@Blizzard : ah, mince. Je te dirais bien de d'abord profiter de tes vacances (puisque ta L2 va être chargée) mais je comprends ta préoccupation.
Les commentaires d'arrêt, comme disait un de mes chargés quand j'étais jeune et motivée, c'est comme faire du vélo. Plus on en fait, plus on réflechit, plus on a de la matière à travailler, plus c'est logique et "facile".
Après, j'ai remarqué que dans la petite fac où j'ai été en L2, on prend beaucoup plus de temps pour travailler la méthodologie (en L1 j'étais à Toulouse avec une chargée qui parlait même pas français et qui était pas foutue de nous expliquer correctement les cours).
Par exemple, en L2, on avait un gros fascicule avec deux bonnes pages pour nous expliquer la méthodo, alors qu'en L1 les séances c'était 1p/personne et encore, y en avait pas pour tout le monde...
Et puis clairement en L1, je ne pense pas qu'on ait de la matière à mettre dans un commentaire juridique de 6 pages, sérieusement (enfin, je parle par rapport aux cours que j'ai eu).
En L2 justement, on avale beaucoup plus de jurisprudence, de doctrine, les problématiques sont plus complexes et donc plus intéressantes à dénouer. En L1, on nous dit "critiquez l'arrêt" après une pauvre cours d'introduction de 20 pages avec 3 arrêts dedans, et après on s'étonne que des pauvres étudiants écrivent des trucs du genre "le juge est pas gentil, sa décision est pas très cool quand même".
Mais peut-être Lyon 2 est-elle une grande fac mais avec de bons chargés ? (elle est très bien notée par l'AERES en tout cas !)
Autre chose que tu peux faire si tu rentres en L2 : acheter le GAJA (de toute façon y a de grandes chances pour qu'on vous demande de l'acheter, c'est un peu le Code Civil du stratif, tous les arrêts que tu bosseras sont dedans), et commencer à essayer de les comprendre (ha, ha, ha), voire davantage (encore une fois c'est LA source en droit administratif, donc ces arrêts tu les ressortiras forcément en commentaire, il y a de grandes chances pour que tu te tapes tous les arrêts en fiche d'arrêt, au minimum).
Mais après c'est pas non plus nécessaire de les préparer dès maintenant je pense, mais du travail en plus n'a jamais tué (surtout en droit !)
Pour les autres matières (surtout les légères) il y a certains profs (surtout ceux qui font passer les oraux) qui veulent qu'on recrache LEUR cours. Donc le mieux c'est encore de trouver des cours des étudiants de ta fac...
Bon courage !
Sinon je viens de lire les pages précédentes et pour ma part j'ai trouvé la L3 bien plus facile que la L2.
Pour beaucoup de raisons :
-on commence à choisir entre un profil publiciste/privatiste. Du coup, les matières choisies nous intéressent davantage, donc c'est plus facile de s'y mettre.
-on commence à rentrer dans le vif du sujet, même s'il y a encore des oraux-écrits. Faire par exemple des cas pratiques en droit des sociétés comme si on était juriste, c'est (je trouve) bien plus motivant que d'apprendre par coeur des paragraphes sur la liste des coutumiers au Moyen-Age.
Du coup je pense qu'il faut en profiter pour avoir une mention (ce que je n'ai pas fait, comme c'était facile je me suis contentée du minimum syndical et je le regrette).
Par contre je sais pas s'il y a des filles ici qui se disent que le M1 c'est facile, mais j'ai fait un M1 à Montpellier que j'ai trouvé très, très dur. Je ne l'ai pas validé, et je n'ai jamais compris les notes que j'ai eues. Il me semble que les M1 à Montpellier ont des taux d'échec assez importants, ce qui est moche vu que le but en M1 c'est d'avoir une mention pour chopper un M2 potable.
Vous pouvez aussi penser à faire un magistère ou un DU pour avoir plus de chances d'avoir un M2 sélectif (je tiens à le dire parce que je ne savais pas ce qu'était un magistère avant ma M1).
Le fait de réussir le droit c'est une question de travail, mais aussi de stratégie...
, je connais pas du tout)
Donc je me demandais si il était possible de s'inscrire en droit sans être passée par APB (enfin je l'ai utilisé mais pas pour ça quoi 
)? Sachant que c'est dans des facs parisiennes, qui ont sûrement une capacité d'accueil limitée 
