Voici mon bilan de Février et de Mars! Avec le confinement j'en profite, comme beaucoup, pour lire autant que je le peux!
FÉVRIER
1. Un livre d'un.e auteur.ice dont tu n'as jamais rien lu: Les Hauts de Hurlevent, Emily Brontë
Un livre très anglais, très romantique (au sens littéraire du terme) et assez prenant. Catherine et Heathcliff sont détestables et pourtant on ne peut s’empêcher d’éprouver de l’empathie pour eux. Durant la première partie du moins. A la fin on a juste envie de pousser Heathcliff sous une voiture.
MARS
18. Un livre dont la nationalité de l'auteur.ice commence par la lettre A: Emma, Jane Austen
Jane Austen étant Anglaise, je l’ai mis dans cette catégorie, on est d’accord, c’est un peu facile. C’est un livre plutôt plaisant dans l’ensemble mais qui a mal vieilli, cf. le classisme et le racisme primaires qui parsèment l’histoire (et la conclusion qui est que le bonheur c’est quand les riches épousent les riches, et les pauvres épousent les pauvres).
24. Un livre dont l'histoire se passe à la même saison que la saison où on le lit: The Catcher in the Rye (fr: L’Attrape-coeur), J. D. Salinger
Une énième tentative de réconciliation avec la littérature américaine qui échoue. C’est une plongée dans l’esprit d’un petit mec blanc bourgeois des années 1950 qui déambule dans New York en se plaignant de ces problèmes de petit mec blanc bourgeois. Je n’ai évidemment pas réussi à éprouver la moindre empathie pour ce “héros” qui est censé incarner une jeunesse new yorkaise en perdition ou que sais-je. Sans compter que le tout est écrit dans un argot américain qui tape très vite sur le système. Je sais que ce livre est un classique très apprécié, notamment chez les jeunes anglo-saxons, mais alors en ce qui me concerne je trouve qu’il n’y a rien à en tirer.
25. Un livre avec un personnage principal (ou secondaire) LGBT+: Homo Sapienne, Niviaq Korneliussen
Tous les personnages du livre sont LGBT+, je pouvais pas mieux coller.
C’était très frais, écrit de façon très originale et agréable. Je l’ai dévoré, et je pense que je lirai d’autres livres de cette autrice.
16. Un livre d'un.e auteur.ice scandinave: Les Sentiments du Prince Charles, Liv Strömquist
Un roman graphique féministe qui m’a fait réfléchir sur un tas de sujet. C’est pertinent et plein d’humour, vraiment je recommande!
4. Un livre lu par un.e autre Madz pendant ce challenge: La Fortune des Rougons, Emile Zola
Lu par @Trémazane (moi aussi je me lance dans l’aventure Rougon-Macquart).
Je sais que ce n’est pas forcément le livre de Zola qui fait l’unanimité mais en ce qui me concerne, la magie a opéré. Déjà grâce à la dextérité avec laquelle il manie les mots, ensuite parce que cette plongée dans La Deuxième République était vraiment prenante. J’ai hâte de continuer à suivre les Rougon-Macquart.
21. Une histoire d'amitié: The Great Gatsby (fr: Gatsby le Magnifique), F. S. Fitzgerald
Enfin il est là: LE livre qui me réconcilie avec la littérature américaine. Je connaissais l’histoire et redoutais de m’ennuyer mais c’était sans compter sur la virtuosité de Fitzgerald. Je conseille de le lire même si vous avez déjà vu les adaptations car il y a quelques passages (volontairement?) omis dans les films qui donnent du relief au roman.
Bilan: 14/50
Lecture en cours: Inceste, Anaïs Nin
[Edit: 14/50 et pas 14/20]
FÉVRIER
1. Un livre d'un.e auteur.ice dont tu n'as jamais rien lu: Les Hauts de Hurlevent, Emily Brontë
Un livre très anglais, très romantique (au sens littéraire du terme) et assez prenant. Catherine et Heathcliff sont détestables et pourtant on ne peut s’empêcher d’éprouver de l’empathie pour eux. Durant la première partie du moins. A la fin on a juste envie de pousser Heathcliff sous une voiture.
MARS
18. Un livre dont la nationalité de l'auteur.ice commence par la lettre A: Emma, Jane Austen
Jane Austen étant Anglaise, je l’ai mis dans cette catégorie, on est d’accord, c’est un peu facile. C’est un livre plutôt plaisant dans l’ensemble mais qui a mal vieilli, cf. le classisme et le racisme primaires qui parsèment l’histoire (et la conclusion qui est que le bonheur c’est quand les riches épousent les riches, et les pauvres épousent les pauvres).
24. Un livre dont l'histoire se passe à la même saison que la saison où on le lit: The Catcher in the Rye (fr: L’Attrape-coeur), J. D. Salinger
Une énième tentative de réconciliation avec la littérature américaine qui échoue. C’est une plongée dans l’esprit d’un petit mec blanc bourgeois des années 1950 qui déambule dans New York en se plaignant de ces problèmes de petit mec blanc bourgeois. Je n’ai évidemment pas réussi à éprouver la moindre empathie pour ce “héros” qui est censé incarner une jeunesse new yorkaise en perdition ou que sais-je. Sans compter que le tout est écrit dans un argot américain qui tape très vite sur le système. Je sais que ce livre est un classique très apprécié, notamment chez les jeunes anglo-saxons, mais alors en ce qui me concerne je trouve qu’il n’y a rien à en tirer.
25. Un livre avec un personnage principal (ou secondaire) LGBT+: Homo Sapienne, Niviaq Korneliussen
Tous les personnages du livre sont LGBT+, je pouvais pas mieux coller.
C’était très frais, écrit de façon très originale et agréable. Je l’ai dévoré, et je pense que je lirai d’autres livres de cette autrice.
16. Un livre d'un.e auteur.ice scandinave: Les Sentiments du Prince Charles, Liv Strömquist
Un roman graphique féministe qui m’a fait réfléchir sur un tas de sujet. C’est pertinent et plein d’humour, vraiment je recommande!
4. Un livre lu par un.e autre Madz pendant ce challenge: La Fortune des Rougons, Emile Zola
Lu par @Trémazane (moi aussi je me lance dans l’aventure Rougon-Macquart).
Je sais que ce n’est pas forcément le livre de Zola qui fait l’unanimité mais en ce qui me concerne, la magie a opéré. Déjà grâce à la dextérité avec laquelle il manie les mots, ensuite parce que cette plongée dans La Deuxième République était vraiment prenante. J’ai hâte de continuer à suivre les Rougon-Macquart.
21. Une histoire d'amitié: The Great Gatsby (fr: Gatsby le Magnifique), F. S. Fitzgerald
Enfin il est là: LE livre qui me réconcilie avec la littérature américaine. Je connaissais l’histoire et redoutais de m’ennuyer mais c’était sans compter sur la virtuosité de Fitzgerald. Je conseille de le lire même si vous avez déjà vu les adaptations car il y a quelques passages (volontairement?) omis dans les films qui donnent du relief au roman.
Bilan: 14/50
Lecture en cours: Inceste, Anaïs Nin
[Edit: 14/50 et pas 14/20]
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