Ce que j'aimerais lui dire...

[SourCherry.]

Ton sourire de cow-boy aura ma peau.

 

[Crush]

Ma vie est totalement inintéressante sans toi.

 

[Cygnus]

Tout à l'heure, je suis allée faire un tour en voiture avec ma mère, à l'heure que je prefère, vers neuf heures du soir, l'été quand le vent se lève enfin après des heures de plomb et qu'il vient tout rafraîchir, comme on se sent bien à cette heure-là à rouler les vitres grand ouvertes, l'air qui entre, le doux son du moteur de la voiture en sourdine, les arbres qui bougent, la nature qui enfin respire et se déploît. Le ciel était très beau, rose et orange, étrange et lumineux avec quelques nuages blanc légers comme de la poudre, il y avait quelque chose de tellement doux dans l'atmosphère, de tellement simple; Je vous ai imaginé, je vous ai imaginé conduire, à côté de moi, près de moi, me portant, me berçant, me conduisant dans tous ces chemins de campagne et profitant avec moi de toute cette douceur, de toute cette beauté, comme l'ambiance prêtait à penser à vous, je ne pouvais penser qu'à vous. Je vous ai imaginé regarder avec moi ce beau paysage, tous les deux, en communion, on aurait été bien là comme ça tous les deux sans mot dire, juste à regarder et avancer et j'ai repensé à cette après-midi ensoleillée où vous m'aviez amenée à l'hôpital, j'étais au plus mal à cette époque et vous aviez eu peur, je voulais mourir et vous pensiez qu'il fallait m'hospitaliser parce que je voulais me suicider; vous conduisiez, et moi j'étais à côté de vous, près de vous, je me laissais porter, je me laissais aller et j'aurais voulu que ce moment dure des heures, des journées entières, ne jamais arriver, ne jamais s'arrêter, ce moment de calme, de lumière, le soleil, la vitesse, le ciel, la douceur, vous à côté de moi et moi à côté de vous. Je l'ai imaginé lui aussi, même lui, mon Psy, me porter comme ça dans la voiture, comme une enfant que son père amène se promener, juste comme ça, juste pour se changer les idées, parce que c'est la fin de l'été et que c'est l'heure qu'ils préférent tous les deux et que ce moment est à eux; comme ce serait bien, comme c'est bien rien qu'à l'imaginer.

 

[marion##]

Mec, réveille toi, arrête de faire le mort et envoie moi un message. On peut s'amuser encore tous les deux.

 

[lualdi]

Pourquoi tu gâches ta vie ? :whistle:

 

[AnonymousUser]

Je tiens tellement à toi...

 

[Kumquat]

J'aimerais te dire que tu es belle. Que tu m'as tout donné. J'aimerais te dire continue. Continue à m'aider, moi, pauvre humaine à l?existence dérisoire face à ton immensité. Sache que je serai prête à t'abandonner pour te rendre à n'importe quel humain de cette planète. Sache que je me battrai toute ma vie pour que tu ne quittes pas trop tôt ceux à qui tu appartiens. Sache que je n'ai pas plus grande richesse que de t'avoir, toi, plus que tout. Que je me consacrerai à t'aider à lutter dans cette bataille de la nature. Sache que je t'aime, toi, la vie.

 

[bou2gome]

Un mois que tu es à 1000 kilomètres, que je compte les jours avant ton retour. Et 3 jours avant la date, tu m'annonces tout normalement que finalement tu restes 4 jours de plus.
Et mon anniversaire, tes promesses putain elles sont où ?
Ton comportement me dégoute. T'avais pas le droit de me faire ça (encore une fois).

 

[AnonymousUser]

Tu sais tout ça est tellement un foutoir que tu ne me manques pas. S et J me manquent mais toi... non.

Je sais que je t'ai fait du mal, je sais que je t'ai fait souffrir, je le regrette très sincèrement. Je pensais avoir été claire là dessus. Mais je pensais aussi avoir été claire sur le fait que cette histoire me faisait souffrir aussi et que par conséquent je demandais sois un peu de temps et de compassion, soit, si tu n'avais pas envie de me donner ça (ce qui aurait été tout à fait légitime, je te l'ai dit plus d'une fois) que tu m'évites.


Tu n'as fait ni l'un ni l'autre : tu as fait semblant de me donner de la compréhension et de la compassion, mais en réalité tu m'en voulais et tu n'attendais qu'une occasion pour me le prouver. Tu as voulu jouer la carte du mec compatissant qui oublie sa propre souffrance devant la souffrance de l'autre mais : ça ne marche pas comme ça. Je sais que ça t'aurait permi de donner de toi-même l'image d'un saint mais ça ne marche pas comme ça. Tu avais envie de m'éviter, de me faire la gueule, et tu ne l'as pas fait à cause de cette stupide "morale" (qui a visiblement du mal à s'appliquer au réel), ces bonnes manières ou je ne sais quoi.

Aujourd'hui je vois que même si je suis une espèce de folle / psychorigide, tu es compliqué, angoissé, égoïste malgré ce que tu prétends, culpabilisant, et que tout ça ne m'aide pas. De plus, je veux sincèrement te laisser tranquille, même si tu considèreras que c'est un argument "facile". Même si ton comportement n'est pas compatible avec le mien tu es quelqu'un de bien et tu mérites mieux qu'une fille qui te gueule dessus parce que tu es angoissé. Alors non, ne fais semblant de ne pas m'en vouloir, une nouvelle fois, n'essaie pas de renouer la conversation et l'amitié comme si de rien n'était, parce que je vais avancer et tu vas avancer aussi, nous devons bien nous faire a l'idée que nos chemins se séparent et que c'est finalement ce qu'il a de mieux. Tu ne seras pas un bourreau si tu me laisses tomber. Alors fais-le.

(ne pas citer)

 

[Et caetera]

Je t'ai cru. Je t'ai cru, bordel! Et maintenant que tu ne me regardes plus, j'ai plus envie de rien.
J'ai juste envie de toi.

 

[Oslo]

C'est vraiment pas sympa de me charrier avec ça.

 

[Trippy]

Tout l'amour que j'avais pour toi part en éclat, je n'ai plus que de la haine. Tu me files la gerbe! Connard!