Ce que j'aimerais lui dire...

[Foolish]

J'ai toujours été là pour toi , et maintenant tu me snobes , j'avais juste envie de pleurer en te voyant vendredi.
Ça y'est tu as trouvé mieux comme amies alors voila t'a plus besoin de moi.
Seulement moi j'ai besoin de toi et ça tu l'ignores..

 

[Morra]

Maman, je t'aime à la folie ♥ ♥ ♥

 

[Bazinga-]

Qu'est-ce qu'il se passerait, si on était l'un en face de l'autre, là maintenant ?
Juste toi et moi, en train de discuter, de se regarder ?
Rien, il n'y aurait rien, vraiment ? Je me suis peut-être trompée de personne, dans ce cas...
Je ne sais même plus ce que je veux... Peut-être que ton amitié me suffit, en fin de compte. Je sais juste que là, là maintenant, tu me manques. Ces choses que je te disais, elles me manquent. Comment est-ce que tu as pu devenir aussi important ?... Et je t'en veux, je t'en veux d'avoir apporté ça. Tu aurais du me protéger. Si tu savais que tu avais ce côté en toi, tu aurais du m'en préserver. Je ne suis pas en colère contre toi. Je te l'ai dit, d'ailleurs. Mais je suis triste, et un peu perdue. Perdue parce que tu étais ce à quoi je pouvais me raccrocher. Tout le reste était pourri, mais ça ne faisait rien, parce que quelque part, tu étais là. Tu comprends ? Tu étais là, à avoir des sentiments pour moi. Tu étais dans mon coeur comme je crois que je l'étais dans le tiens.
C'était pas le bon moment... Vraiment pas. Mais là, tout de suite, j'ai le sentiment d'avoir besoin de toi. Et je ne sais pas du tout de quelle manière ! Juste que tu me parles, qu'on se parle. De l'air, tu comprends ? C'est ça que tu m'apportais, c'est une des raisons pour lesquelles je t'apprécie autant. Et là, j'ai l'impression d'étouffer. Ma tête et mon coeur te cherche. "Où est-il ?". Peut-être que tu es mon seul véritable ami, en fin de compte...

 

[Oslo]

Je ne comprends plus rien, pourquoi tu fais tout ça ?

 

[Certes.]

C'est pas grave si tu m'oublies tous les jours, si déjà mon visage n'est plus ton chez-toi, rien de grave si tu te souviens à peine de mon premier geste du matin, de mon bouquin préféré et de tous ces mots qu'on partageait. Rien de grave.

Notre Amour à tous les deux qui était si sombre, si ombrageux, est à présent si léger, presque evanescent. Comme un songe qui s'attarde encore dans le réveil alangui.
Notre Amour si tortueux devenu si calme, si obéissant. Alors ce n'est rien si tu peines à te remémorer mon odeur et notre amour si fluet que je peux porter toute seule maintenant.
Je l'emporte et le glisse dans mon baluchon, je prendrai aussi ton rire et les jours où le Monde semblait infini.

Voilà notre dernier Adieu, je suppose. Il nous en aura fallu du temps pour se quitter correctement.

'' A propos, je t'aimais, je te le dis maintenant que ça n'a plus d'importance''

Sois heureux.

 

[-Albertine-]

Je suis triste mais ce n'est pas à cause de toi, ça non. Tu me protèges et je t'aime trop pour t'en vouloir de quoi que ce soit. Nous nous donnons une liberté, une liberté qui puise sa possibilité dans cette confiance sans borne que nous avons l'un pour l'autre. Je sais que tu n'es pas loin.

 

[zohra_larousse]

à W. : je n'ai meme plus de consideration à tes yeux..voila c'est ça?? pourquoi tu ne me salues meme pas quand on se croise, un sourire c'est rien quand meme. En faite je crois que tous on raison je ne suis plus rien pour toi, la seule chose qui t'interresse c'est mes fesses?!! mais merde je ne suis pas que ça, ok j'ai fait des erreurs avec toi, ok ça a été un peu trop vite, mais ça c'est parce que je croyais que tu étais different de tous ses mecs, et que je te faisais confiance toi et tes belles paroles!!!

 

[Ancien membre]

Je serai la, demain, après demain, dans une semaine. Et quoi qu'il se passe, je te soutiendrai.

 

[Aamu.]

Madame, vous me terrorisez.

 

[Monsieur B.]

"Tu me manques mon amour. J'ai encore ta voix dans les oreilles qui me dit "même si c'est dans 5 ans je t'attendrais parce que je t'aime".

 

[Ciccone]

J'ose croire que tu te souviens de moi comme je me souviens de toi. J'ose croire que tu te souviens encore de ma moue faussement boudeuse comme je me souviens de ton rire. J'ose penser que tu te souviens encore des moindres imperfections de mon visage comme je me souviens des contours du tien. J'ose croire que tu te rappelles notre ivresse amoureuse ou nos ivresses tout court. J'ose espérer que tu te souviens encore de ma voix, mon odeur, mon regard, parce que je me souviens si bien de toi que je peux m'imaginer que tu es là.
J'espère que derrières les rancoeurs et les impressions que tu as tout comme moi il t'arrive aussi d'être ému en repensant à moi. Que tu meurs aussi d'envie de me revoir quand tu passes devant chez moi, malgré ta copine, le temps passé et le fossé qui est désormais creusé entre nous. J'ose penser aussi que tu ne peux pas non plus te trouver à un endroit où on a été tous les deux sans te souvenir de chaque seconde ensemble là bas.
Peut-être que ton coeur se serre aussi quand tu m'imagines boire du vin turc avec un autre, quand tu m'imagines regarder un autre comme je t'ai regardé et quand tu penses que c'est un autre qui subit mes moqueries - à ta place.
Car oui, ce n'est pas la place d'un autre, tout comme l'autre n'a rien à faire dans tes bras. Un jour cette idée sortira de ma tête, un jour elle sortira de la tienne aussi si ce n'est déjà fait, mais je ne crois pas.
On est étrangers l'un à l'autre mais ça n'aurait pas du arriver.
Redeviendra-t-on comme avant, ne nous verrons nous plus ? Je n'en sais rien. Je n'ai aucune préférence.
Je veux juste que tu sois toujours amoureux de mon souvenir. Je te serai fidèle toute ma vie, jamais personne ne pourra me faire oublier mon amour pour le tien.

 

[Xanthelasma]

Parle-moi de Stanley Kubrick et de Gary Oldman.