@Yoghourt. Ton message n'est pas forcément à prendre très au sérieux (?) et dans un sens je comprends ton point de vue mais je viens quand même mettre mon grain de sel dans la conversation. On a beaucoup discuté de tout ça (mon copain porte le nom de son père biologique et de sa mère donc il fallait choisir lequel on allait associer à mon nom pour notre fille) et même si dans l'absolu on trouve toutes ces questions un peu idiotes (qu'est-ce qu'un nom ? Est-ce que ça nous définit ? Si je porte le nom de mon père que je ne connais pas, quel sens ça a ? Etc.).
MAIS (tadaaaaaam) on est arrivé à un résultat contraire à ton raisonnement :
la femme a un lien privilégié avec l'enfant justement parce qu'elle le porte pendant neuf mois, que c'est elle qui accouche et le nourrit (ou pas mais "naturellement" c'est quand même le principe). L'homme, lui, est un peu à part dans cette relation, même les plus investis. Il y a une sorte de sentiment d'impuissance, possiblement de fascination et d'exclusion, de frustration. Vous allez me dire "ils ont déjà beaucoup de choses et de pouvoir, pas la peine d'en rajouter" mais c'est beau aussi qu'ils puissent transmettre leur nom à un enfant qui en fait, au début, leur échappe.
(Je sais pas si c'est très clair mon affaire.... )
MAIS (tadaaaaaam) on est arrivé à un résultat contraire à ton raisonnement :
la femme a un lien privilégié avec l'enfant justement parce qu'elle le porte pendant neuf mois, que c'est elle qui accouche et le nourrit (ou pas mais "naturellement" c'est quand même le principe). L'homme, lui, est un peu à part dans cette relation, même les plus investis. Il y a une sorte de sentiment d'impuissance, possiblement de fascination et d'exclusion, de frustration. Vous allez me dire "ils ont déjà beaucoup de choses et de pouvoir, pas la peine d'en rajouter" mais c'est beau aussi qu'ils puissent transmettre leur nom à un enfant qui en fait, au début, leur échappe.
(Je sais pas si c'est très clair mon affaire.... )