Tu m'aimes encore? Pasque moi oui, je t'aime en fait. Je fais semblant que non, j'aime te voir en chier, ramer pour moi, moi, moi, rien que moi. Je comprendrais que tu ne m'aimes plus, cela dit, ce serait limite plus logique! Fais ce que tu veux, m'aimer, ne plus m'aimer, du moment que tu le fais pour toi, pour ton bonheur, pour être bien, mieux, et pas pour te venger de la crasse que je t'ai fait.
Ce que j'aimerais lui dire...
- Initiateur de la discussion Abelys
- Date de début
Viens me parler, m*rde.
Pourquoi j'tiens tant à toi?
Dis-moi c'que tu ressens, histoire d'arrêter les illusions.
Pourquoi j'tiens tant à toi?
Dis-moi c'que tu ressens, histoire d'arrêter les illusions.
Vous me manquez à crever aujourd'hui. Je vous aime. Je vous aime tant. Est-ce que vous jardinez, là où vous êtes en ce moment? Est-ce que vous avez de beaux arbres fruitiers, comme vous aviez ici, sur terre? Et un joli potager? J'ai vu cet après-midi de magnifiques champs de tournesol, ils étaient sur la route que vous empruntiez pour revenir chez vous, sur votre route. Vous habitiez un joli coin, vous savez. La campagne, pure, infinie. Elle vous ressemble tant: elle est pleine de secrets, qu'elle garde jalousement, et par pudeur aussi; et elle ne révèle que la beauté qu'elle a choisi de révéler, tout en nous en cachant tout plein d'autres. Vous pouvez toucher des tournesols, là où vous êtes maintenant? J'ai envie de vous prendre dans mes bras, comme j'ai envie. Comme je voudrais m'allonger dans les champs, avec vous, et puis vous regarder sourire, vous regarder être, vivre. Je ne vous toucherais pas, promis. Je ne vous obligerais pas à accepter d'être dans mes bras. Je sais que c'est important, il y a la distance thérapeutique à respecter, nom de Dieu (...) Je vous regarderais rire, surtout. Comme j'aimais quand je vous faisais rire. Je me sentais Reine du monde quand vous riiez (...)
Je sais que là, maintenant, tout de suite, tu ne vas pas bien. J'aimerais tellement être celle qui est auprès de toi, pouvoir te prendre dans mes bras et te rassurer, t'embrasser sur le front avec toute la tendresse dont je suis capable.
Je donnerais tout pour toi, j'ai envie de passer tous les moments avec toi, aussi insignifiante que soit l'activité que l'on fait. Quatre jours que je passe mes après midis avec toi, quatre jours que je crève d'envie de te serrer dans mes bras, de te caresser la joue, de t'embrasser, d'être tienne.
Mais il y a lui, lui qui selon tes dires, ne te mérite pas, ne s'investit pas, te gonfle. Mais lui que tu aimes toujours et que tu ne peux pas quitter, ce que tu m'as dit après m'avoir fait espérer ce que je voulais pendant quatre mois. Quatre putains de mois où tu es redevenue quasi essentielle à ma vie.
Je n'arrive pas à me détacher de toi, et je n'en n'ai pas envie. On a droit à une deuxième chance nous deux, et j'aimerais que ce soit maintenant.
Tout mon entourage essaye de me décourager, de me faire abandonner, mais je ne veux pas, je te veux, Toi.
Je donnerais tout pour toi, j'ai envie de passer tous les moments avec toi, aussi insignifiante que soit l'activité que l'on fait. Quatre jours que je passe mes après midis avec toi, quatre jours que je crève d'envie de te serrer dans mes bras, de te caresser la joue, de t'embrasser, d'être tienne.
Mais il y a lui, lui qui selon tes dires, ne te mérite pas, ne s'investit pas, te gonfle. Mais lui que tu aimes toujours et que tu ne peux pas quitter, ce que tu m'as dit après m'avoir fait espérer ce que je voulais pendant quatre mois. Quatre putains de mois où tu es redevenue quasi essentielle à ma vie.
Je n'arrive pas à me détacher de toi, et je n'en n'ai pas envie. On a droit à une deuxième chance nous deux, et j'aimerais que ce soit maintenant.
Tout mon entourage essaye de me décourager, de me faire abandonner, mais je ne veux pas, je te veux, Toi.
J'ai visité un appartement aujourd'hui.
C'était la première fois que je faisais ça. Il est très lumineux, au centre ville, troisième étage. Le voisin d'en face est architecte, et traîne devant sa porte un tas de materiel de pro, je trouve ça convivial, et doux aussi. Quand je suis entrée, je me suis sentie bien, et j'ai su qu'il fallait que j'arrête mes recherches. La proprieaire était adorable, elle m'a toute suis mise à l'aise. Lorsque nous sommes entrée dans la salle de bains, j'ai plaisanté sur le fait qu'il n'y aurait jamais assez de place pour tous mes produits de beauté, et j'ai croisé mon reflet dans le miroir. Et j'ai pensé à toi.
Ca doit bien faire un an, que ça ne m'était pas arrivé, et il a fallu que ça m'arrive maintenant. Alors j'ai souri, et j'ai dit à la propriétaire qu'il fallait que j'y reflechisse, alors que c'était déjà tout reflechi, de mon côté.
Sur la route du retour, il a ssayé de me mettre à l'aise, en chantant fort notre chanson, mais moi, c'était à toi que je pensais. A nous deux, et à moi aussi, un peu. A la vie que nous aurions eu, si tu ne m'avais pas autant fait souffrir, et si j'avais cessé de me comporter comme une gamine. Je me suis demandé comment aurait été ma vie, si j'avais pris un appartement avec toi.
Et là, dans un moment de silence, il a dit "Ca me fait bizarre de savoir que tu es quasiment adulte, maintenant, je suis tellement fière de toi".
Je me suis forcé à ne pas pleurer et j'ai alors compris que toi et moi c'est fini, que je suis "quasiment une adulte", et que je devais faire ma vie sans toi.
Pour toujours.
C'était la première fois que je faisais ça. Il est très lumineux, au centre ville, troisième étage. Le voisin d'en face est architecte, et traîne devant sa porte un tas de materiel de pro, je trouve ça convivial, et doux aussi. Quand je suis entrée, je me suis sentie bien, et j'ai su qu'il fallait que j'arrête mes recherches. La proprieaire était adorable, elle m'a toute suis mise à l'aise. Lorsque nous sommes entrée dans la salle de bains, j'ai plaisanté sur le fait qu'il n'y aurait jamais assez de place pour tous mes produits de beauté, et j'ai croisé mon reflet dans le miroir. Et j'ai pensé à toi.
Ca doit bien faire un an, que ça ne m'était pas arrivé, et il a fallu que ça m'arrive maintenant. Alors j'ai souri, et j'ai dit à la propriétaire qu'il fallait que j'y reflechisse, alors que c'était déjà tout reflechi, de mon côté.
Sur la route du retour, il a ssayé de me mettre à l'aise, en chantant fort notre chanson, mais moi, c'était à toi que je pensais. A nous deux, et à moi aussi, un peu. A la vie que nous aurions eu, si tu ne m'avais pas autant fait souffrir, et si j'avais cessé de me comporter comme une gamine. Je me suis demandé comment aurait été ma vie, si j'avais pris un appartement avec toi.
Et là, dans un moment de silence, il a dit "Ca me fait bizarre de savoir que tu es quasiment adulte, maintenant, je suis tellement fière de toi".
Je me suis forcé à ne pas pleurer et j'ai alors compris que toi et moi c'est fini, que je suis "quasiment une adulte", et que je devais faire ma vie sans toi.
Pour toujours.
A
AnonymousUser
Guest
Je vais être à 3h de train de chez toi, on pourrait...passer un weekend ensemble. Tu pourrais venir, on parlerait pas de nos vies, on parlerait pas de tes opinions bizarres et parfois insupportable mais tu me serrerais dans tes bras pour qu'on se dise vraiment au revoir. Ca fait un an, je sais, mais... j'ai toujours l'impression de ne rien avoir pu commencer et de ne rien avoir pu finir avec toi. On pourrait tout faire, là-bas, si tu voulais, tout. C'est un peu ce qu'on voulait, sauf que je suis toute seule. Je sais pas si je voudrais ça avec un autre que toi, je sais vraiment pas.
Mais je me retiendrais de te dire tout ça parce que... t'en serai presque capable et j'ai pas envie de mourir une seconde fois.
Mais je me retiendrais de te dire tout ça parce que... t'en serai presque capable et j'ai pas envie de mourir une seconde fois.
J'ai hâte de te voir, c'est tellement long sans toi. Tu me manques... Je tiens probablement beaucoup trop à toi, c'est nul, oui je sais. Mais c'est pas pour autant que j'ai envie d'arrêter. Je sais que j'ai raison, je le sens.
Nos retrouvailles approchent à grands pas.. Ô chaton comme j'ai hâte !
Nos retrouvailles approchent à grands pas.. Ô chaton comme j'ai hâte !
Si je vais bien ? Pour être honnête non, je ne vais pas bien.
Je ne vais pas bien parce que j'étais amoureuse de toi, parce que j'étais terriblement attachée à toi. Je ne vais pas bien parce que je n'arrive pas à t'oublier, parce que je t'imagine avec ta copine et ça me fout en l'air. J'ai l'impression que tu t'es servi de moi du début à la fin. J'ai l'impression que tu me voulais seulement dans ton lit, ou dans mon lit. Je repense encore aux moindres détails de notre histoire, j'essaye de comprendre où était le problème. Et le pire dans tout ça, c'est que je sais quel était le problème. Je sais que j'aurai du faire plus d'efforts pour faire vivre notre histoire, pour la rendre plus belle, plus douce, plus intime. Je n'aurai jamais du tomber amoureuse de toi, tu es quelqu'un de trop instable, tu ne sais pas ce que tu veux. Et en même temps je sais que tu restes une belle personne. Alors voilà, je ne vais pas bien à cause de toutes ces questions que je me pose encore, à cause de toi je ne vais pas bien. Tu ne m'as jamais dit ce que tu pensais de moi, ce que tu pensais de notre histoire. Tu vois, t'es quelqu'un de lâche.
Pourquoi, pourquoi aujourd'hui tu viens encore me demander si je vais bien alors que tu es avec ta copine? Tu ne peux pas te contenter de disparaître de ma vie ?
Je ne vais pas bien parce que j'étais amoureuse de toi, parce que j'étais terriblement attachée à toi. Je ne vais pas bien parce que je n'arrive pas à t'oublier, parce que je t'imagine avec ta copine et ça me fout en l'air. J'ai l'impression que tu t'es servi de moi du début à la fin. J'ai l'impression que tu me voulais seulement dans ton lit, ou dans mon lit. Je repense encore aux moindres détails de notre histoire, j'essaye de comprendre où était le problème. Et le pire dans tout ça, c'est que je sais quel était le problème. Je sais que j'aurai du faire plus d'efforts pour faire vivre notre histoire, pour la rendre plus belle, plus douce, plus intime. Je n'aurai jamais du tomber amoureuse de toi, tu es quelqu'un de trop instable, tu ne sais pas ce que tu veux. Et en même temps je sais que tu restes une belle personne. Alors voilà, je ne vais pas bien à cause de toutes ces questions que je me pose encore, à cause de toi je ne vais pas bien. Tu ne m'as jamais dit ce que tu pensais de moi, ce que tu pensais de notre histoire. Tu vois, t'es quelqu'un de lâche.
Pourquoi, pourquoi aujourd'hui tu viens encore me demander si je vais bien alors que tu es avec ta copine? Tu ne peux pas te contenter de disparaître de ma vie ?
L
lualdi
Guest
"Mes confusions, tu les connais, laissons tomber."
(Même pas peur de citer Joyce Jonathan pour m'exprimer, non non)
(Même pas peur de citer Joyce Jonathan pour m'exprimer, non non)
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