Soit Shalimar, qui était le parfum de ma mère quand j'étais petite. Quand je flippais la nuit, elle mettait du Shalimar sur mes doudous pour que j'ai l'impression qu'elle était près de moi.
Soit un autre parfum, dont je connais pas le nom mais qui existe encore aujourd'hui. C'était celui d'une dame de la cantine qui nous forçait à finir nos plats, et ça m'a tellement traumatisée que dès qu'une femme dans la rue porte le même, je la déteste instantannément.
Soit un autre parfum, dont je connais pas le nom mais qui existe encore aujourd'hui. C'était celui d'une dame de la cantine qui nous forçait à finir nos plats, et ça m'a tellement traumatisée que dès qu'une femme dans la rue porte le même, je la déteste instantannément.