T
tarangol
Guest
Julia de Archimède.
J'imagine un bar un peu ambiance underground. Un nuage de fumée de cigarette remplie l'air. Des gens sont installés ici et là, assis, accoudés au bar. On boit la bière à même la bouteille. Un concours est organisé ce soir. Un groupe de musiciens s'installe sur scène et commence à jouer une musique. La mélodie pop est portée par la guitare et le rythme qu'imprime la batterie. L'air est léger, entêtant. Chacun écoute. Les musiciens répètent toujours les mêmes accords. Sur un grand écran derrière les musiciens apparaissent les mots « Ecrivez pour Julia ».
Le thème est donné. Chaque participant au concours de parolier se penche sur sa feuille et commence à griffonner des paroles de chanson. Le premier qui a finit une version suffisamment intéressante monte sur scène et se place devant le micro. Quand les musiciens reviennent au début de leur ritournelle, le prétendant commence à chanter les paroles sorties de son esprit. Seule la salle est juge. Les sifflets forcent les téméraires à descendre sans avoir finit leur prestation.
Concentré sur sa feuille, il relit son texte gribouillé au crayon de bois une dernière fois et souffle pour se donner du courage. C'est la première fois qu'il ose monter sur scène.
« Tes yeux verts en amande
Diaprés d'or et d'ambre »...
Le premier couplet passe. La salle le laisse proposer son refrain. Tout en chantant d'une voie mal assurée, il voit les regards se lever peu à peu vers lui. Les stylos cessent de noircir le papier. Le second couplet confirme ses débuts. Le bar entier écoute, il a capté leur attention. Au moment d'entonner le dernier refrain, un voie le surprend derrière lui. Avec un petit sursaut, il comprend. Un des musiciens reprend le prénom de Julia avec lui et fait durer la note alors qu'il termine sa composition. Les musiciens poursuivent leur mélodie mais celle-ci change légèrement, puis ils terminent leur morceau. Tous applaudissent. Le vainqueur, encore un peu tremblant, est désigné par l'ovation de la salle.
J'imagine un bar un peu ambiance underground. Un nuage de fumée de cigarette remplie l'air. Des gens sont installés ici et là, assis, accoudés au bar. On boit la bière à même la bouteille. Un concours est organisé ce soir. Un groupe de musiciens s'installe sur scène et commence à jouer une musique. La mélodie pop est portée par la guitare et le rythme qu'imprime la batterie. L'air est léger, entêtant. Chacun écoute. Les musiciens répètent toujours les mêmes accords. Sur un grand écran derrière les musiciens apparaissent les mots « Ecrivez pour Julia ».
Le thème est donné. Chaque participant au concours de parolier se penche sur sa feuille et commence à griffonner des paroles de chanson. Le premier qui a finit une version suffisamment intéressante monte sur scène et se place devant le micro. Quand les musiciens reviennent au début de leur ritournelle, le prétendant commence à chanter les paroles sorties de son esprit. Seule la salle est juge. Les sifflets forcent les téméraires à descendre sans avoir finit leur prestation.
Concentré sur sa feuille, il relit son texte gribouillé au crayon de bois une dernière fois et souffle pour se donner du courage. C'est la première fois qu'il ose monter sur scène.
« Tes yeux verts en amande
Diaprés d'or et d'ambre »...
Le premier couplet passe. La salle le laisse proposer son refrain. Tout en chantant d'une voie mal assurée, il voit les regards se lever peu à peu vers lui. Les stylos cessent de noircir le papier. Le second couplet confirme ses débuts. Le bar entier écoute, il a capté leur attention. Au moment d'entonner le dernier refrain, un voie le surprend derrière lui. Avec un petit sursaut, il comprend. Un des musiciens reprend le prénom de Julia avec lui et fait durer la note alors qu'il termine sa composition. Les musiciens poursuivent leur mélodie mais celle-ci change légèrement, puis ils terminent leur morceau. Tous applaudissent. Le vainqueur, encore un peu tremblant, est désigné par l'ovation de la salle.
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