http://lautresourire.blogspot.fr/
Ne me prends plus comme ça dans tes bras. Ou si, pour toujours, mais alors on est quoi?
Je savais exactement où j'allais, et là.. Là j'ai le manque de tes mains qui cherchent la peau, le manque de ton odeur qui m'a toujours réconfortée. Le manque de tes pouces qui naviguent sur mon dos, et des petites attentions cachées. Mais surtout. Surtout. Je voudrais repasser la nuit avec toi. Encore. On prend les mêmes et on recommence. Je me suis rarement sentie aussi bien, aussi à ma place dans les bras de quelqu'un. Même F. Quand il m'avait pris dans ses bras, la nuit, sur ce tout petit lit dans lequel j'ai grandit, j'avais été enveloppée d'une telle douceur que j'en ai presque eu peur. Je rentrais parfaitement dans les courbes de son ventre, nos corps avaient l'air d'être faits pour aller ensemble. C'était le premier. Le premier un peu pour tout. Et puis il y en a eu d'autres. Et il y a eu cette nuit. Ces nuits. Douceur. Force. Tendresse. Complicité. Fusion. Passion. Calme. Amitié. Amour. Je pouvais tout ressentir au bout de tes doigts sur mon ventre, dans tes bras qui m'enlaçaient et qui, jamais, ne voulaient me quitter. Je n'ai pas tellement dormi. Est-ce reste de peur, dont je ne t'ai jamais parlé, de dormir avec quelqu'un ou bien était-ce pour profiter de chacun des centimètres de peau que tu t'appliquait à coller à la mienne -i l n'en manquait pas un. Les lignes de nos corps étendus sur le matelas s'épousaient parfaitement, et si par hasard je m'éloignais un peu à la recherche d'un peu de fraîcheur, je sentais ta main attraper un peu plus fort mon ventre, puis tout ton corps se rapprocher encore, jusqu'à embrasser chacune des courbes de mon dos. Je n'ai que très peu dormi, et je crois que j'en redemande encore.
Ne me reprend plus dans tes bras comme ça. Ne passe plus tes mains sous mes t-shirt à la recherche du moindre bout de peau, ne fait plus courir des doigts sur mon dos. Ne me regarde plus comme ça, ne mord plus mon coup, n'embrasse plus mon front. Ou alors si, pour toujours. Mais dans ce cas, que faisons nous de nous?
Ne me prends plus comme ça dans tes bras. Ou si, pour toujours, mais alors on est quoi?
Je savais exactement où j'allais, et là.. Là j'ai le manque de tes mains qui cherchent la peau, le manque de ton odeur qui m'a toujours réconfortée. Le manque de tes pouces qui naviguent sur mon dos, et des petites attentions cachées. Mais surtout. Surtout. Je voudrais repasser la nuit avec toi. Encore. On prend les mêmes et on recommence. Je me suis rarement sentie aussi bien, aussi à ma place dans les bras de quelqu'un. Même F. Quand il m'avait pris dans ses bras, la nuit, sur ce tout petit lit dans lequel j'ai grandit, j'avais été enveloppée d'une telle douceur que j'en ai presque eu peur. Je rentrais parfaitement dans les courbes de son ventre, nos corps avaient l'air d'être faits pour aller ensemble. C'était le premier. Le premier un peu pour tout. Et puis il y en a eu d'autres. Et il y a eu cette nuit. Ces nuits. Douceur. Force. Tendresse. Complicité. Fusion. Passion. Calme. Amitié. Amour. Je pouvais tout ressentir au bout de tes doigts sur mon ventre, dans tes bras qui m'enlaçaient et qui, jamais, ne voulaient me quitter. Je n'ai pas tellement dormi. Est-ce reste de peur, dont je ne t'ai jamais parlé, de dormir avec quelqu'un ou bien était-ce pour profiter de chacun des centimètres de peau que tu t'appliquait à coller à la mienne -i l n'en manquait pas un. Les lignes de nos corps étendus sur le matelas s'épousaient parfaitement, et si par hasard je m'éloignais un peu à la recherche d'un peu de fraîcheur, je sentais ta main attraper un peu plus fort mon ventre, puis tout ton corps se rapprocher encore, jusqu'à embrasser chacune des courbes de mon dos. Je n'ai que très peu dormi, et je crois que j'en redemande encore.
Ne me reprend plus dans tes bras comme ça. Ne passe plus tes mains sous mes t-shirt à la recherche du moindre bout de peau, ne fait plus courir des doigts sur mon dos. Ne me regarde plus comme ça, ne mord plus mon coup, n'embrasse plus mon front. Ou alors si, pour toujours. Mais dans ce cas, que faisons nous de nous?
Dernière édition :