C'est "La marche au ralenti" d'Orlan, que j'ai découvert grâce à Rainer.
ça soulève des interrogations sur les habitudes du quotidien, sur les comportements physiques de tous ces gens qui pressent le pas, la gueule serrée, par centaine (le fait de marcher au ralenti.) On se demande si ce sont les comportements de la majorité qui sont insolites quant à celui de l'artiste, ou l'inverse. Et j'aime l'assurance et le détachement qu'elle a en marchant. Et l'idée de perserverance que ça m'inspire aussi.