C'est du clickbait il procrastine le péchotage jusqu'au mariageNous avions laissé Bella et Edward dans une voiture trop chauffée, alors qu'Edward annonçait à Bella qu'elle devait à présent passer à la casserole, ou quelque chose comme ça.
C'est du clickbait il procrastine le péchotage jusqu'au mariageNous avions laissé Bella et Edward dans une voiture trop chauffée, alors qu'Edward annonçait à Bella qu'elle devait à présent passer à la casserole, ou quelque chose comme ça.
Vous vous connaissez depuis une semaine, j'ai une relation plus sérieuse avec mon bocal de pâtes, arrêtez votre dramaje serais prêt à souffrir pour t'éviter de souffrir…de mourir.
Je me hérissai.
— Ne crois-tu pas que j'en ferais autant à ta place ?
— On y va ? proposa-t-il. Je retins un gémissement. J’avais sport
Et m'excuseras-tu si je me pardonne ?— Me pardonneras-tu si je m'excuse ?
Bella, elle, ne salue pas Billy (ni son père, mais ça, on s'en doutait), parce qu'il n'a pas l'air d'apprécier Edouard—Billy ! s'écria Charlie dès qu’il fut sorti de voiture. Je me dirigeai vers la maison, indiquant d'un geste à Jacob de me rejoindre sous le porche. Derrière moi, j'entendis Charlie les saluer avec chaleur.
Spoiler alert : il se pourrait fort que tu en sois toujours une.j'eus soudain le sentiment de redevenir une gamine.
J'imagine S. Meyer élaborant la très riche personnalité de ses personnages secondaires.Tu restes pour le match, hein ?
— Vous avez faim ? M’enquis-je en filant vers la cuisine
Eh bien je vois qu'à Fourchettes-les-bains tout le monde respecte autant ses parents.Je trouvais mon père bizarre, aussi. — C'est vrai qu'il n'aime pas beaucoup les Cullen. — Vieillard superstitieux, marmonna Jacob dans sa barbe.
Bella est tellement persuadée que le monde DOIT tourner autour d'elle, qu'elle préfère se coucher tard et ne pas faire ses devoirs parce que voyez-vous, c'est CERTAIN qu'elle sera le centre de la discussion à un moment ou un autre.e prêtai l'oreille à ce que se racontaient les deux hommes, guettant Billy et méditant déjà la façon de l'empêcher de me dénoncer au cas où il aurait cédé à la tentation. La soirée se traîna en longueur. J'avais pas mal de devoirs qui m'attendaient. Ils allaient rester en plan, mais tant pis : j'avais trop peur de laisser Billy seul avec Charlie.
Une description qui n'est donc pas du tout gênante entre un père et sa fille.Je lui adressai un clin d'œil et fus récompensée par le sourire charmant qui creusait ses pattes d'oie
Edouard est séduisant.Bon sang ! Avait-il la moindre idée de la séduction de sa voix
A sa place, je serais tout de même vachement peu sereine qu'un type à qui je parle depuis 1 semaine et qui m'a déjà stalkée mène une enquête aussi méthodique sur moi et mon entourage. Mais ce n'est que mon opinion,Ce coup-ci, son intérêt se porta sur les gens. Renée, ses passions, nos occupations communes ; puis la seule de mes grand-mères que j'avais connue, mes rares amis d’école
Ok, stalker, entre donc par effraction chez mon père et moi. Toi ou n'importe qui de ta famille. Pas de souci— Je n'ai pas les clés sur moi. — Ta voiture sera là, et la clé sur le contact, s'entêta-t-il. — D'accord, acceptai-je, lèvres pincées.
Bella :— Et si tu ne reviens pas, lança cependant Edward avec sécheresse, que va-t-il penser ? — Aucune idée. Il sait que j'avais projeté des lessives. Il se dira que je suis tombée dans le lave-linge.
C'est bien de le préciser, des fois qu'on aurait un doute depuis 3 pages que le frère aux cheveux cuivrés discute avec toi.J'inspectai brièvement ses frères et sœurs. Ils étaient muets et indifférents à tout, exactement comme au premier jour. Sauf qu'ils n'étaient plus que quatre – leur magnifique frère aux cheveux cuivrés était installé en face de moi un éclat d'incertitude dans ses pupilles dorées.
Stalker les gens, un incroyable talent.— Avec mes talents... particuliers, murmura-t-il en effleurant discrètement son front, j'ai une capacité hors du commun à saisir la nature humaine.
Soudain, Rosalie, la blonde époustouflante, pivota vers moi. Elle ne me regarda pas, elle me poignarda de ses prunelles sombres et froides.
J'imagine la scène jouée de manière bien trop théâtrale par un mauvais acteur. Mais force est de constater que c'est juste, la manière dont elle est écrite.il se prit la tête entre les mains, dans un élan d'angoisse absolue.
ET IL COMPTE ARRÊTER QUAND, L'AUT' VAMPIRE, DE LUI RÉPÉTER QU'ELLE EST UNE CHOSE FRAGILE QUI NE SAIT RIEN FAIRE D'AUTRE QU'ETRE UN DANGER POUR ELLE-MÊME ? (Spoiler : jamais, ça lui permet de la maintenir sous sa coupe)Un bout de papier gisait sur mon siège. Je m'installai et refermai la portière avant de le déplier. Deux mots, rédigés de sa belle écriture. Sois prudente
Les zhommes viennent de Mars, ils sont siiii compliqués : Boulot ? Matchs à la télé ? Bouffe ? Tant de centres d'intérêt si complexes et si variés !Charlie me parut ailleurs, préoccupé par le travail sans doute, ou un match de baseball, à moins qu'il ne se délectât tout simplement des lasagnes – c'est difficile de savoir
Mais bordel de nouille, ça fait 5 fois déjà que tu la mentionnes, cette foutue lessive. C'est bon, je pense que tout le monde a compris quelle ménagère dévouée tu es.— Non, ne change pas tes plans. J'ai des tonnes de trucs à faire. Des devoirs, la lessive...
QU'EST-CE QUE JE VIENS DE DIRE !?Après le repas, je pliai du linge propre et lançai un nouveau cycle de séchage.
Sachant que j'étais trop énervée pour dormir, je m'autorisai une folie et avalai un médicament contre le rhume dont je n'avais absolument pas besoin,
Lol lé femme sa ces pa conduir— Mets ta ceinture, j'ai déjà la frousse. — Prends la 101 en direction du nord, m'ordonna-t-il. J'eus beaucoup de mal à me concentrer sur la route, sachant qu'il me couvait des yeux. Du coup, je traversai encore plus lentement que d'ordinaire la ville endormie. — Tu as l'intention de quitter Forks avant la nuit ? M’apostropha-t-il.
Habile : maintenant qu'elle a pris soin de dire à tout le monde qu'elle allait à Seattle, puis que non en fait elle rester à la maison faire le ménage... Il peut l'emmener dans les sous-bois, dans un endroit où personne ne se doutera qu'elle est allée, pour mieux se délecter de son sang. Le crime parfait.— Et qu'y a-t-il après la chaussée ? — Un sentier. — On part en balade ? Sur ce, il s'enfonça dans les bois. — Mais le chemin ? Bêlai-je, paniquée, en courant autour du camion pour le rattraper. —Je n'ai jamais dit que nous l'emprunterions.
Ah au fait, Edouard est beau.Il était trop parfait, me rendis-je compte, désespérée. Il était impossible qu’une créature aussi divine pût m'être destinée.
Edouard s'est maquillé ce matin. ENFIN un message sympa ! C'est bien Edouard, fais ce qui te chante !Ses paupières couleur lavande étaient fermées
Moi aussi, je profitai du beau temps, bien qu'il ne fît pas assez sec à mon goût.
Edouard est beau, donc.La clairière, si spectaculaire au premier abord, pâlissait devant tant de magnificence. Hésitante, toujours aussi effrayée qu'il disparût tel un mirage tant il était trop beau pour être vrai...
C't'à dire que les paillettes, c'est pas l'accessoire n°1 du Méchant crédible.—Je ne t'effraie pas ? Plaisanta-t-il. Je sentis pourtant une réelle curiosité derrière le badinage affiché.
—Je t'embête ? Murmurai-je, car il avait refermé les yeux. — Non. Tu n'imagines pas les sensations que tu me procures.—Je t'embête ? Murmurai-je, car il avait refermé les yeux. — Non. Tu n'imagines pas les sensations que tu me procures.
Edouard est beau.. Son visage d'ange n'était qu'à quelques centimètres du mien.
pour la seconde fois depuis que je le connaissais, je humai son haleine. Instinctivement, je me penchai, inhalant à plein nez.
— Désolé, marmonna-t-il avec un sourire hésitant. Comprendrais-tu si je te disais n'être qu'un homme ?
Edouard est beau.jamais il n'avait été aussi peu humain, ni plus beau.
S'il y a bien une chose que ces deux lascars ont en commun, c'est leur irrépressible joie de vivre.Ses yeux magnifiques semblaient briller d'une âpre excitation. Ils se ternirent peu à peu, et son visage retrouva le masque de tristesse qui était le sien d'ordinaire.
Dans un mouvement délibérément mesuré, il se baissa jusqu'à ce que nos yeux fussent à niveau.
Qui étais-tu, petite fille insignifiante (il eut un grand sourire)
Sauf que techniquement, tu es plus ou moins mortBella... Tu es désormais l'élément le plus important de ma vie. De toute ma vie.
On sait.Je ne pensais à rien
Edouard est beau.Je suivis le tracé de son nez parfait puis, encore plus prudemment, de ses lèvres au dessin magnifique
Hou, ça devient torride.D'autres faims me dévorent, cependant. Des pulsions qui m'échappent, même à moi. Qui me sont étrangères. — Tout ça m'est beaucoup plus familier que tu ne le penses.
Edouard est beau.Sa bouche se tordit en ce sourire en coin si craquant,
Tu le connais depuis 10 jours seulement, qu'est-ce que tu en saisJamais il n'avait été aussi heureux.
Sa beauté m'étourdit
Et la phrase s'arrête là, en plein milieuJe serais plus rassuré si je te gardais à
Bella a la trouille de poser des questions à Edouard. FUIS ma grande, FUIS, c'est un red flag.— M'avoueras-tu jamais ton âge ? Poursuivis-je, un peu hésitante, car je ne tenais pas à gâcher son entrain.
Mais ils sont de quelle couleur, ses yeux ?Il soupira, puis plongea ses yeux dans les miens
Donc, un mec âgé de plus de 100 ans, plus vieux que ton arrière-grand-père, bande littéralement sur toi et tes 17 ans, mais tout ce que tu vois c'est son corps d'ado donc ça te laisse impassible.il m'avoua qu'il était né à Chicago en 1901. Il vérifia d'un coup d'œil comment je réagissais, et je pris soin de rester impassible, attendant patiemment la suite.
Du coup on n'appelle pas vraiment ça un choix, si la personne n'a pas d'autre solution, n'est-ce pas ?C'est juste Carlisle. Il n'imposerait jamais ce choix à qui aurait une autre solution.
Ben non banane, t'as été un humain pendant 17 ans tout de même.—C'est la première fois que je passe autant de temps en compagnie de quelqu'un qui a besoin de se nourrir
Bella-le-mépris est de retour.J'avais du mal à envisager cette créature divine assise sur une des pauvres chaises de mon père
Ce que tu dis n'a aucun sens.J'entendis sa portière se refermer en douceur et, presque simultanément, il fut de mon côté, ouvrant galamment la mienne. — Voilà qui est très humain, le complimentai-je.
— Tu m'as espionnée ? Je ne réussis pas cependant à insuffler à mon ton la colère nécessaire. En vérité, j'étais flattée.
— A quoi occuper mes nuits, sinon ? — Combien de fois es-tu venu ici ? —Je te rends visite presque toutes les nuits.
Même la nuit, il faut qu'elle se plaigne de la météo.Ta mère te manque, tu t'inquiètes à son sujet. Et le bruit de la pluie t'énerve. Au début, tu parlais souvent de chez toi, là-bas, c'est moins le cas, à présent. Une fois, tu as dit : « C'est trop vert ! »
Ton stalker, par exemple ? Celui qui vient de te dire qu'il venait quotidiennement ?La clé de Charlie tourna dans la serrure. — Bella ? Appela-t-il. Ce genre d'habitude m'agaçait – qui d'autre pouvait être à la maison ?
C'était très intéressant.Je m'occupai de son repas tout en avalant le mien – je me brûlai la langue d'ailleurs.
Le rêve de tout père, que sa fille ait quitté la maison avant que ses hormones ne se mettent à la travailler
Plutôt un vampire. Plutôt un vieux, d'ailleurs.L'idée qu’un garçon hantait ma chambre
Ce qui est sage, sachant qu'il est probablement dans la salle de bain en train de te mater sous la douche., je m'attardai sous la douche, désireuse de profiter au maximum des bienfaits de l'eau chaude. Je m'interdis de penser à Edward assis dans ma chambre
il éclata d'un rire silencieux mais plein d'exubérance
E.L. James n'a rien inventé.— Alors, ne t'éloigne pas, répondis-je, incapable de dissimuler mon désir. — D'accord ! Plaisanta-t-il. Qu’on amène les fers, je serai ton prisonnier
Voilà une réaction tout à fait saine et mesurée.—J'ai été déconcerté par l'élan de colère, de furie presque, que j'ai ressenti et, d'abord, je ne l'ai pas identifié pour ce que c'était. J'ai été encore plus exaspéré que d'ordinaire
Tu comprends Bella, il est hors de question que tu aies une vie à toi, même si moi, je pars faire ma vie ailleurs. "Oh can't youu seeeee... you belonggg to meeeee... How my poor heart aaaches with every step youuu take." *air connu*J'avais conscience que si je continuais à t'ignorer ou que si je m'en allais pour quelques années, jusqu'à ce que toi, tu sois partie, tu finirais par dire oui à Mike ou à un type comme lui. Ça me rendait malade.
—J'aurais dû me douter que tu nous espionnerais, grognai-je. — Comment voulais-tu qu'il en aille autrement !
de sa paume libre, caressa mes cheveux.
Sauf du choix de tes fréquentations, du choix de conduire ou non, du choix de tes sorties, de toute notion d'intimité, de ta vie privée...Je ne me sens privée de rien. — Pas encore.
DES BROWNIES ! ON N'A QU'A FAIRE DES BROWNIES !— Puisque tu ne veux pas dormir... commença-t-il, moqueur. Je cessai de respirer. — Oui ? — Que veux-tu faire ? —Je n'en sais rien. — Tiens-moi au courant quand tu auras décidé.
Mais... mais vous vous parlez depuis 10 jours seulement...— Tu as dit que Rosalie et Emmett se marieraient bientôt. Est-ce que... ce mariage... représente la même chose que pour les humains ? [...] — Ta curiosité avait-elle un but précis ? — Je me demandais juste... à propos de toi et moi... un jour...
— Je me demandais juste... à propos de toi et moi... un jour...
Aussitôt, il retrouva son sérieux. Je le sus en sentant son corps se figer. Automatiquement, je cessai de bouger moi aussi.
— Je ne crois pas que ce... que ça serait possible pour nous.
— Parce que... cette intimité serait trop difficile à supporter pour toi ?
— Sans doute. Mais ce n'est pas ce à quoi je pensais. Tu es si douce, si fragile. Je dois sans arrêt veiller à mes actes pour ne pas te faire du mal. Je pourrais te tuer si facilement, Bella, par accident.
— Si je me précipitais, ou si, le temps d'une seconde, mon attention se relâchait, je pourrais, en touchant ton visage, t'écraser le cerveau par mégarde.