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AnonymousUser
Guest
pancake68 a dit :ils y'a aussi des IUT des journalisme à Lannion et Tours, qui sont aussi sélectifs mais qui peuvent être un bon prémice avant une école de journalisme pur...aussi,tu peux toujours te tourner vers une ecole de communication, plus accessible et moins sélective telle que l'EFAP (ecole française des attachés de presse)
Non, faire un IUT ou un Master, il faut choisir. C'est complètement inutile de suivre 2 ans de formation à Tours ou Lannion et puis de tenter les écoles reconnues qui délivrent un Master ensuite. Parce que ces IUT forment très bien, et quand tu sors, tu n'a pas besoin de formation supplémentaire. Du reste, ce sont des écoles de journalisme "pur", puisqu'elles font parties des 12 formations reconnues. D'ailleurs la plupart des élèves qui les tentent ont une licence derrière eux.
Et puis de toute façon, aucune école ne t'acceptera s'ils voient que sur ton CV tu viens de faire 2 ans de formation. Tout simplement parce que tu prendra la place de quelqu'un qui, lui, tirerait une grand bénéfice de la formation.
Si tu réussi l'écrit, attend-toi à l'oral (où ils auront ton CV sous les yeux) à te faire descendre, et tu as donc intérêt à avoir de sacrés arguments pour défendre le fait que tu veux "refaire" une formaiton de journalisme.
Note que Lannion est davantage orienté PQR.
Enfin, un conseil: évitez à tout prix les formations non reconnues. vous y laisserez bcp d'argent pour au final une formation reconnue par très très peu de rédactions.
Dernière chose: la comm et le journalisme, ce n'est pas la même chose. A la limite, il arrive, étant donné la précarité du métier, que certains en ait marre de travailler comme des fous pour des salaires de misère et cèdent aux sirènes de la comm et deviennent chargé de comm par exemple. Mais là ils ne sont plus journaliste. Ils sont communicants.
La confusion des genres est juste contraire à la déontologie du métier.
Pour finir, toutes les voies mêment aux écoles. Je suis actuellement élève dans l'une d'entre elle (le cuej), et les profils sont aussi divers que les licences d'Histoire (majoritaire), sciences po, lettres langues, info-com, philo, droit... le tout, c'est de réussir de concours. Et là, c'est la motivation (et la personnalité aussi) qui compte.
bon courage à ceux qui s'apprêtent à tenter les concours. Les formations valent le coup de mettre 6 mois de sa vie entre parenthèses pour plancher les épreuves.
Enfin, ne vous découragez pas si vous les loupez la première fois, l'immense majorité des admis les ont tenté 2 fois (c'est mon cas d'ailleurs).