@skippy01 Baaah justement. On se dit pas "c'est vrai les fantômes tout ça" mais "c'est pas impossible". On accepte pas l'hypothèse d'existence mais on remet en question l'hypothèse de non-existence.
Je me demande...
- Initiateur de la discussion Lemon Juice
- Date de début
Oui, mais pour des raisons qui ne suffisent pas. C'est l'argument «pige pas un truc= p'tet ben que ça existe», ce qui n'est ni pdus ni moins qu'un biais de raisonnement.
Je me demande si je suis seul.e a bien aimer sortir le soir (c est a dire que je suis souvent contente après une soirée dehors, ça me change les idées, j aime danser, manger au resto, boire un peu d alcool...) et pourtant le jour avant une sortie nocturne je suis stressée et j ai la flemme d y aller, j aimerais que ce soit annulé et pouvoir rester chez moi...) Je me demande si ça vient de ma jeunesse (pas si lointaine!) Ou je sortais très peu et c était donc pour moi source de stress. Ou si c est la peur de l inconnu (quand je suis avec des gens que je connais très bien je n ai aucune peur)
Dans la même veine, lorsque je ne sors pas pendant longtemps cela me pèse un peu. Et je me demande si c est seulement un ressenti personnel ou si j ai intégré l idée qu il «faut» sortir le soir régulièrement dans le mois/la semaine.
Dans la même veine, lorsque je ne sors pas pendant longtemps cela me pèse un peu. Et je me demande si c est seulement un ressenti personnel ou si j ai intégré l idée qu il «faut» sortir le soir régulièrement dans le mois/la semaine.
@skippy01 : Pour le sujet du paranormal :
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Je me demande pourquoi la justice fonctionne aussi mal. J'ai épluché l'actualité judiciaire sur Mad, et plein de choses me font bondir:
-Les condamnations ridiculement insignifiantes. J'ai parfois l'impression que la justice se torche le cul avec le code pénal tant certaines condamnations semblent beaucoup moins sévères que ce dernier, du genre des viols punis d'une somme ridiculement faible et d'une peine de prison anormalement courte, ou un simple rappel à la loi (l'archétype de la condamnation inutile, je ne comprends même pas qu'elle existe tellement elle ne sert à rien). Dans les cas les plus extrême, le condamné, parvient à obtenir un non-lieu malgré les preuves accablantes, juste parce qu'il a les moyens de se payer une trouzaine de cabinets d'avocats, vore -probablement- leur filer des pots de vin.
-La mauvaise foi des avocats. Entre ceux qui excusent un violeur parce que «c'est un excellent nageur», ceux qui disent que le meurtre est «un accident», ceux qui rabaissent gratuitement le plaignant sous des prétextes fallacieux, ceux qui se vantent de conseiller à leur client de mentir (cf le docu «L'avocate du diable»).
-Des plaidoiries à coucher dehors qui fonctionne. Je vais prendre l'exemple d'un procès qui a eu lieu dans ma région sur un cas de vol d'œuvres d'art. La plaidoirie en question ? Tenez-vous bien: «Il a fait ça pour l'amour de l'art» (sic). Et il a été acquitté. Il s'avère que le gars était haut placé dans la politique locale, on peut légitimement penser que ça ait joué.
-Les scores d'audience télévisuels qui semblent légitimer une immunité judiciaire (coucou Zemmour et Hanouna).
Si il y a des pénalistes dans le coin qui ont des explications quant à l'existence d'aussi graves anomalies.
-Les condamnations ridiculement insignifiantes. J'ai parfois l'impression que la justice se torche le cul avec le code pénal tant certaines condamnations semblent beaucoup moins sévères que ce dernier, du genre des viols punis d'une somme ridiculement faible et d'une peine de prison anormalement courte, ou un simple rappel à la loi (l'archétype de la condamnation inutile, je ne comprends même pas qu'elle existe tellement elle ne sert à rien). Dans les cas les plus extrême, le condamné, parvient à obtenir un non-lieu malgré les preuves accablantes, juste parce qu'il a les moyens de se payer une trouzaine de cabinets d'avocats, vore -probablement- leur filer des pots de vin.
-La mauvaise foi des avocats. Entre ceux qui excusent un violeur parce que «c'est un excellent nageur», ceux qui disent que le meurtre est «un accident», ceux qui rabaissent gratuitement le plaignant sous des prétextes fallacieux, ceux qui se vantent de conseiller à leur client de mentir (cf le docu «L'avocate du diable»).
-Des plaidoiries à coucher dehors qui fonctionne. Je vais prendre l'exemple d'un procès qui a eu lieu dans ma région sur un cas de vol d'œuvres d'art. La plaidoirie en question ? Tenez-vous bien: «Il a fait ça pour l'amour de l'art» (sic). Et il a été acquitté. Il s'avère que le gars était haut placé dans la politique locale, on peut légitimement penser que ça ait joué.
-Les scores d'audience télévisuels qui semblent légitimer une immunité judiciaire (coucou Zemmour et Hanouna).
Si il y a des pénalistes dans le coin qui ont des explications quant à l'existence d'aussi graves anomalies.
@GingerBraid
Je suis exactement comme ça
J'adore sortir, chaque sortie (Et quand je dis chaque sortie, je suis pas difficile, je peux aussi bien sortir en boîte que dans un théâtre, en bar ou chez des potes... Bref globalement, tout me va)
Mais à la veille de chaque sortie, je stresse comme une patate. Je me sens mal, je me dis "Non mais en fait j'aimerais tomber malade genre là maintenant pour avoir THE excuse pour pas y aller". Et au final, je suis super heureuse d'y être allée.
J'aurais tendance à dire que ça doit venir de mes premières soirées, qui étaient pour le coup pas terrible, et où je me retrouvais souvent seule (Je ne bois pas du tout, du coup quand à 00h tout le monde est bien torché bah t'es un peu seule, et en temps que mineur, t'as pas vraiment le permis, donc impossible de rentrer...).
Maintenant, si la soirée ne me va pas, je peux au moins dire de filer. Mais les soirées évoluent beaucoup en grandissant, et je m'y retrouve bien plus qu'avant !
Même si je stresserais toujours je pense
@skippy01 Je ne suis pas du tout pénaliste, mais je peux répondre à la deuxième interrogation.
Un avocat, son job, c'est de défendre. Il ne choisi pas de défendre le bon ou le mauvais (Notamment dans certains cas, lorsque l'accusé par exemple (A vérifier bien sur) n'a pas les moyens de se payer un avocat, on lui en désigne un d'office. Donc bon clairement l'avocat il choisi pas qui il va défendre.)
Ainsi, comme le but c'est de défendre, tout est un peu permis (Entre gros guillemets), et c'est comme ça qu'on entend souvent des défenses de violeur hallucinantes. (Bien sur, je ne nie pas que clairement, certains avocats doivent dire le fameux "Elle avait un string alors bon" sans même le remettre en cause, mais en le pensant véritablement).
Mais, beaucoup d'avocats ne sont pas ultra ravis de défendre un violeur, un meurtrier, ou que sais je... Mais leur job, c'est de défendre, pas de se dire "M'oui je trouve ça pas très moral".
De même, un avocat qui sait son client condamné (Preuves trop importantes par exemple) va faire en sorte d'alléger sa peine au maximum (But secondaire si l'acquittement est impossible). Donc clairement, idem, il va tout faire pour gagner.
Après comme je l'ai dit je ne suis pas pénaliste, je suppose qu'il y a un avantage à défendre coûte que coûte un client (Peut être un avantage monétaire ? La réputation?). Donc aussi triste que ça puisse paraître, c'est leur job.
Je suis exactement comme ça
J'adore sortir, chaque sortie (Et quand je dis chaque sortie, je suis pas difficile, je peux aussi bien sortir en boîte que dans un théâtre, en bar ou chez des potes... Bref globalement, tout me va)
Mais à la veille de chaque sortie, je stresse comme une patate. Je me sens mal, je me dis "Non mais en fait j'aimerais tomber malade genre là maintenant pour avoir THE excuse pour pas y aller". Et au final, je suis super heureuse d'y être allée.
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J'aurais tendance à dire que ça doit venir de mes premières soirées, qui étaient pour le coup pas terrible, et où je me retrouvais souvent seule (Je ne bois pas du tout, du coup quand à 00h tout le monde est bien torché bah t'es un peu seule, et en temps que mineur, t'as pas vraiment le permis, donc impossible de rentrer...).
Maintenant, si la soirée ne me va pas, je peux au moins dire de filer. Mais les soirées évoluent beaucoup en grandissant, et je m'y retrouve bien plus qu'avant !
Même si je stresserais toujours je pense
@skippy01 Je ne suis pas du tout pénaliste, mais je peux répondre à la deuxième interrogation.
Un avocat, son job, c'est de défendre. Il ne choisi pas de défendre le bon ou le mauvais (Notamment dans certains cas, lorsque l'accusé par exemple (A vérifier bien sur) n'a pas les moyens de se payer un avocat, on lui en désigne un d'office. Donc bon clairement l'avocat il choisi pas qui il va défendre.)
Ainsi, comme le but c'est de défendre, tout est un peu permis (Entre gros guillemets), et c'est comme ça qu'on entend souvent des défenses de violeur hallucinantes. (Bien sur, je ne nie pas que clairement, certains avocats doivent dire le fameux "Elle avait un string alors bon" sans même le remettre en cause, mais en le pensant véritablement).
Mais, beaucoup d'avocats ne sont pas ultra ravis de défendre un violeur, un meurtrier, ou que sais je... Mais leur job, c'est de défendre, pas de se dire "M'oui je trouve ça pas très moral".
De même, un avocat qui sait son client condamné (Preuves trop importantes par exemple) va faire en sorte d'alléger sa peine au maximum (But secondaire si l'acquittement est impossible). Donc clairement, idem, il va tout faire pour gagner.
Après comme je l'ai dit je ne suis pas pénaliste, je suppose qu'il y a un avantage à défendre coûte que coûte un client (Peut être un avantage monétaire ? La réputation?). Donc aussi triste que ça puisse paraître, c'est leur job.
@Mamy_Plug Ah, d'accord. Là, on entre clairement dans les limites du droit de chacun d'avoir une défense. En plus d'être violent pour la victime, c'est quasiment une incitation au délit d'avoir une chance de s'en sortir à bon compte après en avoir commis un. Honnêtement, je ne trouve pas ça normal qu'un avocat puisse/doive utiliser une ligne de défense sans rapport avec la choucroute pour faire son boulot et puissent se transforner en marchands d'impunité.
@skippy01 tu parles des «limites du droit à avoir une défense». Si je te comprends bien, ça implique que la culpabilité soit établie avant même la tenue du procès, et qu'en conséquence, on n'ait pas d'avocat, ou alors qu'il ne puisse pas utiliser la stratégie qu'il veut? Ça va complètement à l'encontre de la présomption d'innocence, en fait.
Dernière édition :
En fait, c'est quand le droit à la défense se mue en une protection des criminels que je deviens contre, je maintiens qu'il n'est pas normal qu'un avocat utilise la mauvaise foi ou soit complètement hors-sujet -et surtout, que ces arguments fonctionnent- parce que son client se révèle indéfendable mais qu'il doit le faire quand même.
C'est à cause de ça qu'on retrouve des criminels tout à fait libres de récidiver par la grâce d'une justice complaisante. Où est l'état de droit dans tout ça ?
C'est à cause de ça qu'on retrouve des criminels tout à fait libres de récidiver par la grâce d'une justice complaisante. Où est l'état de droit dans tout ça ?
Dernière édition :
Je me demande si il est possible de contrôler son langage corporel et para-verbal au point de pouvoir tromper un bon mentaliste.
@-Jeanne- j'ai les cheveux très très très longs (sous les fesses et je fais 1m70 
)
et assez épais et comme toi, ils mettent des plombes à sécher. J'ai trouvé un truc qui marche plutôt bien, c'est de les enrouler dans un tissu shirt plutôt qu'une serviette éponge classique. Je laisse comme ça 15-20 minutes, ça absorbe beaucoup plus l'humidité et après ils sèchent carrément plus vite !
)
et assez épais et comme toi, ils mettent des plombes à sécher. J'ai trouvé un truc qui marche plutôt bien, c'est de les enrouler dans un tissu shirt plutôt qu'une serviette éponge classique. Je laisse comme ça 15-20 minutes, ça absorbe beaucoup plus l'humidité et après ils sèchent carrément plus vite !
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