Je suis en train de réfléchir à un truc...
Ça me saoule un peu cette explication du spm pour justifier des émotions plus intenses que d'habitude, des réactions plus extrêmes, une sensibilité accrue. Je veux dire, justifier cela a chaque fois de cette façon, est-ce que d'une part, ça n'est pas décrédibiliser nos émotions (c'est pas ma faute c'est mon spm, je suis pas maîtresse de moi-même, déso pas déso) et d'autre part, confirmer, encore et encore et encore tous les clichés qui existent sur les femmes et sur leur instabilité émotionnelle ? Ça me désole à chaque fois de voir des femmes se sentir obligées de justifier "spm, c'est normal". Et donc, une émotion plus intense hors spm, elle est justifiée comment ?
C'est pas très aboutit cette réflexion, mais toujours est-il qu'on a le droit d'avoir les émotions que l'on a, et peu importe le moment du cycle auquel elles arrivent, elles n'ont pas à être justifiées.
Ça me saoule un peu cette explication du spm pour justifier des émotions plus intenses que d'habitude, des réactions plus extrêmes, une sensibilité accrue. Je veux dire, justifier cela a chaque fois de cette façon, est-ce que d'une part, ça n'est pas décrédibiliser nos émotions (c'est pas ma faute c'est mon spm, je suis pas maîtresse de moi-même, déso pas déso) et d'autre part, confirmer, encore et encore et encore tous les clichés qui existent sur les femmes et sur leur instabilité émotionnelle ? Ça me désole à chaque fois de voir des femmes se sentir obligées de justifier "spm, c'est normal". Et donc, une émotion plus intense hors spm, elle est justifiée comment ?
C'est pas très aboutit cette réflexion, mais toujours est-il qu'on a le droit d'avoir les émotions que l'on a, et peu importe le moment du cycle auquel elles arrivent, elles n'ont pas à être justifiées.