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Célibattantes !
- Initiateur de la discussion Hawley
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- les essentiels
@Margay
Je réponds 2 semaines après
Mais je ne te trouvais pas du tout agressive ou moralisatrice
Ce sont des bonnes questions qui seraient effectivement intéressantes à discuter avec une psy je pense.
Dans le cas du gars dont je parlais, je me suis posée quelques minutes pour essayer de me poser les questions que tu as écrites. Après réflexion, je pense que déjà, le fait que j'ai eu l'impression qu'il portait une alliance, ça m'a fait très peur parce que je n'ai absolument pas du tout envie de me retrouver dans une histoire qui me rappelle de près ou de loin l'histoire avec Romain.
Et en même temps, avoir l'impression qu'il portait une alliance, ça m'a aussi fait me sentir nulle et ça a abaissé ma confiance en moi, parce que je me suis dit que bien sûr, il y a forcément une femme mieux et plus importante que moi, pour qui je me prends à me sentir attirée par ce mec. Et franchement, c'est déjà ce que je pensais au collège quand je ne parlais à aucun mec je pense, qu'ils allaient trouver que j'ai un sacré toupet de croire qu'ils pourraient me trouver intéressante.
Et puis au-delà de l'alliance, même si je m'étais inventée cette alliance, je serais pas allée lui parler je pense, car sur le moment, je me disais qu'il était tellement proche de tout ce qui pourrait me plaire chez un mec normalement et que je ne trouve absolument pas ici, que j'avais l'impression que ça me ferait me sentir vraiment nulle s'il ne semblait pas s'intéresser à moi. Et j'ai déjà ressenti ce sentiment de ne pas être assez bien très violemment à l'époque de Romain et d'autres mecs avant, et j'imagine que je n'ai pas envie de ressentir ça à nouveau
Enfin voilà, merci pour la question, je trouve ça plus intéressant que de chercher un lien avec mes parents (parce que pour le coup, je trouve que ce constat rejoint d'autres trucs que j'ai soulevé plusieurs fois avec les psys - le fait notamment que parfois, j'ai peur que les gens m'aiment pas de manière totalement irrationnelle et du coup je vais mettre de la distance dans ma tête - mais je pense vraiment que ça a zéro rapport avec mes parents ).
Sinon par rapport à ce gars justement, en fait il fait un métier assez public et l'autre jour, je regardais un événement en me disant que ça avait l'air chouette, et j'ai vu sur le programme qu'il y serait. Bon au final, moi je serai pas là, mais ça m'a fait réaliser que j'avais totalement des chances de le croiser à nouveau Par contre, j'ai peur de me transformer en stalker maintenant que j'ai réalisé ça et d'aller exprès à un événement pour le croiser
Sinon, j'ai réessayé par dépit de me mettre sur Bumble, mais je ne sais toujours pas quoi dire aux gars, et puis je sais pas, j'ai quand même des critères assez stricts puisque je veux pas un gars qui à 40 ans, ne "sait pas" s'il veut des enfants ou un mec qui écrit "apolitique" dans sa bio alors que j'ai des convictions importantes et que ça me stresse beaucoup si mes proches ne comprennent pas ces convictions/ne les partagent pas et pff, c'est pas vraiment encourageant ce truc...
Je réponds 2 semaines après
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Mais je ne te trouvais pas du tout agressive ou moralisatrice
Ce sont des bonnes questions qui seraient effectivement intéressantes à discuter avec une psy je pense.Dans le cas du gars dont je parlais, je me suis posée quelques minutes pour essayer de me poser les questions que tu as écrites. Après réflexion, je pense que déjà, le fait que j'ai eu l'impression qu'il portait une alliance, ça m'a fait très peur parce que je n'ai absolument pas du tout envie de me retrouver dans une histoire qui me rappelle de près ou de loin l'histoire avec Romain.
Et en même temps, avoir l'impression qu'il portait une alliance, ça m'a aussi fait me sentir nulle et ça a abaissé ma confiance en moi, parce que je me suis dit que bien sûr, il y a forcément une femme mieux et plus importante que moi, pour qui je me prends à me sentir attirée par ce mec. Et franchement, c'est déjà ce que je pensais au collège quand je ne parlais à aucun mec je pense, qu'ils allaient trouver que j'ai un sacré toupet de croire qu'ils pourraient me trouver intéressante.
Et puis au-delà de l'alliance, même si je m'étais inventée cette alliance, je serais pas allée lui parler je pense, car sur le moment, je me disais qu'il était tellement proche de tout ce qui pourrait me plaire chez un mec normalement et que je ne trouve absolument pas ici, que j'avais l'impression que ça me ferait me sentir vraiment nulle s'il ne semblait pas s'intéresser à moi. Et j'ai déjà ressenti ce sentiment de ne pas être assez bien très violemment à l'époque de Romain et d'autres mecs avant, et j'imagine que je n'ai pas envie de ressentir ça à nouveau
Enfin voilà, merci pour la question, je trouve ça plus intéressant que de chercher un lien avec mes parents
(parce que pour le coup, je trouve que ce constat rejoint d'autres trucs que j'ai soulevé plusieurs fois avec les psys - le fait notamment que parfois, j'ai peur que les gens m'aiment pas de manière totalement irrationnelle et du coup je vais mettre de la distance dans ma tête - mais je pense vraiment que ça a zéro rapport avec mes parents ).Sinon par rapport à ce gars justement, en fait il fait un métier assez public et l'autre jour, je regardais un événement en me disant que ça avait l'air chouette, et j'ai vu sur le programme qu'il y serait. Bon au final, moi je serai pas là, mais ça m'a fait réaliser que j'avais totalement des chances de le croiser à nouveau
Par contre, j'ai peur de me transformer en stalker maintenant que j'ai réalisé ça et d'aller exprès à un événement pour le croiser Sinon, j'ai réessayé par dépit de me mettre sur Bumble, mais je ne sais toujours pas quoi dire aux gars, et puis je sais pas, j'ai quand même des critères assez stricts puisque je veux pas un gars qui à 40 ans, ne "sait pas" s'il veut des enfants ou un mec qui écrit "apolitique" dans sa bio alors que j'ai des convictions importantes et que ça me stresse beaucoup si mes proches ne comprennent pas ces convictions/ne les partagent pas et pff, c'est pas vraiment encourageant ce truc...
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Bon je crois que j'abandonne la psy. Je sais pas si ça vaut le coup d'en chercher une autre, ça me laisse souvent frustrée, saoulée, l'impression d'être pas comprise ou impuissante à la fin. Peut-être que je pourrais essayer une psy française, mais je sais pas si ça changerait grand-chose.
Ce qui me frustre un peu déjà, c'est que je trouve que la première partie de la séance, c'est un peu comme un démarrage et quand je commence à avoir ma vitesse de croisière, la séance est finie et je dois m'interrompre en plein milieu d'un truc. Et la séance suivante, c'est à moi d'ouvrir la conversation à nouveau, donc j'ai l'impression de tout reprendre à zéro.
J'aimerais bien qu'elle me dise "la dernière fois on parlait de ça, reprenons sur ce point que vous évoquiez" au lieu de devoir réexposer à chaque séance de quoi je veux parler. Je veux dire, j'avais pas fini de parler la dernière fois et je veux reparler des mêmes choses, pourquoi je dois toujours tout réexpliquer et redire ce que je veux? J'ai l'impression d'être au boulot où je dois me représenter à tous les nouveaux publics.
Voilà, je voulais juste partager ça lol.
Ce qui me frustre un peu déjà, c'est que je trouve que la première partie de la séance, c'est un peu comme un démarrage et quand je commence à avoir ma vitesse de croisière, la séance est finie et je dois m'interrompre en plein milieu d'un truc. Et la séance suivante, c'est à moi d'ouvrir la conversation à nouveau, donc j'ai l'impression de tout reprendre à zéro.
J'aimerais bien qu'elle me dise "la dernière fois on parlait de ça, reprenons sur ce point que vous évoquiez" au lieu de devoir réexposer à chaque séance de quoi je veux parler. Je veux dire, j'avais pas fini de parler la dernière fois et je veux reparler des mêmes choses, pourquoi je dois toujours tout réexpliquer et redire ce que je veux? J'ai l'impression d'être au boulot où je dois me représenter à tous les nouveaux publics.
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Voilà, je voulais juste partager ça lol.
@PrincessMey Rha ça craint 
Le racisme dissimulé sous les stéréotypes quoi.
D'ailleurs c'est un peu HS mais je viens d'écouter les deux épisodes sur Grindr sur le podcast les Couilles sur la table et franchement c'est déprimant. Ils parlent notamment du fait que vu que le contexte est hyper expéditif (on voit un profil, on écrit, dans 45min on se voit et on baise) les utilisateurs se basent énormément sur des scripts prédéfinis et sur des stéréotypes (de type il semble être de telle nationalité = il sera plutôt comme ci ou comme ça, dominant ou passif, etc.) Parfois même sans laisser le choix à la personne qui se voit assignée à une certain stéréotype contre son gré.
Et bref je me dis que finalement ce n'est pas si différent sur les applis entre hétéros.
Le racisme dissimulé sous les stéréotypes quoi.D'ailleurs c'est un peu HS mais je viens d'écouter les deux épisodes sur Grindr sur le podcast les Couilles sur la table et franchement c'est déprimant. Ils parlent notamment du fait que vu que le contexte est hyper expéditif (on voit un profil, on écrit, dans 45min on se voit et on baise) les utilisateurs se basent énormément sur des scripts prédéfinis et sur des stéréotypes (de type il semble être de telle nationalité = il sera plutôt comme ci ou comme ça, dominant ou passif, etc.) Parfois même sans laisser le choix à la personne qui se voit assignée à une certain stéréotype contre son gré.
Et bref je me dis que finalement ce n'est pas si différent sur les applis entre hétéros.
Je voulais revenir un peu sur mon précédent message sur les psys car je me suis demandé ces derniers jours si j'avais vraiment pas de chance avec les psys et j'ai pas le bon "état d'esprit" car parfois, je me sentais un peu braquée avec certaines questions et j'avais l'impression de devoir "prouver" quelque chose à la psy en face de moi.
Bref voilà, j'ai l'impression d'avoir fait chou blanc avec les psys, mais j'en suis peut-être un peu responsable, je ne sais pas. Et du coup, maintenant je ne sais vraiment pas trop quelle solution explorer...
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Bref voilà, j'ai l'impression d'avoir fait chou blanc avec les psys, mais j'en suis peut-être un peu responsable, je ne sais pas. Et du coup, maintenant je ne sais vraiment pas trop quelle solution explorer...
@MorganeGirly je vais te répondre avec le point de vue de quelqu'un encore en étude de psycho donc à prendre avec des pincettes. Ce ne sera centré que sur ce qu'on apprend en France, dans d'autres pays la formation peut être totalement différente :
En psychologie, il y a énormément de chapelles, donc déjà d'un psychologue clinicien à un autre, en dehors même de son individualité, les méthodes peuvent vraiment différer.
Tu peux peut-être demander l'obédience de ton psychologue et faire des recherches sur ce qui te parle le plus ? Même si dans l'idéal tout ça devrait être beaucoup plus transparent et compréhensible pour le patient...
Quand tu parles de l'attachement : dans nos cours on insiste sur les schémas d'attachement à notre premier cercle dans l'enfance, qui impacteraient durablement notre manière de nous lier aux autres (peut-être trop je ne sais pas, je manque de recul), donc avec tous les patients on va chercher à creuser ce domaine. Ce qui te semble démontrer un préjugé sur ton cadre familial exceptionnel et enclenche ton mode défensif pourrait-il être du domaine de l'investigation commune ?
Je pose ici des questions et j'interprète face à plusieurs récits ce qui donne une vision très déformée, donc il n'y a que toi qui est en mesure de savoir évidemment.
Quand je lis ton récit, j'ai l'impression que tu rentres en résistance à cause d'une ambivalence entre l'intrusion de ton psy (pourquoi ressens-tu souvent le jugement/préjugé, quand on te pose certaines questions, sur lesquelles ça se concentre ? Et l'envie de lui plaire qui t'incite à parler de choses dont tu n'as pas envie (comme revenir sur des récits déjà dit, ne pas exprimer dans la séance tes doutes sur la thérapie et tes envies (avoir besoin d'être guidée/ exprimer tes émotions négatives sur le moment en face à face quand tu ne comprends pas ce qui se passe en séance).
Je me demande s'il ne te faudrait pas un psychologue qui pratique la psychothérapie existentialiste, car celle-ci pose un cadre très explicite sur ce qui va se passer en séance, s'appuie sur l'ici et maintenant (en simplifiant on pense que si tu viens pour des problèmes relationnels ceux-ci vont s'exprimer au sein même du cadre de la thérapie entre le praticien et le patient) et s'appuie beaucoup sur le feedback, donc tu auras des questions directes sur ce que tu ressens dans la séance et dans le lien entre vous, et je trouve l'approche plus dirigiste, ce que tu as l'air de chercher.
Dans tous les cas, un bon psy n'est jamais là pour te juger mais pour t'écouter, ce n'est pas un gardien moral mais un accompagnant. Donc ta partie combative a toute sa place dans la thérapie pour t'aider à savoir si la personne en face est la bonne pour toi, et en continuant de te questionner sur son juste déploiement je pense que tu finiras pas trouver un psy te correspondant et qu'en toi tu pourras aussi accepter de recevoir les questions plus sereinement.
Je voudrais aussi te dire que c'est assez commun (même si très frustrant) de ne pas trouver la personne qui nous convient tout de suite, je suis moi-même passée par plusieurs praticiens avant de trouver la bonne. Avec le recul il y avait aussi une histoire de période, à un moment je cherchais, mais je n'étais pas prête à me mettre vraiment au travail, même si un praticien très patient aurait peut-être pu faire émerger des choses.
J'espère ne pas t'avoir braquée, je n'ai pas le temps de me relire mais j'avais vraiment envie de te répondre !
En psychologie, il y a énormément de chapelles, donc déjà d'un psychologue clinicien à un autre, en dehors même de son individualité, les méthodes peuvent vraiment différer.
Tu peux peut-être demander l'obédience de ton psychologue et faire des recherches sur ce qui te parle le plus ? Même si dans l'idéal tout ça devrait être beaucoup plus transparent et compréhensible pour le patient...
Quand tu parles de l'attachement : dans nos cours on insiste sur les schémas d'attachement à notre premier cercle dans l'enfance, qui impacteraient durablement notre manière de nous lier aux autres (peut-être trop je ne sais pas, je manque de recul), donc avec tous les patients on va chercher à creuser ce domaine. Ce qui te semble démontrer un préjugé sur ton cadre familial exceptionnel et enclenche ton mode défensif pourrait-il être du domaine de l'investigation commune ?
Je pose ici des questions et j'interprète face à plusieurs récits ce qui donne une vision très déformée, donc il n'y a que toi qui est en mesure de savoir évidemment.
Quand je lis ton récit, j'ai l'impression que tu rentres en résistance à cause d'une ambivalence entre l'intrusion de ton psy (pourquoi ressens-tu souvent le jugement/préjugé, quand on te pose certaines questions, sur lesquelles ça se concentre ? Et l'envie de lui plaire qui t'incite à parler de choses dont tu n'as pas envie (comme revenir sur des récits déjà dit, ne pas exprimer dans la séance tes doutes sur la thérapie et tes envies (avoir besoin d'être guidée/ exprimer tes émotions négatives sur le moment en face à face quand tu ne comprends pas ce qui se passe en séance).
Je me demande s'il ne te faudrait pas un psychologue qui pratique la psychothérapie existentialiste, car celle-ci pose un cadre très explicite sur ce qui va se passer en séance, s'appuie sur l'ici et maintenant (en simplifiant on pense que si tu viens pour des problèmes relationnels ceux-ci vont s'exprimer au sein même du cadre de la thérapie entre le praticien et le patient) et s'appuie beaucoup sur le feedback, donc tu auras des questions directes sur ce que tu ressens dans la séance et dans le lien entre vous, et je trouve l'approche plus dirigiste, ce que tu as l'air de chercher.
Dans tous les cas, un bon psy n'est jamais là pour te juger mais pour t'écouter, ce n'est pas un gardien moral mais un accompagnant. Donc ta partie combative a toute sa place dans la thérapie pour t'aider à savoir si la personne en face est la bonne pour toi, et en continuant de te questionner sur son juste déploiement je pense que tu finiras pas trouver un psy te correspondant et qu'en toi tu pourras aussi accepter de recevoir les questions plus sereinement.
Je voudrais aussi te dire que c'est assez commun (même si très frustrant) de ne pas trouver la personne qui nous convient tout de suite, je suis moi-même passée par plusieurs praticiens avant de trouver la bonne. Avec le recul il y avait aussi une histoire de période, à un moment je cherchais, mais je n'étais pas prête à me mettre vraiment au travail, même si un praticien très patient aurait peut-être pu faire émerger des choses.
J'espère ne pas t'avoir braquée, je n'ai pas le temps de me relire mais j'avais vraiment envie de te répondre !
Les gens supposent aussi que vous êtes lesbiennes si vous êtes célibataires?
Ça me fout en rage, ya un gros sous-entendu "le problème vient de toi si tu n'as personne".
Et je me sens impuissante parce que je ne suis pas homosexuelle et d'un coup on me colle des étiquettes gratuitement. Sûrement certains pensent que je refoule mon orientation et que je ne veux pas le dire.
C'est comme si à quelqu'un qui n'arrive pas à acheter de maison je lui disais "peut-être que tu es nomade et que tu aimes vivre dans des roulottes au fond de toi."
Ça me fout en rage, ya un gros sous-entendu "le problème vient de toi si tu n'as personne".
Et je me sens impuissante parce que je ne suis pas homosexuelle et d'un coup on me colle des étiquettes gratuitement. Sûrement certains pensent que je refoule mon orientation et que je ne veux pas le dire.
C'est comme si à quelqu'un qui n'arrive pas à acheter de maison je lui disais "peut-être que tu es nomade et que tu aimes vivre dans des roulottes au fond de toi."
Coucou,
J'ai une question, je sais pas si je peux poster ici.
Merci bien.
J'ai une question, je sais pas si je peux poster ici.
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Merci bien.
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