Le topic des situations de handicap - Veille permanente validisme

12 Septembre 2022
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[Covid et autodéfense sanitaire]

Bonjour,

Il y a quelques temps j'ai entendu parler du concept d' "autodéfense sanitaire" contre le Covid.
J'ai beaucoup de retard car ce terme tourne depuis un moment déjà, mais j'ai l'impression qu'il a du mal à sortir des sphères dans lesquelles il a été crée et est pensé, c'est à dire les sphères anarchistes et de gauche qui s'intéressent au validisme (et encore pas toutes).
Je ne connais pas son historique, a priori c'est aussi un terme utilisé pour la gestion de la santé mentale dans les manifestations par exemple où il y a un endroit dédié et des personnes présentes en cas de besoin ; rétrospectivement on peut aussi citer les luttes contre le VIH-SIDA par les personnes concernées avec la création de Act Up...
Mais c'est l'autodéfense sanitaire contre le Covid que je voulais aborder aujourd'hui.


- Premièrement-
En préambule (cela a en tout cas était le mien) je pense qu'il est intéressant d'écouter l'épisode du podcast "Sortir du capitalisme" intitulé "Par-delà conspirationnisme et hygiénisme : les racines socio-environnementales du Covid-19 et sa gestion contradictoire" du 1er octobre 2022 (http://sortirducapitalisme.fr/emiss...ales-du-covid-19-et-sa-gestion-contradictoire).
Il est un peu technique par moments, surtout vers le milieu de l'épisode où es intervenants discutent de théories de Marx et Foucault donc pas forcément accessible sans un certain bagage culturel (perso je n'ai pas tout compris), mais je trouve le reste des développements / explications plus compréhensibles par tout un chacun.

Je partage un petit résumé des notes que j'avais prises en l'écoutant :

Cet épisode invite à réfléchir à la gestion de la pandémie de Covid 19 par l’État, en analysant plusieurs moments de tension.

Il revient sur deux positions qui se sont affrontées dans le discours général :
  • la position virocentriste qui est centrée sur la peur et le fait de limiter les contagions, tout autre risque en dehors de la contagion passe au second plan. Les personnes qui ne tiennent pas cette ligne sont considérées comme irresponsables. L’État est garant de l'intérêt général. Si l'intérêt général prime, alors les mesures pandémiques prises par l’État paraissent comme une forme de sacrifice éthique nécessaire au bénéfice de tou.te.s, au nom d'un bien commun abstrait.
  • la position viropportuniste /libertaire qui considère que le Covid est une opportunité/un prétexte pour le pouvoir politique et permet l'extension de ce dernier à travers de nouvelles technologies visant au contrôle de la population.

Le postulat des intervenants est que l'Etat a eu tout à gagner à laisser s'affronter ces deux camps, tandis que l'Etat, le capitalisme et les causes politiques de la pandémie (élevage industriel, déforestation et destruction des habitats naturels…) n'ont pas été remises en cause. Pour les intervenants, l'Etat français a considéré que le Covid était une sorte d'accident, d'extériorité naturelle, que ce n'était pas lié au monde de production capitaliste (même chose dans les discours négationnistes / complotistes). L'un de leur grand regret est que la gauche « révolutionnaire » n'ait pas réussi à imposer une lecture écologique des causes du Covid, et qu'il ait été réduit à une crise sanitaire avec des moyens de police.

Sur la gestion en elle-même, c'est l'Etat qui a indiqué quand la pandémie commençait et quand elle finissait. Les intervenants critiquent le fait que l'on ait parlé de « vagues », comme s'il y avait des moments qui se succédaient, alors qu'il y a une seule pandémie.
L'Etat a voulu s'imposer comme le représentant de l'intérêt collectif contre les viropportunistes qui représenteraient des intérêts individuels (le pouvoir a rapidement cherché à « emmerder les non vaccinés jusqu'au bout »). Pourtant, les intervenants analysent que la proclamation des mesures a été en partie liée à la peur croissante des capitalistes face aux pathogènes (grèves, invasions de prisons en Italie dans la première phase de la pandémie...).
L'Etat a décidé du destin de tout le monde, de la vie collective, de ce qui avait le droit d'être ouvert ou pas. Pour beaucoup de personnes, l'Etat reste la forme indépassable de gestion de tout.
A partir de la fin du confinement, l'idée de destin commun, du monde d'après, de la crise écologique, s'effondre : tout le monde retourne au travail. Le caractère exploitable de la force de travail a primé sur l'intérêt général.

Puis on a connu une rareté du soin et des vaccins, en basculant petit à petit vers de moins en moins de vaccinations. Par ailleurs le technosolutionnisme vaccinal n'était pas focalisé sur une échelle planétaire visant à éradiquer le problème sanitaire, car le Covid était considéré comme un danger dont on pouvait minimiser les effets, ce qui a permis de construire des discours de responsabilisation individuelle et culpabilisante.

Les intervenants indiquent que depuis les années 1970 on sait que par l'essor des voyages, des transports et du tourisme, un certain nombre de maladies ne seront pas éradicables malgré la biosécurité. La menace est partout et nulle part.

On a une couche de facteurs structurels qui relèvent d'un problème écologique (débordement zoonotique par la construction des écosystèmes, barrières immunitaires baissées dans le monde capitaliste dû aux espèces en monoculture, qui va de pair avec une perte de la biodiversité dans les écosystème), le capitalisme va continuer malgré tout à produire de la déforestation, des plantations d'huile de palme en Asie du sud est etc. ce mouvement ne sera jamais interrompu. Donc on va connaître d'autres crises.

Les intervenants s'inquiètent, après que l'Etat ait considéré la pandémie comme « terminée », du retour des divisions par rapport au climat, qui engendrent beaucoup de déni et donc de difficultés d'avoir des leviers pour batailler par la suite contre les autres catastrophes, la forme structurelle et environnementale de la pandémie ayant été niée.

En conclusion : les intervenants proposent une lecture environnementale de la pandémie de Covid 19. L'hygiénisme individualise la responsabilité en en faisant un problème moral. La contamination n'est pas un problème d'hygiène et de responsabilité individuelle mais un problème de milieu, ce n'est pas simplement une question sanitaire, la contamination entre individu.e.s là aujourd'hui, mais c'est une question environnementale, d'architecture et plus généralement de société et de mode de production.

- Deuxièmement-
Cela étant dit, aujourd'hui il a été indiqué que nous allions "vivre avec le virus". En plus des personnes déjà « à risque », les cas de « Covid long » se multiplient, alors même que l'Etat, qui a décidé de la fin des mesures qu'il avait ordonnées, reste quasiment silencieux sur le sujet, indiquant implicitement que l'heure n'est plus à l'inquiétude.

J'ai réabordé le sujet du Covid auprès de mon entourage non malade. Iels étaient surpris.e.s que je remette cela sur le tapis car elleux n'y pensaient plus, voulant croire que c'était « fini ». Ce n'est pas fini (désolée) (mais on peut lutter contre le validisme qui implique aussi de lutter contre la propagation du Covid et dans des mouvements écolos à plus long terme et savoir que d'autres personnes le font, ce qui je trouve donne de l'espoir). En réalité, j'ai eu un temps le même réflexe que mon entourage et que d'ailleurs la majorité du monde militant dans lequel j'évolue : j'ai arrêté de porter le masque à un moment, j'ai arrêté d'écouter les militant.e.s qui parlaient encore de Covid long et des risques.

Dans ce contexte l'autodéfense sanitaire est de considérer la santé comme un bien communautaire. Au lieu de rester à un stade de simple choix et de responsabilisation d'un.e individu.e, l'objectif va être de mener une réflexion commune sur les problèmes de santé et les façons de lutter pour réduire les risques qui y sont associés.

Dans les milieux militants dont ceux non dédiés à la lutte contre le validisme cela va notamment concrètement passer par rendre les événements accessibles, c'est à dire garantir le port du masque, organiser l’événement à l'extérieur si cela est possible etc. C'est par exemple la position qu'a adoptée une branche culturelle de la CNT dans un communiqué du 13 décembre 2022 (https://cnt-so.org/staa/2022/12/13/autodefense-sanitaire-pourquoi-et-comment/) :

« L’État a choisi de laisser circuler le SARSCoV2, sacrifiant la santé de la population, mais nous pouvons et nous devons être plus responsables que lui en pratiquant l’auto-défense sanitaire, c’est-à-dire en appliquant une réduction des risques dans les événements que nous organisons, afin de limiter le plus possible la propagation du virus.

La pandémie de covid19 n’est pas terminée, il est de notre responsabilité collective de nous protéger les unes les autres et d’assurer que nos réunions sont accessibles à toutes et tous, en particulier aux personnes fragiles, que la fin de l’obligation du port du masque exclut de fait des espaces publics. D’ailleurs, si certaines parties de la population sont plus à risques que d’autres de développer une forme grave de la maladie, le SARSCoV2 est un pathogène dont les conséquences à long terme sont encore méconnues mais qui peuvent toucher très largement la population, qu’elle soit ou non « fragile ». En effet, une infection au SARSCoV2 peut occasionner un « covid long », terme désignant l’ensemble de séquelles à long terme après la contamination et qui incluent des troubles cardiaques, vasculaires et neurologiques. On estime qu’environ deux millions de personnes en souffrent rien qu’en France. […] »


Malheureusement on est encore nombreux.se, et nombreuses sont les organisations notamment militantes, à considérer que le risque Covid c'est « fini » ou alors « minime » -les personnes « à risque » et porteuses de maladies chroniques ont toujours été là mais n'ont jamais fait l'objet d'une attention particulière donc jamais de discussions sur l'accessibilité pour elles de toute façon.

Je pense que si l'on veut être cohérent.e en matière de lutte contre le validisme on ne peut pas s'octroyer le privilège (que j'ai) de balayer ce sujet d'un revers de la main et je vois notamment deux leviers :
  • se battre encore et encore pour mettre au cœur des discussions notamment dans les assos/milieux militants le sujet de l'accessibilité (qui est bien plus large que ce que l'on mentionne généralement, à savoir les possibilités matérielles d'accès à un endroit), que je vois extrêmement peu abordée (plusieurs témoignages de personnes avec le Covid long sur Twitter indiquent leur sentiment d'avoir été ostracisées des milieux dans lesquelles elles luttaient du fait du non suivi et du non-intérêt porté à l'accessibilité, encore considéré implicitement comme une variable d'ajustement -et donc un réflexe validiste) ;
  • relayer les recommandations en terme d'autodéfense sanitaire notamment concernant le Covid.

Je vous laisse quelques liens que j'ai trouvé utile à ce sujet :


J'en profite aussi pour relayer la pétition déposée sur le site de l'Assemblée Nationale « Demande de protections sanitaires en lieux de soins : Non à la normalisation du Covid nosocomial » : https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-1495?locale=fr
 
Dernière édition :
12 Mars 2012
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@HeavyMetalAngel
Coucou, je ne sais pas si je vais être d'une grande aide mais je peux peut-être t'indiquer quelques pistes :fleur: (je suis handicapée avec une reconnaissance, je connais quelques rouages du système). Je parle dans le cas ou tu es en France.

Déjà, je me doute à quel point ça peut être compliqué dans le cas d'un trouble psy mais si tu as moyen de rencontrer un psychiatre qui pourrait poser un diagnostique, ça pourrait t'aider dans tes démarches. Je sais que c'est beaucoup plus facile à écrire qu'à faire mais malheureusement pour avoir reconnaissance étatique de ton trouble, le fait d'avoir un diag est assez primordial. N'hésites pas à en parler à ton médecin généraliste si tu le sens, il pourra peut-être t'orienter. Pareil, si tu as la possibilité rencontré un psychologue qui pourrait t'orienter dans tes démarches. Malheureusement, les consultations gratuites de psychologue sont prises d'assaut et la durée d'attente en CMP se comptent en années.
Ensuite, tu parles d'une maladie chronique, pareil, si tu as la possibilité d'avoir un diagnostique, cela peut grandement t'aider dans tes démarches. Le plus compliqué c'est surement de trouver un professionnel de santé à l'écoute et qui saura t'accompagner. ce sera peut-être plus "simple" pour ta maladie chronique que pour tes troubles psy qui sont malheureusement assez peu considérés en France.

Aussi, si tu es indemnisée par Pôle-Emploi, demander un RDV pour parler de ta situation peut te permettre d'accéder à un bilan de compétences et faciliter des démarches pour pouvoir monter un dossier pour une reconnaissance en tant que travailleur handicapé. Cependant, ça dépend vraaaaiiiment de la personne sur qui tu tombes.
Bref, je ne suis pas certaine de l'utilité de mon charabia mais si ça peut te donner un début de piste ...
 
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Réactions : eLLuLa et Tamiat
M

Membre supprimé 153117

Guest
Coucou :jv:

Je viens me déverser un coup par ici, car j’en ai gros sur la patate.

J’ai l’impression que mon employeur est psychophobe, mais je ne m’y connais pas assez sur la question.

Je vais vous expliquer un peu, j’espère que je ne suis pas au mauvais endroit.

Au boulot, on est plusieurs personnes qui ont l’équivalant de l’AAH, et un travail adapté, et il y a d’autres personnes qui ont un job étudiant.

Je vais appeler les personnes ayant un job adapté: Groupe A et les étudiants Groupe B

Groupe A est bien sûr payé au lance-pierres sinon cela ne serait pas drôle, groupe B est bien mieux payé.

Groupe A travaille en horraires, soit 7h -11h, 11h30 - 15h30 , 15h45 - 19h45. Perso je commence à 7h et ne vis pas tout près donc je dois me lever à 4h30 du matin.

Groupe B viennent quand ils veulent, bossent combien de temps ils veulent, repartent quand ils veulent. Et ne disent pas bonjour en arrivant, cela va de soi.

Groupe A doit nettoyer les scanners pour Groupe B, il ne faudrait pas que Groupe B se salisse les mains quand même. Et Groupe A range tous les dossiers, ce que Groupe B ne fait jamais…

Groupe A doit vérifier les dossiers, et demander aux chefs de contrôler s’il y a un dossier qui manque ou qui est en trop, car bien sûr Groupe A ne sait pas compter. Ah et des fois les « chefs » sont seulement des étudiants qui n’y connaissent rien, mais bon on s’en fout.

Les personnes de Groupe A ne doivent pas déranger les personnes de Groupe B, car le travail des personnes de groupe B est précieux. Les personnes de Groupe B peuvent venir demander aux personnes de Groupe A de leur laisser l’un ou l’autre équipement, car de toute façon leur travail ne vaut rien.

Ah et la grande cheffe a déjà dit aux personnes de groupe A qu’il fallait qu’elles essaient d’aller chercher de l’eau seulement lors des pauses…

Voilà, c’est tout ce qui me vient en tête…

J’en peux plus de ce travail.
 

eLLuLa

Ne pas citer svp-LuLa sur Rockie
4 Avril 2013
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@Olesya ça y ressemble vachement quand même, à de la discrimination. Alors que c'est les personnes du groupe A qui devraient pouvoir travailler dans des conditions adaptées à leurs situations, c'est l'inverse d'après ce que tu décris. Est-ce qu'il y aurait des représentants du personnel, ou la médecine du travail (tu dis équivalent AAH donc j'imagine que tu n'es pas en France?) qui pourraient être alertés?

Sinon j'espère que tu auras la possibilité de trouver un travail où tu seras dans de meilleures conditions.
 

adita

Dans le game en claquette
27 Décembre 2011
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@Olesya On dirait bien que ton employeur discrimine le groupe A oui...

Je ne sais pas si ensemble vous comptez faire une action ou pas (peut être d'autres personnes du groupe je sais aussi à quel point c'est compliqué et épuisant de se battre contre les discriminations°. Si jamais, c'est important de réunir le maximum de preuves "matérielles" type des écrits/témoignages etc.

En France il y a le défenseur des droits que l'on peut contacter pour avoir des conseils/reporter des discriminations, je ne sais pas ce qui existe où tu vis..?

Prends bien soin de toi, quite à envisager un arrêt ou une démission (si c'est possible financièrement pour toi), pour souffler et trouver un taf plus safe.
 

eLLuLa

Ne pas citer svp-LuLa sur Rockie
4 Avril 2013
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@Heliamphora pulchella N'écoute pas les médecins qui te disent que tu n'auras pas la RQTH. Au vu de ton état de santé très dégradé, la MDPH ne peut que reconnaître que tu vis une situation de handicap. J'ai une RQTH pour ma fibro, sachant que mon doc avait aussi ajouté d'autres choses (endométriose, intestin irritables, migraines ophtalmiques, dépression réactionnelle...). Ce n'est pas forcément le DIAGNOSTIC PRECIS D'UNE MALADIE qui compte, mais ta qualité de vie au quotidien, et l'impact de tes problèmes de santé sur tes capacités à faire les courses, te faire à manger, travailler, etc.

Le certificat médical doit être rempli par le médecin. Mais n'hésite pas à y aller avec 2 copies, une que tu auras pré-remplie qui te permettra de le/la guider pendant qu'il le fera lui-même.
J'aurais tendance à dire de blinder ton dossier MDPH avec tout ce qui te permet de prouver ton état de santé et le retentissement: certificats médicaux (moi par exemple j'en avais un du médecin du centre anti douleur où je suis suivie), ordonnances, examens médicaux (radios par ex) qui montrent les lésions, les pathologies, etc.
Ce qui compte aussi énormément, c'est la partie où tu peux rédiger toi même ton "projet de vie". En gros c'est l'occasion pour toi d'expliquer ce que tu vis au quotidien, ce que tu aimerais pouvoir faire de ta vie, pourquoi ta santé est un vraie frein et donc en quoi une RQTH et même pourquoi pas l'AAH si tu en fais la demande, pourrait être un véritable soutien (reconnaissance symbolique de ton handicap, reconnaissance sociale, droits et aide pour accéder au travail, aide financière pour tes frais de soins, etc). Explicite bien en quoi tes pathologies ont un impact sur ta santé physique ET psychologique.

N'hésite pas, pour monter ton dossier te faire aider par des associations de patients (par exemple pour la fibro va sur le site/forum de FibromyalgieSOS, mais il y a d'autres assos dédiées), et pourquoi pas une assistante sociale de la sécurité sociale.

Qui ne tente rien n'a rien. Blinde un max ton dossier. Si tu as un refus, tu peux faire un recours. Tu peux être reçue par la commission de la CDAPH aussi pour expliquer ta situation.
Tu peux obtenir une réponse en 3 mois, mais ne nous leurrons pas, en moyenne c'est plutôt 6 mois, parfois plus selon les régions. D'où l'intérêt de t'y atteler rapidement.

J'espère que ces infos t'aideront.
 
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Réactions : Doe_, Bulldo et Alzire

adita

Dans le game en claquette
27 Décembre 2011
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@Heliamphora pulchella Oh mais je suis tellement contente de lire ça!
Il y a moyen qu’elle devienne ta médecin réfèrente?

Perso depuis que j’ai une super équipe qui me suit ça m’a changé la vie! Avant j’allais à chaque rdv la boule au ventre…

Je n’avais pas capté que tu parlais d’osteonecrose dans ton premier post, mon père en a une aussi et il est reconnu à +80%. J’imagine que toutes ne touchent pas les mêmes os (lui c’est principalement les hanches) ni ne sont étendus pareil et que ca rentre en compte pour le dossier mais voilà
 
10 Mars 2014
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Bonjour,

Je me permets d'écrire ici car je suis actuellement en stage dans un réseau de bibliothèques avec comme mission d'améliorer l'accessibilité des bibliothèques. J'ai des ressources sur les normes à respecter et je travaille à leur mise en place, mais je cherche en parallèle des témoignages et des ressentis.

Est-ce que vous ou vos proches, allez en bibliothèque ? Si oui, qu'est-ce qui vous encourage à y aller, qu'est-ce qui vous plaît ? Si non, qu'est-ce qui vous en empêche, qu'est-ce qui vous déplaît ?
Toutes vos idées, impressions et suggestions me seront très précieuses.
Vous pouvez partager vos retours ici ou par message privé, comme bon vous semble.

PS : bien évidemment, si mon message dérange ou que ce n'est pas le bon endroit, dites-le moi et je le supprime/déplace. Dans tous les cas, bonne journée à tout le monde :fleur:
 

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