En fait quand je me rappelle mes années de fac, je me souviens que j'aimais bien l'espagnol parce que ce qu'on entend, on l'écrit, et ce qu'on lit on le prononce (@Imago, il doit y avoir un terme pour ça;.. help !). Et finalement si le Français se rapproche de ça, ce n'est pas plus mal. D'autant plus que l'Espagnol est une langue riche, autant que le Français qui ne perdra donc rien de ses subtiles nuances.
Je me souviens d'une anecdote que me racontait ma maman : une dictée à l'école, le maître dit "les poules s'étaient sauvées dès qu'on leur avait ouvert la porte". Un élève avait écrit : "les poules s'étaient sauvées, des cons leur avaient ouvert la porte". Il est donc important de garder l'accent ("des" ne se prononce pas comme "dès") et de faire attention à la ponctuation. Ok, mais on aurait beaucoup moins ri !!
Plus ça va plus je me rapproche du "pour cette réforme". (Sauf pour une faute qui me hérisse le poil et qu'on voit BEAUCOUP trop souvent à mon sens : tache / tâche.)
Je me souviens d'une anecdote que me racontait ma maman : une dictée à l'école, le maître dit "les poules s'étaient sauvées dès qu'on leur avait ouvert la porte". Un élève avait écrit : "les poules s'étaient sauvées, des cons leur avaient ouvert la porte". Il est donc important de garder l'accent ("des" ne se prononce pas comme "dès") et de faire attention à la ponctuation. Ok, mais on aurait beaucoup moins ri !!
Plus ça va plus je me rapproche du "pour cette réforme". (Sauf pour une faute qui me hérisse le poil et qu'on voit BEAUCOUP trop souvent à mon sens : tache / tâche.)
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