Ce que j'aimerais lui dire...

[AnonymousUser]

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[Yuga.]

Pute. Profiteuse. Égoïste. Le jour ou la roue tournera tu vas morfler.

 

[Danaaé]

toi et moi, on le sait, on finira ensemble. On se ressemble trop, on se complète trop pour qu'on ne se retrouve pas. Grâce à toi, je me sens BIEN et ça, c'est pas une petite affaire. Tu supportes tous mes défauts et mes gamineries et tu trouves ça mignon, je tolère tous les tiens parce qu'ils font que tu es toi. On le sait. Et ça prendra le temps que ça prendra, quand tu seras prêt à te ranger, quand je serais prête à m'engager, mais on y finira. Continue à me dire que je te fais de l'effet et que tu as envie de tuer tous ceux qui osent me rendre triste...
Je t'ai attendu très longtemps, mais ça en valait vraiment le coup.

 

[AnonymousUser]

Hier soir, d'avoir réalisé à quel point nous n'étions pas pareils, ça me fait flipper. Et ça m'a renvoyé à mes démons, et à ces putains de statistiques qui affirment qu'il n'y a qu'une personne sur cent qui possède mon profil psychologique. C'est comme chercher une aiguille dans une botte de foin.
Je t'aime, réellement. Mais nos différences me font peur et creusent mes retranchements au fond de moi-même. Tu n'y es pour rien, je suis vraiment désolée d'être cet animal apeuré que tu côtoies.

 

[Raphaël.]

En fait, je sais pas si tu me plais.
Mon père dirait de toi que tu es un "minet", le genre de gars qui s'y croit, qui se pense trop "in", qui fait du piano, lis du Oscar Wilde... Une sorte de parisien un peu trop poètique. Et c'est ca qui me plait chez toi, autant que ca me fait bouillir d'ennui.

 

[Madness]

Fais-moi un câlin, un gros, juste pour me dire que tu ne m'as pas oubliée et que tu ne m'oublieras pas. Parce que moi, j'ai peur d'oublier ce qui faisait la merveille que tu étais.
Tu me manques.

 

[AnonymousUser]

Je me mords les doigts de ne pas être allée voir l'oeuvre que tu avais exposé l'année dernière... Je sais que ça ne t'as rien fais, mais je m'en sens désolée, et je regrette. Tu me manques, tu étais d'une douceur...

Et pour A: Je voudrais te parler tous les jours, tu sais me bousculer ! Tu es une perle, mais ça me tue qu'on soit si différentes parfois...

 

[AnonymousUser]

()

 

[Raphaël.]

On ne se connait pas assez tous les deux. C'est pour cela que je prends une longueur d'avance, je prends la peine de t'expliquer ici et maintenant ce qui sera la cause de notre frontière future.
J'aime plaire. Pas dans le sens ou tu dirais "Elle est jolie, je la veux". Non, c'est une toute autre mélodie. Je sais l'effet, la première impression que je leur ai fait, je ne les laisse pas indifferent. Et j'adore ca. Je sais que ca te fait un effet de dingue, et j'aime ca.
J'ai vu à quel point tu te sentais désorganisé et affligé que je reste de marbre devant toi alors que les autres se précipitaient pour te poser les questions les plus banales du monde. J'ai vu que tu me suppliais du regard quand j'ai pris mon sac, et que je suis partie sans un regard. Ce midi, j'ai senti ton regard me suivre, et tes gestes flous quand je t'ai adressé la parole.
Mais tout ceci n'est qu'un jeu. Je sais que je te plais. Et après ? Ou est la finalité ? En t'écoutant, ou simplement en écoutant les autres, je sais que tu n'es pas celui que je veux. Il vaudrait mieux que tu arretes de répondre à mon comportement ignoble envers toi. Comme tu le disais l'autre jour "On prend une femme pour ce qu'elle n'est pas et on la jette pour ce qu'elle est". Si l'on parle de moi ici, arretons tout avant les coups, s'il te plait.

 

[marion##]

Tu fais chier. Tu fais chier, tu me manques, tu me rends folle. Ça me tue de t'imaginer lui faire l'amour, lui envoyer un texto le matin pour lui dire bonjour, la prendre dans tes bras, lui tenir la main dans la rue. Tu fais chier. Reviens.

 

[chibiichigo]

Encore une journée coolissime à tes côtés. Je ne sais pas trop à quoi on joue. Je ne sais pas du tout à quoi tu joues. Je sais encore moins si tu te rends compte, bâtard, que ta copine même si elle est actuellement à Versailles, à sa famille qui vit à moins de 500m de chez moi.
On ne se parlait presque pas, enfin, ouais non si on se parlait, mais pas autant. C'est venu d'où ce déclic ? On a un passé commun, un peu lourd ; vacillant entre amour, désir, haine et amitié ambigue.
Mais on se ressemble tellement, je crois que c'est pour ça qu'on passe si vite de l'affection profonde, à la haine succincte. Ce qui serait bien surement, c'est qu'on soit meilleurs amis. Après tout, "il faut d'abord être amoureux de l'autre, pour avoir une base de l'amitié" dixit Hemingway. On a remplit le contrat pour le coup.
Je sais pas si ça te suffit, tu ne l'aimes même pas elle, t'en a rien à foutre. On passe des moments géniaux ensembles. Jamais un mec m'avait autant fait rire. Tu sais toujours ce qu'il faut que tu dises, ce qu'il faut que tu fasses, pour que ça m'amuse, pour que ça me touche, et pour que ça me remonte le moral.
Combien de fois, en cours, ou en dehors peu importe, combien de fois avons-nous eu exactement la même réaction devant quelque chose ? Je pense qu'au bout d'un moment, il faut qu'on se rende compte d'une chose.

Il y a eu trop d'obstacles, trop de choses bizarres, je t'adore, tu m'adores, je t'ai aimé, tu m'as aimé, on ne sait s'il faut utiliser le passé. On aurait pu être si heureux ensembles.

 

[autruche-des-bois]

Je ne sais pas vraiment qui tu es, ni si on se reverra .. Ni si ça en aurait valu la peine .. Je sais pas si t'étais celui dont on m'avait parlé ..

Je sais juste que pour l'instant, c'est de lui que je suis folle ..