis de santé clairement mentionnés ?
Tu as beau être vraiment cool d'un point de vue cul, en moins de deux mois j'ai découvert des trucs vraiment sympa, mais tu es d'un egoisme crasse.
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Tu n'en rends pas compte, mais tu rajoutes de la douleur à la douleur. C'est comme quand on a la langue en feu, et qu'on trouve ça logique de rajouter du piment dessus. Un peu plus, on verra pas la différence.
Tu me vois dans une détresse que je ne montre jamais, et dont j'ai honte. Oui, j'ai honte. J'ai honte de pleurer, j'ai honte de dire des trucs que je ne dis jamais, j'ai honte de faire tomber mes barricades.
Je te dis que je vais peut-être partir loin, pendant plusieurs mois, que j'espère très fort ne pas revenir ici... Et toi tout ce que tu me dis c'est : "Mais tu l'as dit au prof ? Non parce que faudrait pas que tu nous plantes juste avant le spectacle.".
Merci de me laisser aucun regret.
N'essaye pas de me retenir. N'essaye pas de me dire que tu ne veux pas que je parte. N'essaye pas de me dire que je vais te manquer. N'essaye pas de me dire que ça ne sera pas pareil sans moi.
Je t'aurais au moins dit la moitié de ces choses-là. Parce que je les pense. Moi aussi, ça m'aurait fait peur de te dire ça. Mais je te l'aurais dit. Comme quand je t'ai dit que tu étais important pour moi. Je le pense. Mais maintenant je constate que l'inverse n'est pas vraie. Ou alors, si c'est vrai, tu le caches très bien. Et si c'est vrai, j'espère que tu me le diras un jour. Juste pour avoir le plaisir de te répondre que c'est trop tard.
Tu me vois dans une détresse que je ne montre jamais, et dont j'ai honte. Oui, j'ai honte. J'ai honte de pleurer, j'ai honte de dire des trucs que je ne dis jamais, j'ai honte de faire tomber mes barricades.
Je te dis que je vais peut-être partir loin, pendant plusieurs mois, que j'espère très fort ne pas revenir ici... Et toi tout ce que tu me dis c'est : "Mais tu l'as dit au prof ? Non parce que faudrait pas que tu nous plantes juste avant le spectacle.".
Merci de me laisser aucun regret.
N'essaye pas de me retenir. N'essaye pas de me dire que tu ne veux pas que je parte. N'essaye pas de me dire que je vais te manquer. N'essaye pas de me dire que ça ne sera pas pareil sans moi.
Je t'aurais au moins dit la moitié de ces choses-là. Parce que je les pense. Moi aussi, ça m'aurait fait peur de te dire ça. Mais je te l'aurais dit. Comme quand je t'ai dit que tu étais important pour moi. Je le pense. Mais maintenant je constate que l'inverse n'est pas vraie. Ou alors, si c'est vrai, tu le caches très bien. Et si c'est vrai, j'espère que tu me le diras un jour. Juste pour avoir le plaisir de te répondre que c'est trop tard.
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