Ma situation est inextricable.
J'aurais vraiment dû me faire aider.
J'apprends plein de trucs sur mes problèmes, je suis mon propre psy au fond, mais ces trucs, je les apprends trop tard. Si j'ai perdu ça, c'est parce que je m'auto-sabotais. Si je m'auto-sabotais, c'est parce que je voulais attirer l'attention sur moi parce que je ne me sentais pas aimée, je me sentais méprisée, vide, inutile, au point de vouloir en finir.
C'est ce que j'ai fait inconsciemment, je me suis sabotée, sans ocmprendre pourquoi, en ne voyant que l'injustice d'avoir perdu ma seule qualité et le seul truc uqi me maintenanit la tête hors de l'eau.
Maintenant je prends très cher... Ca n'aurait jamais dû arriver, jamais... Jamais. Je me suis acharnée, acharnée, acharnée, mes efforts ont été sapés, sapés, sapés.
Je me souviens de cette période où j'avais la foi et le temps, et pourtant, j'ai rien fait. Tout d'un coup, comme ça, je faisais rien. Rien. Rien de rien. Avec l'impression que ce n'était pas moi. Oui j'avais des difficultés, que je ne m'expliquais pas, des difficultés nouvelles, surgies de nulle part, mais jamais au point de ne rien faire.
Enfin voila, tout s'explique. C'est bien, on a les causes. Où sont les solutions? Y'en a pas. Ca va péter.
C'est terrible de vivre dans l'attente d'une catae irréversible, c'est terrible. Et cette voix dans la tête qui me dit: "Je suis sûre que tu peux le faire". Mais je n'y crois pas. Quand je pense à ça, je me suprends à rêver de noiuveua, et je déteste ça, c'est les rpeves qui m'ont bouffée, plus ma vie me décevait, plus les rêves prenait le pas sur celle-ci, voila où ça m'a menée. J'ai peur des rêves, les rêves m'ont volé le peur de vie que j'avais.
Les rêves, les ambitions, la motivation, c'est tellement vide, vide, vide, quand inconsciemment on se snet incapables. Je me susi toujours étonnée des gens uqi félicitaient mon ambition, ma motivation, c'est tellement simple de vouloir, mais vouloir n'égale pas pouvoirn c'est croire qui permet de pouvoir. Et moi inconsciemment j'y ai cru de moins en moins.
J'ai peur.
Et le plus terrible c'est de voir les autres progresser. Moi aussi je méritais d'être soulagée plic-ploc, laborieusement, afin de pouvoir me reposer, moi aussi. Et moi je ne me serais pas reposée sur ça, jamais, comme l'année passée. C'est injuste, c'est tellement injuste. Je ne me serais pas reposée sur ça, je le sais, je ne suis pas comme ça. J'avais juste besoin d'y réfléchir tranquillement putain.
C'est affreux, je me sens vriament comme si j'étais condamnée.
C'est peut-être exagéré, peut-être débile, je ne vais pas mourirphysiquement, je n'ai pas de maladie incurable, mais moralement, mentalement, du point de vue de ma vie, tout va s'effondrer, j'avais déjà pas grand-chose.. Putain putain putain
En plus je fais que me plaindre ici, j'ai aucune dignité.