Le feuilleton d'Artémis est petit bijou de poésie. Je le recommande à beaucoup de monde, enfants comme adultes ! Il a un truc en plus en terme d'écriture par rapport aux autres de la série je pense. Et les illustrations sont superbes...
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- Initiateur de la discussion Yana
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J'ai (enfin) fini le premier tome des Archives de Roshar, La voie des rois de Brandon Sanderson.
Beau pavé de 800 pages. J'ai mis un moment avant de réussir à entrer dedans, mais une fois partie...
Je savais que Sanderson, c'était une valeur sure !
Ce premier tome annonce un univers bien complexe. Il ne se passe pas tant de choses dans ce pavé, pourtant ce n'est jamais ennuyeux. On apprend à découvrir le monde, les différents persos, les enjeux. J'ai eu l'impression de replonger dans le début des Aventuriers de la mer.
J'aime beaucoup les dialogues et les relations entre les différents groupes de personnages, chacun entre amitié et conflit. C'est très réaliste et le livre arrive aussi à aborder des thématiques intéressantes (le racisme, les croyances, la justice etc).
Résumé :
Avant d'enchainer avec le tome 2 qui est une pavasse encore plus grosse, je fais une pause essai avec le livre Regretting motherhood de Orna Donath. Je suis childfree et cette lecture n'est pas du tout pour conforter mon choix
Aussi j'ai lu le très drôle webtoon Love advices from the great duke of hell. Sur un mec lambda qui invoque un demon pour qu'il lui donne des conseils pour draguer une nana. C'est très con et c'est génial
c'est gratuit en ligne sur webtoons.com
Exemple de planche :
Beau pavé de 800 pages. J'ai mis un moment avant de réussir à entrer dedans, mais une fois partie...
Je savais que Sanderson, c'était une valeur sure !Ce premier tome annonce un univers bien complexe. Il ne se passe pas tant de choses dans ce pavé, pourtant ce n'est jamais ennuyeux. On apprend à découvrir le monde, les différents persos, les enjeux. J'ai eu l'impression de replonger dans le début des Aventuriers de la mer.
J'aime beaucoup les dialogues et les relations entre les différents groupes de personnages, chacun entre amitié et conflit. C'est très réaliste et le livre arrive aussi à aborder des thématiques intéressantes (le racisme, les croyances, la justice etc).
Résumé :
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Avant d'enchainer avec le tome 2 qui est une pavasse encore plus grosse, je fais une pause essai avec le livre Regretting motherhood de Orna Donath. Je suis childfree et cette lecture n'est pas du tout pour conforter mon choix
Aussi j'ai lu le très drôle webtoon Love advices from the great duke of hell. Sur un mec lambda qui invoque un demon pour qu'il lui donne des conseils pour draguer une nana. C'est très con et c'est génial
c'est gratuit en ligne sur webtoons.comExemple de planche :
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Dernière édition :
nezentrompette
Le train de vie d'une noix de Saint-Jacques
J'ai terminé Le mystère d'Edwin Wood de Charles Dickens. Un beau doublé d'oeuvres inachevées, après Bouvard et Pécuchet de Flaubert, Dickens ayant également eu la mauvaise idée de mourir avant de terminer son feuilleton (j'aime me faire du mal). Pile poil au moment où il s'essaye à un genre nouveau. Jeu de chaises musicales amoureux, soupçon de meurtre, disparition inexpliquée: en termes de mystère, on peut dire que Dickens a fait fort puisqu'il n'a pas laissé le moindre petit indice quant à la résolution de l'histoire (conclusion: Flaubert était plus prévoyant que Dickens). Heureusement, une bonne âme (le traducteur) a essayé d'avancer une piste en fin d'ouvrage, mais bon, c'est pas du cru (même si je lui tire mon chapeau pour avoir si bien su s'inspirer de l'écriture de Dickens). Mis à part ce détail que l'on ne peut pas vraiment reprocher à l'auteur, et malgré le changement de genre, le "style Dickens" est bien palpable: atmosphère feutrée de l'Angleterre du 19e, personnages bien campés (et cette fois il nous fait grâce de la cruche godiche et superficielle, ça fait plaisir) et critique de la société à travers les haut-placés qui en prennent pour leur grade. Par contre, pas de fresque historique avec personnages à foisons éclatés sur le territoire: ici, le nombre restreint de personnages se concentre dans une petite ville qui ne paie pas de mine, avant que l'action ne se transporte tout entière à Londres. C'est sympa de ne pas retrouver exactement un auteur là où on l'attendait.
Et puis j'ai aussi lu Le colonel Chabert de Balzac, qui est très court (le livre, pas l'auteur). Le colonel Chabert, aka le gars le plus poissard du monde. Laissé pour mort dans un charnier lors d'une guerre napoléonienne, sa véritable bataille se déroulera contre la société. Revenu d'entre les morts après une très longue convalescence, il découvre que sa femme a refait sa vie après avoir hérité de tous ses biens. Mais comment prouver un ressuscitement dans le froid et implacable système judiciaire? Comment retrouver une vie usurpée qui ne sied pas à un entourage avide de grimper l'échelle sociale? Un océan de cynisme et de drame sur lequel surnagent deux radeaux: Chabert et son coeur pur et Derville et sa bonté. La Comédie Humaine dans toute sa splendeur.(d'ailleurs j'ai adoré que ce livre réponde aux autres oeuvres de Balzac, par des références aux personnages de ses autres romans).
Maintenant, pour me changer des classiques, je me plonge dans l'intégrale du Seigneur des Anneaux de Tolkien. J'espère que je ne serai pas trop parasitée dans ma lecture par des images du film (mais je ferai un effort pour Aragorn
). C'est bizarre que Saquet ait été transformé en Bessac, mais à part ça tout roule pour l'instant.
Et puis j'ai aussi lu Le colonel Chabert de Balzac, qui est très court (le livre, pas l'auteur). Le colonel Chabert, aka le gars le plus poissard du monde. Laissé pour mort dans un charnier lors d'une guerre napoléonienne, sa véritable bataille se déroulera contre la société. Revenu d'entre les morts après une très longue convalescence, il découvre que sa femme a refait sa vie après avoir hérité de tous ses biens. Mais comment prouver un ressuscitement dans le froid et implacable système judiciaire? Comment retrouver une vie usurpée qui ne sied pas à un entourage avide de grimper l'échelle sociale? Un océan de cynisme et de drame sur lequel surnagent deux radeaux: Chabert et son coeur pur et Derville et sa bonté. La Comédie Humaine dans toute sa splendeur.(d'ailleurs j'ai adoré que ce livre réponde aux autres oeuvres de Balzac, par des références aux personnages de ses autres romans).
Maintenant, pour me changer des classiques, je me plonge dans l'intégrale du Seigneur des Anneaux de Tolkien. J'espère que je ne serai pas trop parasitée dans ma lecture par des images du film (mais je ferai un effort pour Aragorn
). C'est bizarre que Saquet ait été transformé en Bessac, mais à part ça tout roule pour l'instant.
@nezentrompette je m'insurge, nouvelle traduction ou pas, le sda est un classique qui aura marqué son temps.
de mon côté,pas mal de lectures ennuyeuses qu'il serait fastidieux de lister ici. j'ai commencé le premier tome de la trilogie hussite de sapowski.c'est plus un roman historique que de la fantasy, ariivée à une centaine de pages. on verra comment ca se développe.
de mon côté,pas mal de lectures ennuyeuses qu'il serait fastidieux de lister ici. j'ai commencé le premier tome de la trilogie hussite de sapowski.c'est plus un roman historique que de la fantasy, ariivée à une centaine de pages. on verra comment ca se développe.
D
Deerdra
Guest
Je relis la saga Harry Potter, j'en suis au tome 1. Ça faisait depuis pratiquement dix ans que je ne m'étais pas replongée dans les livres.
Je découvre un peu tard Le Choeur des Femmes de Martin Winckler et j'aime beaucoup !
Je lis le roman mais j'aimerai bien découvrir la BD aussi ; j'en ai vu quelques extraits sur Instagram et en plus d'être très fidèle au roman de ce que j'ai vu, j'aime beaucoup les illustrations
Faudra que je checke si on l'a dans ma bib
Je lis le roman mais j'aimerai bien découvrir la BD aussi ; j'en ai vu quelques extraits sur Instagram et en plus d'être très fidèle au roman de ce que j'ai vu, j'aime beaucoup les illustrations
Faudra que je checke si on l'a dans ma bib
Mes deux dernières lectures de romans :
Les oubliés du dimanche – Valérie Perrin
Justine, 21 ans, aide-soignante en maison de retraite, se passionne pour la vie d’Hélène, une pensionnaire de plus de 90 ans. Elle l’écoute raconter sa vie et écrit tous ces souvenirs dans un carnet. Ce livre alterne entre la vie d’Hélène avec Lucien son grand amour, la guerre, la Gestapo et la vie de Justine, élevée par ses grands-parents après la mort de ses parents. J’ai été portée dans la vie de tous ces personnages, entre secret de famille, amour, seconde guerre mondiale, etc. Le livre est très riche et très touchant !
Le restaurant de l’amour retrouvé – Ito Ogawa
Suite à un chagrin d’amour, Rinco perd sa voix et retourne habiter chez sa mère avec qui les relations sont un peu chaotiques. La jeune femme décide d’ouvrir un restaurant dans le village et de cuisiner des mets uniques pour ses clients. Le cadre montagnard et japonais donne une ambiance intimiste, où le partage et la transmission sont importants. L’histoire et l’écriture donnent beaucoup de place aux sensations, aux odeurs, aux goûts et aux épices. J’ai beaucoup aimé ce livre, plein de douceur et de poésie, qui a ravi mes papilles.
Et maintenant je vais lire le tome 2 de la BD Facteur pour femmes
Les oubliés du dimanche – Valérie Perrin
Justine, 21 ans, aide-soignante en maison de retraite, se passionne pour la vie d’Hélène, une pensionnaire de plus de 90 ans. Elle l’écoute raconter sa vie et écrit tous ces souvenirs dans un carnet. Ce livre alterne entre la vie d’Hélène avec Lucien son grand amour, la guerre, la Gestapo et la vie de Justine, élevée par ses grands-parents après la mort de ses parents. J’ai été portée dans la vie de tous ces personnages, entre secret de famille, amour, seconde guerre mondiale, etc. Le livre est très riche et très touchant !
Le restaurant de l’amour retrouvé – Ito Ogawa
Suite à un chagrin d’amour, Rinco perd sa voix et retourne habiter chez sa mère avec qui les relations sont un peu chaotiques. La jeune femme décide d’ouvrir un restaurant dans le village et de cuisiner des mets uniques pour ses clients. Le cadre montagnard et japonais donne une ambiance intimiste, où le partage et la transmission sont importants. L’histoire et l’écriture donnent beaucoup de place aux sensations, aux odeurs, aux goûts et aux épices. J’ai beaucoup aimé ce livre, plein de douceur et de poésie, qui a ravi mes papilles.
Et maintenant je vais lire le tome 2 de la BD Facteur pour femmes
@nezentrompette @L-unita vous les conseillez à partir de quel âge ces feuilletons mythologiques ? Je suis très intéressée pour mon fils qui aura 6 ans à la fin du mois.
@Elyon_64 hâte de lire ton avis final sur Regretting motherhood. Ah et j'ai adooooré La voie des rois !
@Elyon_64 hâte de lire ton avis final sur Regretting motherhood. Ah et j'ai adooooré La voie des rois !
Bonsoir le forum 
Après plusieurs mois de sous-marinage, je me lance enfin ! Je tenais à vous remercier pour les très belles découvertes littéraires que j'ai pu faire en vous lisant
Je finis ce soir Du côté des Indiens d'Isabelle Carré. J'avais adoré son premier roman autobiographique que j'avais trouvé très touchant (Les rêveurs).
Le résumé :
« Il s’est trompé, il a appuyé sur la mauvaise touche, pensa aussitôt Ziad. Il ne va pas tarder à redescendre… Il se retint de crier : “Papa, tu fais quoi ? Papa ! Je suis là, je t’attends…” Pourquoi son père tardait il à réapparaître ? Les courroies élastiques de l’ascenseur s’étirèrent encore un peu, imitant de gigantesques chewing gums. Puis une porte s’ouvrit là haut, avec des rires étranges, chargés d’excitation, qu’on étouffait. Il va comprendre son erreur, se répéta Ziad, osant seulement grimper quelques marches, sans parvenir à capter d’autre son que celui des gosses qui jouaient encore dans la cour malgré l’heure tardive, et la voix exaspérée de la gardienne qui criait sur son chat.
Son père s’était volatilisé dans les derniers étages de l’immeuble, et ne semblait pas pressé d’en revenir. »
Ziad, 10 ans, ses parents, Anne et Bertrand, la voisine, Muriel, grandissent, chutent, traversent des tempêtes, s’éloignent pour mieux se retrouver. Comme les Indiens, ils se sont laissé surprendre ; comme eux, ils n’ont pas les bonnes armes. Leur imagination saura-t-elle changer le cours des choses ? La ronde vertigineuse d’êtres qui cherchent désespérément la lumière, saisie par l’œil sensible et poétique d’Isabelle Carré.
J'ai bien aimé cette lecture même si elle ne m'a pas transcendée.
J'enchaîne avec le thriller Les cicatrices de Claire Favan. Je n'ai encore rien lu de cette autrice mais j'entends beaucoup parler de son dernier roman (La chair de sa chair).
Le résumé:
Centralia, État de Washington. La vie d’Owen Maker est une pénitence. Pour s’acheter la paix, il a renoncé à toute tentative de rébellion.
En attendant le moment où il pourra se réinventer, cet homme pour ainsi dire ordinaire partage avec son ancienne compagne une maison divisée en deux. Il est l’ex patient, le gendre idéal, le vendeur préféré de son beau-père qui lui a créé un poste sur mesure. Un type docile. Enfin, presque. Car, si Owen a renoncé à toute vie sociale, il résiste sur un point : ni le chantage au suicide de Sally ni les scènes qu'elle lui inflige quotidiennement et qui le désignent comme bourreau aux yeux des autres ne le feront revenir sur sa décision de se séparer d’elle.
Mais, alors qu’une éclaircie venait d’illuminer son existence, Owen est vite ramené à sa juste place. Son ADN a été prélevé sur la scène de crime d’un tueur qui sévit en toute impunité dans la région, et ce depuis des années. La police et le FBI sont sur son dos. L’enfer qu’était son quotidien n’est rien à côté de la tempête qu’il s’apprête à affronter.
Après plusieurs mois de sous-marinage, je me lance enfin ! Je tenais à vous remercier pour les très belles découvertes littéraires que j'ai pu faire en vous lisant
Je finis ce soir Du côté des Indiens d'Isabelle Carré. J'avais adoré son premier roman autobiographique que j'avais trouvé très touchant (Les rêveurs).
Le résumé :
« Il s’est trompé, il a appuyé sur la mauvaise touche, pensa aussitôt Ziad. Il ne va pas tarder à redescendre… Il se retint de crier : “Papa, tu fais quoi ? Papa ! Je suis là, je t’attends…” Pourquoi son père tardait il à réapparaître ? Les courroies élastiques de l’ascenseur s’étirèrent encore un peu, imitant de gigantesques chewing gums. Puis une porte s’ouvrit là haut, avec des rires étranges, chargés d’excitation, qu’on étouffait. Il va comprendre son erreur, se répéta Ziad, osant seulement grimper quelques marches, sans parvenir à capter d’autre son que celui des gosses qui jouaient encore dans la cour malgré l’heure tardive, et la voix exaspérée de la gardienne qui criait sur son chat.
Son père s’était volatilisé dans les derniers étages de l’immeuble, et ne semblait pas pressé d’en revenir. »
Ziad, 10 ans, ses parents, Anne et Bertrand, la voisine, Muriel, grandissent, chutent, traversent des tempêtes, s’éloignent pour mieux se retrouver. Comme les Indiens, ils se sont laissé surprendre ; comme eux, ils n’ont pas les bonnes armes. Leur imagination saura-t-elle changer le cours des choses ? La ronde vertigineuse d’êtres qui cherchent désespérément la lumière, saisie par l’œil sensible et poétique d’Isabelle Carré.
J'ai bien aimé cette lecture même si elle ne m'a pas transcendée.
J'enchaîne avec le thriller Les cicatrices de Claire Favan. Je n'ai encore rien lu de cette autrice mais j'entends beaucoup parler de son dernier roman (La chair de sa chair).
Le résumé:
Centralia, État de Washington. La vie d’Owen Maker est une pénitence. Pour s’acheter la paix, il a renoncé à toute tentative de rébellion.
En attendant le moment où il pourra se réinventer, cet homme pour ainsi dire ordinaire partage avec son ancienne compagne une maison divisée en deux. Il est l’ex patient, le gendre idéal, le vendeur préféré de son beau-père qui lui a créé un poste sur mesure. Un type docile. Enfin, presque. Car, si Owen a renoncé à toute vie sociale, il résiste sur un point : ni le chantage au suicide de Sally ni les scènes qu'elle lui inflige quotidiennement et qui le désignent comme bourreau aux yeux des autres ne le feront revenir sur sa décision de se séparer d’elle.
Mais, alors qu’une éclaircie venait d’illuminer son existence, Owen est vite ramené à sa juste place. Son ADN a été prélevé sur la scène de crime d’un tueur qui sévit en toute impunité dans la région, et ce depuis des années. La police et le FBI sont sur son dos. L’enfer qu’était son quotidien n’est rien à côté de la tempête qu’il s’apprête à affronter.
nezentrompette
Le train de vie d'une noix de Saint-Jacques
@miss.acacia Mon fils a eu 6 ans en avril, et tous les enfants de sa classe adorent Le feuilleton d'Hermès. Des parents ont aussi acheté Le feuilleton d'Ulysse et la qualité est tout aussi bonne. (rien à voir, mais tant qu'à faire: dans un tout autre genre et bourré d'humour, gros succès chez les enfants de Le grand méchant renard et Un bébé à livrer de Benjamin Renner. Même adulte, c'est la grosse poilade 
)
Bienvenue @Bouquineuse_Rêveuse
Moi je suis toujours avec mon équipe disparate de hobbits, Grandes gens, Nain, Elfe et magicien avec Le Seigneur des anneaux. J'ai dû lire le tiers pour l'instant. Je découvre des détails supplémentaires par rapport aux films, je ne comprends pas ce qui a motivé l'éditeur à modifier certains noms, mais dans l'ensemble j'adore. Quelle richesse, quel boulot de fou il a fait Tolkien! Et pour l'instant je dois bien avouer que mine de rien la trilogie ciné est digne de l'oeuvre originale.
)Bienvenue @Bouquineuse_Rêveuse
Moi je suis toujours avec mon équipe disparate de hobbits, Grandes gens, Nain, Elfe et magicien avec Le Seigneur des anneaux. J'ai dû lire le tiers pour l'instant. Je découvre des détails supplémentaires par rapport aux films, je ne comprends pas ce qui a motivé l'éditeur à modifier certains noms, mais dans l'ensemble j'adore. Quelle richesse, quel boulot de fou il a fait Tolkien! Et pour l'instant je dois bien avouer que mine de rien la trilogie ciné est digne de l'oeuvre originale.
"Tout le monde peut être féministe" de bell hooks
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