Pour celles qui ne savent pas quoi faire de leur vie...
- Initiateur de la discussion Chouette-Culotte
- Date de début
Ce topic met vraiment du baume au coeur! Je me sens moins seule à me sentir bloquée dans l'adolescence, à dépendre des mes parents, quand mes potes s'épanouissent, travaillent, et que moi je stagne... Je souhaite bon courage à toutes les madz du topic 
J'ai eu mon BAC L mention très bien il y a cinq ans, sans m'en sentir vraiment fière, comme dans le lycée où j'étais c'était un peu considéré comme la voie des nuls. Le système d'orientation nous poussait uniquement vers les écoles prestigieuses (tu es en L? Ben fait l'école des Chartes ou une prépa!), et comme je ne m'y retrouvais pas, je suis allée en L1 lettres modernes. J'ai tenu jusqu'à la Toussaint et j'ai déprimé le reste de l'année comme je me sentais vraiment comme la dernière des imbéciles (avec mes parents qui n'aidaient pas).
A la rentrée suivante je me suis inscrite en licence de sociologie-anthropologie, et je me suis traînée pendant ces trois ans pour finir ce que j'avais commencé cette fois, tout en gardant toujours ce malaise de la fac. Je crois que je suis un peu phobique sociale, et j'ai aucune résistance au stress... Bref j'ai eu ma licence, j'ai bien aimé ce que j'ai étudié, mais j'en suis sortie en me sentant plus soulagée que contente.
Sans avoir forcément la vocation, je me suis inscrite en M1 enseignement pour être prof des écoles, mais je me suis vite découragée. J'ai eu l'impression que je signais pour manger, dormir, respirer école. Puis je ne suis pas convaincue de l'intérêt de ce qu'on doit apprendre aux enfants, surtout je pensais pouvoir passer outre mon dégoût des maths, mais ça me donne autant de boutons que quand j'étais moi-même en primaire.
Dans mon dernier stage en petite section, ma maître de stage m'a dit que j'avais un travail personnel à faire pour apprendre à m'affirmer, et ça m'a convaincue d'arrêter, comme j'en avais déjà marre. J'espérais que mon manque de confiance en moi, que mon manque d'assurance se verraient moins, mais ça me bloque dans tout ce que je fais, par exemple j'ai peur de postuler à un petit boulot en attendant car je me sens tellement incapable et pas qualifiée...
Mes parents me voient comme une incapable, et me pourrissent de reproches: "essaye de réussir au moins quelque chose dans ta vie".
Maintenant je prépare le concours pour être éducatrice de jeunes enfants, j'espère que c'est enfin ce qui me convient. Mes parents, qui voient ça comme un métier de "nounou qualifiée", me cassent un peu mon truc. J'aimerais réussir à me détacher de leur avis, c'est pourquoi j'espère trouver un employeur pour faire la formation en apprentissage, histoire d'avoir plus d'indépendance financière.
Bref j'ai 22 ans, une licence, aucune expérience pro (si on ne compte pas un peu de bénévolat), une indépendance bien relative et un trou béant à la place de confiance en soi. Mais comme disent les américains, "fake it till you make it" ;-).
J'ai eu mon BAC L mention très bien il y a cinq ans, sans m'en sentir vraiment fière, comme dans le lycée où j'étais c'était un peu considéré comme la voie des nuls. Le système d'orientation nous poussait uniquement vers les écoles prestigieuses (tu es en L? Ben fait l'école des Chartes ou une prépa!), et comme je ne m'y retrouvais pas, je suis allée en L1 lettres modernes. J'ai tenu jusqu'à la Toussaint et j'ai déprimé le reste de l'année comme je me sentais vraiment comme la dernière des imbéciles (avec mes parents qui n'aidaient pas).
A la rentrée suivante je me suis inscrite en licence de sociologie-anthropologie, et je me suis traînée pendant ces trois ans pour finir ce que j'avais commencé cette fois, tout en gardant toujours ce malaise de la fac. Je crois que je suis un peu phobique sociale, et j'ai aucune résistance au stress... Bref j'ai eu ma licence, j'ai bien aimé ce que j'ai étudié, mais j'en suis sortie en me sentant plus soulagée que contente.
Sans avoir forcément la vocation, je me suis inscrite en M1 enseignement pour être prof des écoles, mais je me suis vite découragée. J'ai eu l'impression que je signais pour manger, dormir, respirer école. Puis je ne suis pas convaincue de l'intérêt de ce qu'on doit apprendre aux enfants, surtout je pensais pouvoir passer outre mon dégoût des maths, mais ça me donne autant de boutons que quand j'étais moi-même en primaire.
Dans mon dernier stage en petite section, ma maître de stage m'a dit que j'avais un travail personnel à faire pour apprendre à m'affirmer, et ça m'a convaincue d'arrêter, comme j'en avais déjà marre. J'espérais que mon manque de confiance en moi, que mon manque d'assurance se verraient moins, mais ça me bloque dans tout ce que je fais, par exemple j'ai peur de postuler à un petit boulot en attendant car je me sens tellement incapable et pas qualifiée...
Mes parents me voient comme une incapable, et me pourrissent de reproches: "essaye de réussir au moins quelque chose dans ta vie".
Maintenant je prépare le concours pour être éducatrice de jeunes enfants, j'espère que c'est enfin ce qui me convient. Mes parents, qui voient ça comme un métier de "nounou qualifiée", me cassent un peu mon truc. J'aimerais réussir à me détacher de leur avis, c'est pourquoi j'espère trouver un employeur pour faire la formation en apprentissage, histoire d'avoir plus d'indépendance financière.
Bref j'ai 22 ans, une licence, aucune expérience pro (si on ne compte pas un peu de bénévolat), une indépendance bien relative et un trou béant à la place de confiance en soi. Mais comme disent les américains, "fake it till you make it" ;-).
L
LittleMn
Guest
Salut tout le monde je m'incruste dans le topic en tant que paumée ;-)
J'ai eu mon bac L en 2009, puis je me suis inscrite en licence médiation culturelle.(je craque au bout de deux jours, phobie sociale...). Ensuite j'enchaîne les petits boulots de vendeuse, puis au room-service d'un hôtel. Je tente de reprendre mes études 3 ans plus tard en licence d'histoire, mais je ne suis pas plus motivée que ça, j'arrête au bout d'un semestre. Je me remet dans le secteur de la vente, puis je pars à Londres sur un coup de tête. Je deviens "dame de cantine" pendant quelques temps, et là je prépare un diplôme d'animatrice.
(gros pavé désolée) Tout ça pour dire que je me laisse porter et que je n'ai aucune idée en ce qui concerne mon avenir...
J'ai eu mon bac L en 2009, puis je me suis inscrite en licence médiation culturelle.(je craque au bout de deux jours, phobie sociale...). Ensuite j'enchaîne les petits boulots de vendeuse, puis au room-service d'un hôtel. Je tente de reprendre mes études 3 ans plus tard en licence d'histoire, mais je ne suis pas plus motivée que ça, j'arrête au bout d'un semestre. Je me remet dans le secteur de la vente, puis je pars à Londres sur un coup de tête. Je deviens "dame de cantine" pendant quelques temps, et là je prépare un diplôme d'animatrice.
(gros pavé désolée) Tout ça pour dire que je me laisse porter et que je n'ai aucune idée en ce qui concerne mon avenir...
Bon, je me décide enfin à poster sur ce topic. J'ai fini ma licence pro en graphisme et multimédia en juin dernier, à 21 ans, après un stage foiré, et depuis, je me traîne et je sais vraiment pas quoi faire de ma vie.
J'ai donc fait des études en graphismes : MANAA, BTS en communication visuelle, et ma licence pro. J'ai plutôt bien réussi mes études et ce qu'on y faisait me plaisait assez, mais je sentais quand même que j'étais moins "passionnée" que certains autres, et qu'il y a des parties du métier qui ne me plaisent pour le coup pas du tout. Autant j'aime bien faire des illustrations dans mon coin, imaginer des identités visuelles ou des mises en page de livres quand on me laisse tranquille et travailler en autonomie - même si en général j'ai un mal fou à me bouger, ce qui doit quand même vouloir dire que c'est pas tant mon truc que ça - mais tout l'aspect commercial et communication me dégoute. Et cette partie là est justement une grosse grosse partie dans les postes qu'on peut trouver en débutant, et même si on travail en freelance (ce qui me conviendrait déjà mieux mais qui est très dur à mettre en place sans expérience, et je ne m'en sens pas capable pour l'instant). Pendant mes stages en agence de com, ça me rendait carrément malade, à déprimer constamment même pendant le week-end en me disant que je devais y retourner, vraiment horrible. En plus, je trouve aussi que le monde de la com, et du graphisme aussi, est très portée sur les apparences, et sur un jugement des personnes uniquement basé sur leur travail : j'ai vraiment mal supporté les profs qui se permettaient de me juger et qui pensaient me connaître juste à travers un sujet que je leur ai rendu. J'ai l'impression que c'est un domaine que je prend trop à coeur, et j'arrive pas à mettre une distance entre ce que je fais et le jugement qu'on en fait. Et le fait qu'il n'y ait pas de travail ou presque n'arrange pas les choses, j'ai pas envie de me battre pour bosser dans un endroit qui me déprime
En attendant je fait un peu des petits boulots, surtout dans la vente dans le prêt-à-porter, mais même ça en ce moment j'en trouve plus.
Du coup je suis un peu perdue, et je réfléchis à ce que je veux faire de ma vie depuis Novembre à peu près, après une grosse déprime après les vacances d'été. Je songe sérieusement à reprendre mes études, pour bosser dans le développement web (j'y ai un peu touché pendant mon année de licence, ça ma vraiment plu, et ça à l'avantage d'être un domaine beaucoup plus "objectif" et moins basé sur le jugement je pense), mais en même temps ça me terrifie d'avoir perdu 5 ans dans mes études, et j'ai peur que tout le monde me prenne pour une sous-merde. Reprendre des études ne me dérange pas en soi, j'aime bien aller encours moi, mais c'est vraiment le fait d'aller contre ce parcours tout tracé qu'on est censé avoir après le bac qui me perturbe. En plus, si ça se trouve ça ne me plaira pas non plus, en vrai. Par contre c'est un domaine qui a beaucoup plus de débouchés, et on trouve normalement assez facilement du travail.
Mais en même temps je regarde un peu des postes dans le graphisme (les rares qu'il y a !), et j'hésite à postuler, pour ne pas avoir à recommencer à zéro, mais il n'y a rien qui me plaît, et je me vois pas déménager dans un village à l'autre bout de la France pour un poste qui me plaît pas - dans l'hypothèse où je sois prise.
En attendant je m'éparpille complètement, et je ne sais plus du tout quoi faire : je cherche des offres dans le graphisme, dans la vente, dans des supermarchés, je regarde les services civiques, comment partir au pair, les études que je pourrais faire ici, ou à l'étranger, ... J'ai même regardé les concours de la fonction publique l'autre jour !
Enfin l'horreur quoi, j'ai l'impression de perdre un temps fou et d'être complètement sous pression en permanence. Et en attendant je me traîne toute la journée chez mes parents, bravo moi
J'ai donc fait des études en graphismes : MANAA, BTS en communication visuelle, et ma licence pro. J'ai plutôt bien réussi mes études et ce qu'on y faisait me plaisait assez, mais je sentais quand même que j'étais moins "passionnée" que certains autres, et qu'il y a des parties du métier qui ne me plaisent pour le coup pas du tout. Autant j'aime bien faire des illustrations dans mon coin, imaginer des identités visuelles ou des mises en page de livres quand on me laisse tranquille et travailler en autonomie - même si en général j'ai un mal fou à me bouger, ce qui doit quand même vouloir dire que c'est pas tant mon truc que ça - mais tout l'aspect commercial et communication me dégoute. Et cette partie là est justement une grosse grosse partie dans les postes qu'on peut trouver en débutant, et même si on travail en freelance (ce qui me conviendrait déjà mieux mais qui est très dur à mettre en place sans expérience, et je ne m'en sens pas capable pour l'instant). Pendant mes stages en agence de com, ça me rendait carrément malade, à déprimer constamment même pendant le week-end en me disant que je devais y retourner, vraiment horrible. En plus, je trouve aussi que le monde de la com, et du graphisme aussi, est très portée sur les apparences, et sur un jugement des personnes uniquement basé sur leur travail : j'ai vraiment mal supporté les profs qui se permettaient de me juger et qui pensaient me connaître juste à travers un sujet que je leur ai rendu. J'ai l'impression que c'est un domaine que je prend trop à coeur, et j'arrive pas à mettre une distance entre ce que je fais et le jugement qu'on en fait. Et le fait qu'il n'y ait pas de travail ou presque n'arrange pas les choses, j'ai pas envie de me battre pour bosser dans un endroit qui me déprime
En attendant je fait un peu des petits boulots, surtout dans la vente dans le prêt-à-porter, mais même ça en ce moment j'en trouve plus.
Du coup je suis un peu perdue, et je réfléchis à ce que je veux faire de ma vie depuis Novembre à peu près, après une grosse déprime après les vacances d'été. Je songe sérieusement à reprendre mes études, pour bosser dans le développement web (j'y ai un peu touché pendant mon année de licence, ça ma vraiment plu, et ça à l'avantage d'être un domaine beaucoup plus "objectif" et moins basé sur le jugement je pense), mais en même temps ça me terrifie d'avoir perdu 5 ans dans mes études, et j'ai peur que tout le monde me prenne pour une sous-merde. Reprendre des études ne me dérange pas en soi, j'aime bien aller encours moi, mais c'est vraiment le fait d'aller contre ce parcours tout tracé qu'on est censé avoir après le bac qui me perturbe. En plus, si ça se trouve ça ne me plaira pas non plus, en vrai. Par contre c'est un domaine qui a beaucoup plus de débouchés, et on trouve normalement assez facilement du travail.
Mais en même temps je regarde un peu des postes dans le graphisme (les rares qu'il y a !), et j'hésite à postuler, pour ne pas avoir à recommencer à zéro, mais il n'y a rien qui me plaît, et je me vois pas déménager dans un village à l'autre bout de la France pour un poste qui me plaît pas - dans l'hypothèse où je sois prise
.En attendant je m'éparpille complètement, et je ne sais plus du tout quoi faire : je cherche des offres dans le graphisme, dans la vente, dans des supermarchés, je regarde les services civiques, comment partir au pair, les études que je pourrais faire ici, ou à l'étranger, ... J'ai même regardé les concours de la fonction publique l'autre jour !
Enfin l'horreur quoi, j'ai l'impression de perdre un temps fou et d'être complètement sous pression en permanence. Et en attendant je me traîne toute la journée chez mes parents, bravo moi
Dernière édition :
Merci, justement j'ai un exam jeudi je suis très stressée, je veux faire mieux que quand même!! Aller j'y crois^^@Lalyla Je sais pas si on peut être pire que moi en maths, c'était vraiment une catastrophe, même mon frère ce grand pédagogue n'a rien pu pour moiJ'aime beaucoup ton blog, ça m'a rappelé moi
Ce topic met vraiment du baume au coeur! Je me sens moins seule à me sentir bloquée dans l'adolescence, à dépendre des mes parents, quand mes potes s'épanouissent, travaillent, et que moi je stagne... Je souhaite bon courage à toutes les madz du topic
J'ai eu mon BAC L mention très bien il y a cinq ans, sans m'en sentir vraiment fière, comme dans le lycée où j'étais c'était un peu considéré comme la voie des nuls. Le système d'orientation nous poussait uniquement vers les écoles prestigieuses (tu es en L? Ben fait l'école des Chartes ou une prépa!), et comme je ne m'y retrouvais pas, je suis allée en L1 lettres modernes. J'ai tenu jusqu'à la Toussaint et j'ai déprimé le reste de l'année comme je me sentais vraiment comme la dernière des imbéciles (avec mes parents qui n'aidaient pas).
A la rentrée suivante je me suis inscrite en licence de sociologie-anthropologie, et je me suis traînée pendant ces trois ans pour finir ce que j'avais commencé cette fois, tout en gardant toujours ce malaise de la fac. Je crois que je suis un peu phobique sociale, et j'ai aucune résistance au stress... Bref j'ai eu ma licence, j'ai bien aimé ce que j'ai étudié, mais j'en suis sortie en me sentant plus soulagée que contente.
Sans avoir forcément la vocation, je me suis inscrite en M1 enseignement pour être prof des écoles, mais je me suis vite découragée. J'ai eu l'impression que je signais pour manger, dormir, respirer école. Puis je ne suis pas convaincue de l'intérêt de ce qu'on doit apprendre aux enfants, surtout je pensais pouvoir passer outre mon dégoût des maths, mais ça me donne autant de boutons que quand j'étais moi-même en primaire.
Dans mon dernier stage en petite section, ma maître de stage m'a dit que j'avais un travail personnel à faire pour apprendre à m'affirmer, et ça m'a convaincue d'arrêter, comme j'en avais déjà marre. J'espérais que mon manque de confiance en moi, que mon manque d'assurance se verraient moins, mais ça me bloque dans tout ce que je fais, par exemple j'ai peur de postuler à un petit boulot en attendant car je me sens tellement incapable et pas qualifiée...
Mes parents me voient comme une incapable, et me pourrissent de reproches: "essaye de réussir au moins quelque chose dans ta vie".
Maintenant je prépare le concours pour être éducatrice de jeunes enfants, j'espère que c'est enfin ce qui me convient. Mes parents, qui voient ça comme un métier de "nounou qualifiée", me cassent un peu mon truc. J'aimerais réussir à me détacher de leur avis, c'est pourquoi j'espère trouver un employeur pour faire la formation en apprentissage, histoire d'avoir plus d'indépendance financière.
Bref j'ai 22 ans, une licence, aucune expérience pro (si on ne compte pas un peu de bénévolat), une indépendance bien relative et un trou béant à la place de confiance en soi. Mais comme disent les américains, "fake it till you make it" ;-).
Je me retrouve entièrement dans ce témoignage. Après un bac littéraire mention TB et un manque évident de confiance en moi, j'ai arrêté mon année de prépa et commencer une année à la fac. Je ne m'y retrouve pas et je suis incapable de retrouver le goût que j'ai toujours eu pour les études. Je suis perdue, je m'en veux à longueur de journée et je vis ça comme un véritable échec...
Salut salut,
Je me joint à vous en tant que "petit poucet".
J'ai eu un Bac L option Cinéma il y à 3 ans bientôt, et je suis partis dans une Fac, Licence Cinéma toujours.
Que ce soit clair, je ne suis pas "passionné" par ce que je fait, c'est intéressant oui, j'aime beaucoup oui MAIS la (presque) seule chose qui me plaît en cinéma c'est l'écriture de scénario. Donc pour le moment je suis en train de finir ma 3ème année de Licence mais il faut dire que la fac ma clairement dégoutté de cette voie là et après 3 ans de licence, on vient de m'annoncer que "personne ne gagne sa vie avec des scénario, c'est juste un hobbie". Voilàààààààà, ça c'est fait.
Donc maintenant je ne sais VRAIMENT plus quoi faire et pourtant il faut que je me dépêche de savoir puisque le temps passe vite.
Je n'ai plus envie de continuer les cours, mais avec une L3 cinéma il n'y a pas non plus beaucoup de portes ouvertes en quoi que ce soit.
Après j'aime beaucoup de choses, par exemple j'adorerais travailler dans le journalisme (mais il y à aussi peut de débouché qu'en cinéma donc REfaire des études pour rien, non merci) ou avec les animaux (mais il faut souvent avoir des connaissance en science et là c'est foutu...)
Donc pour le moment je pense essayer de préparer le concours des maîtres d'écoles pour l'année prochaine, mais je ne veut pas rester sans rien faire entre temps, je ne veut plus perdre de temps et la possibilité d'échouer le concours et de se retrouver au même point qu'aujourd'hui me fait très peur.
J'ai très envie de partir travailler (ou étudier, si je trouve quelque chose qui me plaît et qui à de l'avenir) à l'étranger mais je ne sais pas quel organisme appelé pour être mieux renseigné.
Je suis une crotte.
Je me joint à vous en tant que "petit poucet".
J'ai eu un Bac L option Cinéma il y à 3 ans bientôt, et je suis partis dans une Fac, Licence Cinéma toujours.
Que ce soit clair, je ne suis pas "passionné" par ce que je fait, c'est intéressant oui, j'aime beaucoup oui MAIS la (presque) seule chose qui me plaît en cinéma c'est l'écriture de scénario. Donc pour le moment je suis en train de finir ma 3ème année de Licence mais il faut dire que la fac ma clairement dégoutté de cette voie là et après 3 ans de licence, on vient de m'annoncer que "personne ne gagne sa vie avec des scénario, c'est juste un hobbie". Voilàààààààà, ça c'est fait.
Donc maintenant je ne sais VRAIMENT plus quoi faire et pourtant il faut que je me dépêche de savoir puisque le temps passe vite.
Je n'ai plus envie de continuer les cours, mais avec une L3 cinéma il n'y a pas non plus beaucoup de portes ouvertes en quoi que ce soit.
Après j'aime beaucoup de choses, par exemple j'adorerais travailler dans le journalisme (mais il y à aussi peut de débouché qu'en cinéma donc REfaire des études pour rien, non merci) ou avec les animaux (mais il faut souvent avoir des connaissance en science et là c'est foutu...)
Donc pour le moment je pense essayer de préparer le concours des maîtres d'écoles pour l'année prochaine, mais je ne veut pas rester sans rien faire entre temps, je ne veut plus perdre de temps et la possibilité d'échouer le concours et de se retrouver au même point qu'aujourd'hui me fait très peur.
J'ai très envie de partir travailler (ou étudier, si je trouve quelque chose qui me plaît et qui à de l'avenir) à l'étranger mais je ne sais pas quel organisme appelé pour être mieux renseigné.
Je suis une crotte.
Dernière édition :
Demain, j'ai un cours de maths à 7h ça va être dure!!!!!!! Je ferai un dessin dessus d'ailleurs^^Courage !
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