Ah, et je n'ai pas raconté...
Hier, comme je l'ai dis, je suis revenue chez mes parents. Sauf qu'avant de revenir, une chose s'est passé. Enfin, je vais raconter un peu tout cela, ici. En fait, on était à Chatelet Métro 14. Le métro est plein. Il arrive à monter dedans, avec ma valise, et moi non. Le métro suivant, aussi blindé. Ca m'a saoulait, mais en fait, ca a été la goutte d'eau qui déborde du vase... Et donc, j'ai été prendre le Métro 7 jusqu'à Pyramides. Je suis d'accord, c'est idiot, bien sur... Dans le métro, seule, j'avais les nerfs. Je ne savais même pas trop pourquoi. Puis, arrivée devant lui, ce n'est pas vraiment qu'on s'"embrouillaient" mais il était un peu énervé sur le coup... Et moi aussi. Et d'un coup, comme ca, je me suis mise à craquer dans ses bras. J'ai pleuré comme un bébé. Je lui ai expliquée que je dormais mal, que je n'osais pas me plaindre auprès de lui mais aussi, même si c'était tout le temps pour me taquiner, il me rendait folle de jalousie avec les filles dont ils parlaient. Il m'a consolé, me faisait sourire alors que j'avais encore envie de pleurer. J'ai donc carrément raté le train que je devais prendre. Au lieu de celui-là, j'ai pris celui de 17h20. Ca allait beaucoup mieux, comme si rien ne s'était passé. Et cette "embrouille" nous a fait du bien, je suis sûre. Hier soir, en revenant chez moi, j'étais niaise. Je mourrais d'envie de le revoir. Je crève d'envie, encore, toujours, de le revoir. Là, je n'ai pas bien longtemps à attendre... Il vient en fin de journée ou demain. Sauf qu'il dodote encore. J'espère qu'il va bientôt se réveiller, et donc, si après que j'ai mangé, il dodote encore, je le bipperais. J'ai tellement hâte qu'il arrive.