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AnonymousUser
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très mal au dos (au niveau des reins je crois) depuis hier, ça me réveille même en nuit, j'espère que le repos de ce week-end sera salvateur!
Mur des Lamentations
- Initiateur de la discussion Yana
- Date de début
J'ai appris hier qu'elle comptait se suicider, et j'ai pas su la retenir putain. Mes messages ont pas suffi. Aujourd'hui elle est à l'hôpital et j'aurais pu empêcher ça. Ah ben j'ai voulu faire ma grande psy hein ? Bah dans mon cul la psy. Bordel, je ne sers à rien.
Tracy Jacks;1855597 a dit :
Il ne faut vraiment pas te sentir coupable par rapport à ça. Tu n'es pas magicienne, tu ne dois pas penser que tu ne sers à rien. Quand quelqu'un prend une telle décision, ça ne veut pas dire que les amis et la famille ne comptent plus, ça ne veut pas dire non plus que les gens ont échoué à apporter la joie de vivre à la personne et qu'ils doivent se sentir responsables de ne pas avoir pu empêcher ça, je pense que c'est vraiment plus profond et que la souffrance est parfois telle que toute la chaleur humaine et les meilleures intentions ne suffisent pas à empêcher la prise d'une telle décision quand celle-ci s'est vraiment fixée dans la tête.
Maintenant il s'agit d'être là pour elle et de la soutenir dans ce moment qui est difficile, mais vraiment surtout, ne te sens pas coupable.
Je me sens mal et bizarre, j'ai mal partout, j'ai l'impression d'avoir la peau hypersensible et ça fait 3-4 jours que j'ai mal aux seins et c'est pas du tout à cause de mes règles alors j'ai bêtement peur.
Mon copain est reparti chez lui cet aprem parce qu'il a plein de trucs à faire mais je ne le comprends pas, on aurait pu rester 24h de plus ensemble.
Mon copain est reparti chez lui cet aprem parce qu'il a plein de trucs à faire mais je ne le comprends pas, on aurait pu rester 24h de plus ensemble.
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AnonymousUser
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BryterLayter;1855596 a dit :
Pareil, sauf pour le gin..
C'était mon choix de ne voir personne cette semaine mais je commence à en avoir marre. Je ne mets même pas mon temps libre à profit pour étudier, me cultiver. Aucunes nouvelles de personnes, je commence à désespérée.
Ahhhh il m'énerve, il me gâche la vie, toujours en train de juger, toujours en train de critiquer alors qu'il ne fait rien de sa vie ...
Je me demande encore pourquoi ma soeur reste avec ce mec
Je me demande encore pourquoi ma soeur reste avec ce mec
Ma meilleure amie n'est pas connectée, je suppose qu'elle est chez lui, pour le troisième soir de suite. C'est elle qui en profite, qui reçoit des messages de lui, qui a droit à ses sourires, et moi, je suis là pour lui quand elle n'est pas disponible, quand il l'attend, je suis là et je sers de bouche-trou. J'ai seulement droit à de l'affection quand il croit m'avoir fait du mal, pour "s'excuser", je ne veux pas ça, je veux l'avoir tout simplement, pas être un peu là, puis me mettre dans l'ombre quand il n'a plus besoin de moi, je ne veux pas être une option. Je veux être là, pour lui, avec lui, tout le temps. Et avoir droit à son sourire, et à ses yeux qui pétillent.
J'ai juste envie de tout plaquer, l'école, le boulot, et rester enfouie sous ma couette sans que personne ne me fasse chier.
L'armée est en train de briser mon couple, je ne supporte pas l'éloignement et l'absence de communication. J'en ai marre j'hésite vraiment à faire la morte.
L'armée est en train de briser mon couple, je ne supporte pas l'éloignement et l'absence de communication. J'en ai marre j'hésite vraiment à faire la morte.
J'ai besoin de m'épancher un peu..
D'habitude je ne vais pas très souvent aux soirées de mes "amis". Je ne m'y sens pas à ma place. Mais pour une fois ce soir j'avais envie, je les aime tout de même bien. Je me suis dit que ça me ferait du bien de sortir, que c'était juste une petite soirée tranquille chez l'un d'eux, que je m'amuserais pour une fois.
Je n'ai pas pu jouer le jeu. Les deux filles que je ne connaissait pas beaucoup ont parlé de leurs cuites pendant des heures, leur vomi, leurs potes bourrés. C'est ça leur vie, se coucher à 6h, en plus pour jouer à des jeux d'alcool débiles. Je me sentais tellement loin de tout ça. Je ne trouve pas leurs discussions amusantes. Elles rient de creux et de vide. A qui je pourrai un jour parler du dernier film que j'ai vu, du livre que je lis, de la musique que j'écoute?
Putain en fait j'ai pas d'amis, personne à qui parler sérieusement, avec des mots qui veulent dire quelque chose. Merde on est des adultes, on peut aussi parler et réfléchir des fois! Je n'arrive pas à trouver des gens qui me correspondent, qui ont les même centres d?intérêt que moi. Parfois j'ai l'impression de vivre en décalage avec tout le monde, comme si je regardais la scène de haut sans y prendre part.
Je suis rentrée chez moi, j'ai enlevé mon déguisement de fille qui va bien, ma robe, mes talons, mes collants. J'ai mis mon pantalon préféré, le plus confortable, j'ai mis à fond un motet de Vivaldi, un avec une marche sublime. J'ai mis le son très fort, j'ai écouté de toute mon âme, j'avais l'impression de vivre vraiment. J'avais envie de leur gueuler de l'autre bout de la ville: putain mais c'est ça la vie! Vous ne voyez même pas tout ce que vous ratez!
D'habitude je ne vais pas très souvent aux soirées de mes "amis". Je ne m'y sens pas à ma place. Mais pour une fois ce soir j'avais envie, je les aime tout de même bien. Je me suis dit que ça me ferait du bien de sortir, que c'était juste une petite soirée tranquille chez l'un d'eux, que je m'amuserais pour une fois.
Je n'ai pas pu jouer le jeu. Les deux filles que je ne connaissait pas beaucoup ont parlé de leurs cuites pendant des heures, leur vomi, leurs potes bourrés. C'est ça leur vie, se coucher à 6h, en plus pour jouer à des jeux d'alcool débiles. Je me sentais tellement loin de tout ça. Je ne trouve pas leurs discussions amusantes. Elles rient de creux et de vide. A qui je pourrai un jour parler du dernier film que j'ai vu, du livre que je lis, de la musique que j'écoute?
Putain en fait j'ai pas d'amis, personne à qui parler sérieusement, avec des mots qui veulent dire quelque chose. Merde on est des adultes, on peut aussi parler et réfléchir des fois! Je n'arrive pas à trouver des gens qui me correspondent, qui ont les même centres d?intérêt que moi. Parfois j'ai l'impression de vivre en décalage avec tout le monde, comme si je regardais la scène de haut sans y prendre part.
Je suis rentrée chez moi, j'ai enlevé mon déguisement de fille qui va bien, ma robe, mes talons, mes collants. J'ai mis mon pantalon préféré, le plus confortable, j'ai mis à fond un motet de Vivaldi, un avec une marche sublime. J'ai mis le son très fort, j'ai écouté de toute mon âme, j'avais l'impression de vivre vraiment. J'avais envie de leur gueuler de l'autre bout de la ville: putain mais c'est ça la vie! Vous ne voyez même pas tout ce que vous ratez!
Solal;1856244 a dit :
C'est fou,j'aurais pu écrire ex-ac-te-ment le même message.
Rien que de te lire,je me sens un peu moins seule.
Autant j'aime ce genre de soirée,mais que avec des gens que j'apprécie un minimum,et avec qui je ne fais pas QUE boire et me foutre de la gueule des autres.Et c'est marrant parce que quand on me voit on pense que je suis plutôt la meuf "soirée",alors que non;définitivement non,je suis plutôt introvertie à tendance fêtarde.
Et je déteste devoir faire semblant de m'amuser,et du coup culpabiliser en me disant que je ne suis pas à ma place dans une fête.Désormais je prends mes dispositions,je trie sur le volets mes soirées,j'y vais si j'ai vraiment envie,et je me casse si je me fais chier ou que je ne suis pas à l'aise.
Tu as raison,la vie n'est pas faite que de beuveries et de babillages.Et je crois aussi que tu ne peux apprécier ces légèretés qu'avec des personnes avec qui tu peux aussi avoir des discussions autres que portées sur le nombre de whisky/coca que X ou Y a descendu.
Continue à apprécier Vivaldi,à kiffer les choses que tu trouves belles,à ne pas faire semblant,et sache écouter ton coeur quant à ceux que tu fréquentes.
Du coup j'en ai oublié ma propre lamentation,donc désolée pour le double message.
En ce moment j'ai vraiment besoin d'exprimer ce que je ressens sur un support quelconque car je me sens très seule.
À part mon copain,qui va bientôt partir,et quelques très bons amis que je ne vois pas souvent,je n'ai personne.
J'ai néanmoins conscience que je suis plutôt douée quand j'ai envie de sociabiliser et que j'ai de la chance d'avoir ce petit monde avec moi,mais le fait est que j'ai quand même l'impression de m'enfermer de plus en plus.
Récemment,j'ai fait un bon tri parmi mon entourage,et je dois dire que j'en suis assez fière.Cependant entre ceux que je ne peux pas voir faute de temps,et ceux qui se sont cassés pour faire leurs études ailleurs,je dois dire que mes sympathiques soirées ne sont plus numériquement nombreuses.
C'est très lié à mon mental aussi (tiens,comme c'est original),je ne peux absolument pas faire fonctionner mon réseau (désolée pour le langage 2.0) quand j'ai le moral dans les chaussettes.Ça plombe tout le monde et je n'en ai absolument pas envie.Je préfère me reprendre en main,
même si ça prend du temps,plutôt que d'emmerder le monde avec mes ups and downs.
D'autre fois je me dis aussi que je devrais quand même essayer d'aller vers les autres quand je broie du noir.Ça m'aiderais sans doute,mais je n'en ai pas la force.
J'ai beaucoup souffert en amour et en amitié.J'ai une telle peur de la perte et de l'abandon.
À la fac,je n'accroche pas spécialement avec les gens,et je dois dire que je ne fais pas trop d'efforts pour me faire plus de potes.Je ne me retrouve pas dans les goûts de ces gens,ils ne sont sûrement pas inintéréssants,mais je les trouve soit trop rats de bibli,soit trop "weshmeufcommentlétaittropfraichelapuresoireedhier".Bref,
il ne me serait pas impossible pas de m'entendre avec eux,
mais je ne sais pas si je pourrais vraiment sympathiser.
Parfois ça me fais chier,d'autres fois non.J'ai déjà quelques amis en cours et c'est peut-être suffisant.J'en ai vraiment rien à battre de ce que les autres pensent de moi mais ce que j'aimerais changer,c'est mon état d'esprit.Être un peu plus ouverte.
Car même si je suis assez indépendante,et que je ne peux apprécier autrui qu'en ayant mes moments à moi,je sais que la solitude me pèse à long terme.
Je n'ai tout simplement pas les épaules pour la supporter.
Je suis assez fragile et j'ai besoin d'échange.Je ne pourrais jamais rester dans mon coin tout le temps.
J'ai besoin,comme avec mon copain,de parler de mes problèmes et d'écouter ceux des autres,histoire de réaliser que je suis comme les autres,une girl qui wanna have fun.
Ha ha.
Et puis je pense que je me suis déjà épanchée là-dessus,
le fait que mon copain me quitte bientôt ne fait qu'accentuer la sensation de vague à l'âme que j'éprouve parfois.Cette situation touche aussi un point sensible et problématique:
mes études.
Je ne m'épanouis pas dans ce que je fais,j'ai l'impression de n'avoir rien appris depuis le début de ma licence,ou presque.J'ai l'ambition réelle d'entreprendre un nouveau cursus plus stimulant et pour lequel je ferai de réels efforts.
Ce sera au moins un bon point si ma vie sociale tourne au désastre,mais bon là,j'exagère.J'en suis pas encore.
En ce moment j'ai vraiment besoin d'exprimer ce que je ressens sur un support quelconque car je me sens très seule.
À part mon copain,qui va bientôt partir,et quelques très bons amis que je ne vois pas souvent,je n'ai personne.
J'ai néanmoins conscience que je suis plutôt douée quand j'ai envie de sociabiliser et que j'ai de la chance d'avoir ce petit monde avec moi,mais le fait est que j'ai quand même l'impression de m'enfermer de plus en plus.
Récemment,j'ai fait un bon tri parmi mon entourage,et je dois dire que j'en suis assez fière.Cependant entre ceux que je ne peux pas voir faute de temps,et ceux qui se sont cassés pour faire leurs études ailleurs,je dois dire que mes sympathiques soirées ne sont plus numériquement nombreuses.
C'est très lié à mon mental aussi (tiens,comme c'est original),je ne peux absolument pas faire fonctionner mon réseau (désolée pour le langage 2.0) quand j'ai le moral dans les chaussettes.Ça plombe tout le monde et je n'en ai absolument pas envie.Je préfère me reprendre en main,
même si ça prend du temps,plutôt que d'emmerder le monde avec mes ups and downs.
D'autre fois je me dis aussi que je devrais quand même essayer d'aller vers les autres quand je broie du noir.Ça m'aiderais sans doute,mais je n'en ai pas la force.
J'ai beaucoup souffert en amour et en amitié.J'ai une telle peur de la perte et de l'abandon.
À la fac,je n'accroche pas spécialement avec les gens,et je dois dire que je ne fais pas trop d'efforts pour me faire plus de potes.Je ne me retrouve pas dans les goûts de ces gens,ils ne sont sûrement pas inintéréssants,mais je les trouve soit trop rats de bibli,soit trop "weshmeufcommentlétaittropfraichelapuresoireedhier".Bref,
il ne me serait pas impossible pas de m'entendre avec eux,
mais je ne sais pas si je pourrais vraiment sympathiser.
Parfois ça me fais chier,d'autres fois non.J'ai déjà quelques amis en cours et c'est peut-être suffisant.J'en ai vraiment rien à battre de ce que les autres pensent de moi mais ce que j'aimerais changer,c'est mon état d'esprit.Être un peu plus ouverte.
Car même si je suis assez indépendante,et que je ne peux apprécier autrui qu'en ayant mes moments à moi,je sais que la solitude me pèse à long terme.
Je n'ai tout simplement pas les épaules pour la supporter.
Je suis assez fragile et j'ai besoin d'échange.Je ne pourrais jamais rester dans mon coin tout le temps.
J'ai besoin,comme avec mon copain,de parler de mes problèmes et d'écouter ceux des autres,histoire de réaliser que je suis comme les autres,une girl qui wanna have fun.
Ha ha.
Et puis je pense que je me suis déjà épanchée là-dessus,
le fait que mon copain me quitte bientôt ne fait qu'accentuer la sensation de vague à l'âme que j'éprouve parfois.Cette situation touche aussi un point sensible et problématique:
mes études.
Je ne m'épanouis pas dans ce que je fais,j'ai l'impression de n'avoir rien appris depuis le début de ma licence,ou presque.J'ai l'ambition réelle d'entreprendre un nouveau cursus plus stimulant et pour lequel je ferai de réels efforts.
Ce sera au moins un bon point si ma vie sociale tourne au désastre,mais bon là,j'exagère.J'en suis pas encore.
