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Toujours est-il que je peux comprendre l'importance de la relation parains/marraines pour certains. Je vois bien par exemple qu'une de mes amies est marraine d'une de ses nièces (donc elle est en réalité déjà tante de cette petite) mais qu'elles ont vraiment noué un lien plus particulier qu'avec les autres neveux/nièces/tantes/oncles respectifves. La petite vient passer du temps chez elle, elle se confie un peu plus facilement, etc.
Pour revenir au cas de la Madz, la solution serait peut-être d'initier la conversation avec sa soeur un peu comme un questionnement plutôt que comme un fait établi (même si la décision a l'air déjà plus ou moins prise) ? Elle pourrait demander à sa soeur si elle a des attentes dans son lien avec l'enfant à venir, à quel point est-ce qu'elle pense pouvoir s'impliquer, étant donné qu'elle est maintenant loin et assez occupée avec ses propres enfants. Et enchainer, selon comme la conversation évolue, sur les inquiétudes de la Madz sur ce point et l'idée qu'elle préfèrerait certainement désigner quelqu'un de plus proche géographiquement.
